ConsTriDel et les Capricieux du Théâtre présentent :
"LES CAPRICES DE MARIANNE" d'Alfred de Musset Mercredi 12 mars 2014 - 20h Vendredi 14 mars 2014 - 20h Samedi 15 mars 2014 - 20h Salle du Collège St-Pierre, Uccle (avenue Coghen 205 à 1180 Bruxelles) avec : Alexia de Marnix, Christophe Cornet, Arnaud Carlos Goethals, Olivia De Potter, Laurie Boland, Sophie Dandoy, Charles du Roy et Geoffroy Goethals - avec le soutien de Geoffroy le Hardy mise en scène : Guillaume Possoz Que la fête commence ... « Que tu es heureux d’être fou – Que tu es fou de ne pas être heureux ! » *** accueil dès 19h, cocktail offert tous les soirs, cashbar, vente aux enchères le vendredi soir, ambiance assurée ! *** ____________________________________________________ Œuvre romantique par excellence, la pièce d’Alfred de Musset a tout pour séduire : des personnages hauts en couleur, une intrigue efficace, une ligne du temps limpide et surtout, une langue sans pareille. « Que tu es heureux d’être fou – Que tu es fou de ne pas être heureux ! » L’histoire ? Somme toute assez simple : la pièce se passe originairement à Naples. Coelio est amoureux, de la belle Marianne. Elle-même passe sa vie à l’Eglise, mariée au juge Claudio. Coelio veut conquérir le cœur de la jeune femme. Ce qui devait arriver arrive : Marianne, peu à l’écoute au début, tombe peu à peu amoureuse de son messager, si bien qu’elle finit par lui donner rendez-vous. Quand les jeunes s’en mêlent, Alfred en redemande. La pièce se passera en une seule soirée, sur scène, des jeunes, la fête, une nuit de folie. La langue reste splendide, la ligne du temps limpide : tout s’accélère. Avicci, Daftpunk, Stromae, David Guetta, Infinity Ink, Fun, Likke Ly, The Wanted : ce sont sur des rythmes effrénés que les protagonistes joueront le jeu. Faisant le pari d’une mise en scène classique, épurée mais résolument moderne, les Capricieux du Théâtre n’ont pas fini de faire parler d’eux. Respect du texte, ambiance de feu, professionnalisme et talents : en 1h30, elle sera capricieuse Marianne ! Le théâtre d’amateurs a tous les atouts des grands : les talents, l’envie, le public. En décidant de monter Les Caprices de Marianne, la troupe des Capricieux du Théâtre n’entend pas faire exception. Un classique pour un début, le début des classiques. _____________________________________________________ PRESENTATION DE L'ASSOCIATION : ConsTriDel est une consultation multidisciplinaire trisomie 21 et syndrômes délétionnels. La consultation accueille aux Cliniques universitaires Saint-Luc plus de 400 enfants et adolescents ayant une trisomie21 ou un syndrome délétionnel, en vue de réaliser à intervalles réguliers une mise au point médicale globale. Une psychologue spécialisée travaille au sein de ConsTriDel pour évaluer et orienter les enfants dans leur développement selon un programme novateur Canadien : E I S (évaluation-intervention-suivi). Les projets de recherches et de soins de ConsTriDel doivent être soutenus actuellement par des fonds privés. _____________________________________________________ Réservations via www.capricieux.be Places payées avant le 5 mars 2014 : - 30 ans : 15 € + 30 ans : 25 € Parking gratuit (entrée sur le coin de l'avenue Brugmann et de l'avenue Coghen) Accessible aux personnes à mobilité réduite Nous devons toujours choisir un côté.
La neutralité aide l'oppresseur, jamais l'oppressé. Le silence encourage le tourmenteur, jamais le tourmenté. Elie Wiesel ... soyez-en donc et rejoignez-nous le 30 mars à Bruxelles! la Marche Pour la Vie - 30 mars, 14h - Mont des Arts L'avortement, vraiment la libération de la femme? A l’occasion de la journée de la femme, la Fondation Jérôme Lejeune renouvelle son opposition à la discrimination prénatale.
C’est pourquoi elle publie à la veille du 8 mars une annonce dans Le Figaro sur les 117 millions de femmes manquantes, chiffre mis en exergue dans un reportage « Les Insoumises » diffusé sur Canal + le 20 novembre dernier. La sélection avant la naissance touchant les fœtus filles est récemment arrivé sur l’agenda des institutions européennes. Ainsi, la Fondation Jérôme Lejeune interroge les responsables politiques français pour savoir si ils comptent donner une suite aux demandes du commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe Niels Muiznieks. Le commissaire aux droits de l’homme pour lequel « les avortements sélectifs en fonction du sexe sont discriminatoires doivent être interdits », invitait le 15 janvier dernier les gouvernement à adopter des « mesures fortement dissuasives (…) pour éliminer cette pratique », devenue européenne, « qui tend aussi à entretenir et renforcer un climat de violence à l’encontre des femmes ». Source En signe de deuil, certains défenseurs de la vie affichaient un drapeau belge noué par un ruban noir. Ils ont également organisé des journées de jeûne et de prière à la demande de leurs pasteurs. Mais après les Pays-Bas, la Belgique est désormais le deuxième pays à avoir légalisé l’euthanasie pour les mineurs, ce 13 février 2014. Contrairement à leur voisins du Nord qui ont fixé à 12 ans l’âge minimum pour subir une euthanasie, les Belges ont pour seul critère la « capacité de discernement » du patient. Cette décision, lourde de conséquences, a pourtant été votée assez rapidement puisque le processus avait commencé le 27 octobre, avec le vote du projet à 13 voix contre 4 par la Commission des affaires sociales et de la justice du Sénat belge. Le même Sénat l’adoptait ensuite à 50 voix contre 17 le 12 décembre 2013. L'inquiétude des experts Jusqu’à la veille de l’adoption définitive du projet de loi, des Veilleurs se tenaient devant la Chambre des représentants, debout en silence malgré la pluie, pour montrer leur opposition à cette avancée supplémentaire de la culture de mort. Les 10, 11 et 12 février, un Congrès international de soins palliatifs pédiatriques réunissait à Mumbai en Inde 250 experts en soins palliatifs venus de 35 pays. Ils ont lancé un appel pressant au gouvernement belge pour réclamer, plutôt que l’euthanasie, le développement des soins palliatifs pour les enfants en fin de vie. Les experts ont précisé dans leurs conclusions que « l’euthanasie ne fait pas partie de la thérapie palliative pédiatrique et ne constitue pas une alternative ». De fait, une telle loi bouleverse profondément le sens même de la médecine qui, plutôt que de favoriser la recherche, peut désormais donner la mort quand elle ne peut plus contrer la maladie. Leurs inquiétudes, comme celles des quelques 200 pédiatres qui avaient signé une déclaration pour s’opposer au projet de loi, n’ont pas été entendues. « Un jeune peut penser en adulte après ses 18 ans. On le voit aussi dans d'autres domaines, comme dans l'octroi d'une assurance voiture. Même dans les dossiers judiciaires, l'impulsivité d'un mineur est utilisée pour adoucir la peine. Mais pour l'euthanasie, cette impulsivité ne serait pas un problème », explique ainsi le professeur Stefaan Van Gool. Car c’est bien là l’inquiétude de ces experts : comment peut-on mesurer la capacité de jeunes enfants à décider de leur mort ? Qui jugera les juges? Car la loi prévoit justement que la demande d’euthanasie doit venir de l’enfant, avec accord des parents et enquête d’une équipe médicale sur la capacité du patient à mesurer ce qu’est la mort. L’enfant devra par ailleurs être en phase terminale d’une maladie incurable dont les souffrances ne peuvent être apaisées pour pouvoir demander l’euthanasie. Certains médecins ont ainsi la prétention de pouvoir juger de la compréhension de la mort que peut avoir autrui… Mais qui jugera de l’honnêteté du jugement du corps médical ou de la pureté d’intention des parents lorsqu’ils donneront leur accord pour que l’on tue leur enfant ? Dès lors que l’interdit de tuer une personne innocente est franchi, il n’est plus de limite qui tienne. A n’en pas douter, les promoteurs de l’euthanasie en France verront dans la loi belge un exemple à suivre pour le débat qui doit s’ouvrir dans les semaines qui viennent sur la fin de vie. La Marche pour la Vie vous propose une nouvelle vidéo qui invite à porter un regard respectueux et profond à toute personne, mais spécialement aux personnes handicapées parce qu'elles y sont le plus sensible! Toute vie mérite d'être vécue! Toute vie est belle! Tout ça pour vous rappeler qu'on vous attend en masse ce 30 MARS 2014 au Mont des Arts!
Toutes les infos nécessaires sont sur le site: www.march4life.be Le quotidien d’une jeune fille trisomique n’est pas facile. Le regard de l’autre tue, et malgré son handicap, elle en a bien conscience. Ce regard est omniprésent : en ballade, au supermarché, dans la rue. A chaque seconde, elle est épiée, dévisagée sous toutes les coutures. Souvent avec une curiosité malsaine. Son quotidien, c’est ça. En plus du rejet et du « non, toi, tu peux pas faire ça, t’es malade, t’es pas normale ». Comme toujours, la méconnaissance entraîne la peur et le rejet. Si vous la connaissiez cette jeune fille, vous sauriez qu’elle est comme vous : elle aime se faire belle, mettre de jolies robes roses, se maquiller, danser, chanter, lire, regarder « Plus belle la vie », s’occuper des autres, des bébés, faire des câlins et des bisous ! Alors, depuis quelques années, quelques initiatives sont prises ci-et-là pour la mettre dans la lumière, et espérons-le, changer le regard de l’autre sur elle. Karrie, Mathilde, Éléonore,… elles sont trisomiques, et fières de l’être ! Lisez leur témoignage sur Capucine trisomique, et alors? Chaque année, de belles initiatives sont prises. Valentina, petite fille de quelques mois, est devenue, l’an dernier, l’égérie d’une ligne de maillots de bain pour bébés. De même, avec de nombreux partenaires, la fondation Jérôme Lejeune a lancé une grande campagne d’affichage « Trisomique, et alors ? ». Une campagne de sensibilisation positive qui vise à interpeller le grand public sur le regard qu’il a sur les trisomiques. L’un des messages que nous aimons, nous, le Blog pour Filles : « Mes parents ne savaient pas. Aujourd’hui, ils m’appellent princesse ! » Sarah, 3 ans. En juin dernier, Marseille Rêve, avec Erick Benzi, a réalisé un très joli clip « Et toi ? » que vous pourrez voir ici : www.youtube.com/watch?v=ozLSSB31bKs. Les jeunes filles d’aujourd’hui sont indépendantes et défendent leurs droits. Qu’elles soient trisomiques, ou non, ni change rien. Nous finirons par quelques mots d’une chanson de Céline Dion, écrite par Nathalie Nechtschein, une grenobloise trisomique qui affirme elle aussi : « Je suis née trisomique 21. Moi, je dis que c’est une étiquette que les non-handicapés m’ont donnée. Parfois, je trouve les soi-disant normaux bien plus handicapés que moi ». Nathalie est l’auteure de « Si j’étais quelqu’un« . C’est Erick Benzi, l’associé de Jean-Jacques Goldman, qui a repéré ses talents de poétesse lors du visionnage d’un documentaire « Voyage en Mongolie intérieure » de Bernard Martino diffusé sur Arte. Séduits, Jean-Jacques Goldman et lui se sont rendus sur son blog et sont tombés sur son poème intitulé « Si j’étais quelqu’un comme les autres » qui parle de la solitude, de la différence, du rêve.
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Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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November 2023
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