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Avant que vous ne soyez décus devant l'illusion du manque de monde à Lima, la raison est le décalage horaire : Pour montrer que Bxl n'est pas en reste, rendez-vous ce dimanche 29 mars !!
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Des centaines de milliers de personnes ont manifesté en faveur de la vie de l'enfant conçu, de la femme, de la maternité, et contre l'avortement en Espagne. Madrid - 14 mars 2015. Des centaines de milliers de personnes ont participé samedi à la manifestation "Chaque vie compte. Pour la vie, la femme et la maternité", à Madrid, qui a commencé à midi rue de Séville et s'est achevée à la Porte d'Alcala par un rassemblement rythmé de témoignages personnels comme celui d'Helena, une fille de huit ans qui a décidé de demander comme cadeau d'anniversaire du lait et des langes pour les mères en difficulté qui sont aidées par la Fondation REDMADRE, et celui d'une famille avec 3 enfants biologiques qui en a adopté un quatrième, un enfant atteint du syndrome de Down qui a aujourd'hui 18 ans. Au cours de l'événement ont été entendues des oeuvres musicales composées pour "Chaque vie compte" dont le thème est la défense de la vie et de la maternité. Des discours ont été prononcés par Alicia Latorre, présidente de la Fédération Espagnole d'Associations Pro-vie, et Benigno Blanco, président du Forum Espagnol de la Famille. Dans son intervention, Benigno Blanco a déclaré: "Nous sommes ici aujourd'hui, de nouveau, pour éviter que tombe sur l'avortement un mur de silence. Pour continuer à donner une voix dans la rue à ceux qui ne peuvent pas se défendre parce qu'ils sont dans le ventre de leur mère. Pour offrir à toutes les femmes enceintes le soutien dont elles ont besoin pour être mères. Pour leur dire qu'elles ne sont pas seules. Et aussi pour tendre notre main et offrir notre aide à toutes les femmes qui ont vécu un avortement, si elles en ont besoin." Blanco a ajouté qu'il était de la responsabilité de la société civile de "parler, manifester, voter, créer des réseaux de soutien aux femmes, et donner une visibilité à l'enfant conçu dont la vie est menacée." Le président du Forum de la Famille a aussi fait référence à l'initiative du Parti Populaire sur l'avortement présentée au Congrès, et a demandé "aux parlementaires du PP qu'ils ne soutiennent pas une initiative de leur groupe si celle-ci n'incorpore pas des normes raisonnables de protection de la vie, puisque le PP a la majorité absolue, et un engagement à tenir à l'égard de son électorat." > En directo: Miles de personas inundan el centro de Madrid por el 'Cada vida importa' > La manifestation pour la Vie s'achève à Madrid > Espagne: manifestation à Madrid pour le droit à la vie et contre l'avortement > Les pro-vie défilent par milliers à Madrid (CVI Madrid/Lainformacion - Traduction Espérance Nouvelle)
venez défendre TOUS les enfants à naître ce 29 mars à Bruxelles !
Comme pour rappeler que le mouvement provie n'est pas une idéologie, mais une pensée humaine et réaliste, la Marche Pour la Vie se lance dans un rappel tout simple de ces faits.
Suivez-les et faites le buzz, le monde a le droit de connaître la vérité ! Rappelez-lui les petits faits de base qui le réveilleront ! Rien que des bonnes idées pour se préparer au grand évènement national du 29 mars !!! Micah était âgée de dix-sept ans lorsqu’elle a découvert qu’elle était enceinte. Mais l’avortement n’était tout simplement pas une option pour elle et son petit ami, Kyle. « Nous n’étions pas prêts du tout, mais nous sentions tous les deux que nous devions assumer l’entière responsabilité du bébé qui était en train de croître à l’intérieur de moi », a-t-elle dit à LifeSiteNews. Bien que ne se sentant pas prêt à élever un enfant, le couple commença bientôt à ressentir un enthousiasme croissant pour le bébé grandissant à l’intérieur de Micah. Toutefois, leur enthousiasme se transforma en peur et chagrin lorsque lors d’une échographie à 18 semaines de grossesse, ils découvrirent que le bébé que portait Micah souffrait d’une condition appelée anencéphalie. Cela signifiait que leur fille n’avait pas développé une grande partie de son cerveau, de son crâne, et de son cuir chevelu. Les docteurs lui dirent que le bébé ne survivrait pas à l’extérieur du ventre. Le docteur de Micah lui suggéra immédiatement l’avortement. Et, bien que Micah et Kyle aient refusé dans un premier temps, Micah a avoué que pendant une semaine après le diagnostic, avorter semblait en réalité être l’option la plus attrayante. Elle craignait qu’il serait plus douloureux de mener sa grossesse à terme et donner naissance à un enfant mort-né que de simplement « mettre fin à la grossesse » à 18 semaines. « Je portais un bébé qui ne serait probablement pas né vivant. Ma fille ne pouvait pas survivre à l’extérieur du refuge que j’avais créé pour elle », a-t-elle dit. « Il a fallu des mois pour que j’accepte ma décision de porter la grossesse à terme. J’étais constamment confrontée à des questions. Pourquoi? Comment? » Pourtant, Micah commença à comprendre les réponses à ces douloureuses et difficiles questions. « Pourquoi? Parce que quoi qu’il en soit, elle était ma fille. Il y avait une vie à l’intérieur de moi et je ne pouvais simplement pas lui ôter cela. Elle n’avait pas choisi ce qui lui était arrivé, alors comment pourrais-je choisir de mettre fin à sa vie afin d’avoir un peu moins de chagrin? » « Comment? Continuer avec la vie de tous les jours! La conclusion était simple. Elle était vivante, elle avait une vie et c’était mon travail en tant que mère de lui donner la meilleure vie possible». Pendant sa grossesse, Micah était étonnée de l’insensibilité des gens qu’elle a rencontrés. « Beaucoup de gens étaient très désobligeants quant à l’idée de porter un bébé qui n’était même pas destiné à vivre en dehors du ventre… la quantité de commentaires que j’ai reçus, tels ‘Pourquoi n’avortes-tu pas?’ Les gens semblaient penser qu’en avortant, tout serait plus facile. Tout finirait par disparaître, comme si rien n’était jamais arrivé ». Mais Micah savait que porter à terme la naissance était son unique option. « Je leur ai expliqué : ‘je préfère supporter les chagrins qui s’annoncent (qui sont à venir) si je donne naissance à ma fille, parce qu’ainsi, je peux au moins lui donner une chance de s’en sortir’ ». Micah et Kyle décidèrent de nommer leur fille Ambra Storm. Micah commença à jouir de sa grossesse. Elle rappelle que le bébé « a toujours eu peur des bruits forts. Les jeux de football n’étaient plus très amusants pour moi. Elle était toujours si drôle. Elle donnait des coups à quelques reprises, s’arrêtait pendant trois minutes et puis on voyait mon ventre à nouveau rebondir de haut en bas. C’était comme s’il y avait une fête là-dedans! » La mère de Micah a partagé sa propre expérience de la grossesse de sa fille. « Il n’y avait pas un instant pendant lequel le ventre de Micah ne bougeait pas. Nous avons beaucoup ri lors des crises de colère de Ambra. J’ai eu de la difficulté à être là pour Micah. Je pouvais lui apprendre à être une mère, je pouvais même lui montrer comment être une bonne mère adolescente. Mais je ne savais pas comment l’aider à travers ceci. Nous avons décidé que parler, rire, et pleurer tous ensemble était la façon dont nous allions gérer ceci et c’est ce que nous avons fait ». En raison d’une quantité excessive de liquide amniotique, à 35 semaines, Micah commença à éprouver des difficultés à respirer. Le médecin ordonna donc de provoquer l’accouchement. « Avec le recul, je pense que je savais que quelque chose n’allait pas quand j'ai senti qu’Ambra ne bougeait plus. Elle était surexcitée la plupart du temps! Je ne voulais pas d’un moniteur fœtal pendant le travail, car je ne voulais pas savoir, pendant cette phase, si elle était décédée ». « 20 minutes plus tard, Ambra est arrivée au monde. Ils l’ont rapidement placée sur ma poitrine et l’ont nettoyée. Personne ne parlait. Je me souviens que ma mère me regardait et me fit un signe de la tête. Mais les paroles ‘elle est morte’ n’ont jamais été prononcées ». Micah et Kyle eurent trois heures et demie avec leur fille. Ils étaient étonnés de découvrir les beaux et familiers traits de Ambra. « Naturellement, comme toute maman, j’ai commencé à compter ses orteils et je me suis rendue compte qu’elle n’en avait que neuf, alors que son père a fait remarquer qu’ils étaient comme les siens. Son petit orteil est sous son autre orteil. J’ai commencé à rire en voyant tous nos traits qu’elle possédait. Elle avait mes cheveux noirs, les longs cils de son papa, mes joues et les jambes longues comme nous deux. Elle avait le menton de ma mère et le nez de ma famille ». Les funérailles de Ambra eurent lieu deux jours après sa naissance. Micah décrit l’événement comme un moment de deuil, mais elle soutient qu’elle ne regrette pas avoir porté sa fille et lui avoir permis de naître. « Tout au long de ma grossesse, il était important pour moi de ne pas faire le deuil de ma fille. Elle était encore en vie et je n’allais pas la pleurer avant qu’elle ne soit réellement partie ». La mère de Micah ne regrette pas non plus le choix de sa fille de donner naissance à Ambra. « Je ne peux même pas commencer à expliquer ce qu’a signifié pour moi passer à travers cette épreuve, cette aventure avec Micah. J’ai une merveilleuse, aimante, et belle fille qui a donné naissance à une magnifique petite-fille, mon premier petit-enfant, Ambra Storm. Cette expérience nous a rapprochées encore plus en tant que mère et fille…je suis tellement fière d’elle ». Beaucoup de jeunes femmes se trouvant dans la situation de Micah choisiraient l’avortement, tout simplement parce qu’elles ne sentent pas qu’elles pourraient faire face à la grossesse et à la maternité adolescente. Et surtout en considérant le fatal diagnostic d’anencéphalie. Et pourtant, Micah défend courageusement sa décision de porter à terme sa grossesse et donner naissance à sa fille. Elle encourage d’autres jeunes femmes se trouvant dans des situations similaires à faire de même. Micah a également consacré sa vie à partager le message pro-vie en l’honneur de Ambra. « J’ai pu rencontrer ma fille, la tenir dans mes bras et l’embrasser. Je ne pouvais pas imaginer ne pas être en mesure de partager ces quelques heures avec elle. Même à ce jour, lorsque je partage mes histoires, des docteurs, des mères de plusieurs enfants, des pères, et des inconnus demandent, ‘pourquoi ne pas avorter?’ Cela m’attriste de savoir que c’est la façon dont nous pensons. Je continue à me battre pour elle, et pour tous les bébés qui ont été avortés ». Culture de la Vie / LifeSiteNews cliquez sur l'image pour voir le formulaire !
Euthanasie : aucun signal inquiétant selon Koen Geens
Le ministre de la Justice, Koen Geens, n’a reçu aucun «signal inquiétant» qui indiquerait que la loi sur l’euthanasie ou son respect nécessitent un «ajustement dans la pratique», a-t-il indiqué jeudi à la Chambre, en réponse à une question de Jean-Jacques Flahaux (MR). «Il va de soi que si je recevais des signaux dans ce sens, je mettrais naturellement tout en œuvre pour faire en sorte que cette loi soit respectée», a-t-il ajouté. Le ministre a dit par ailleurs n’avoir pas connaissance détaillée de cas qui ont donné lieu à la transmission d’un dossier au procureur du roi. Les évêques de Belgique ont publié lundi une tribune libre dans laquelle ils s’inquiètent d’une extension de la loi aux personnes démentes et dénoncent l’application de la loi depuis 2002. Selon eux, les dérives qu’ils redoutaient se sont produites. «Les bras m’en sont tombés», a lancé le député, qui s’est dit chrétien. «En Belgique, ce sont les représentants élus, et eux seuls, qui définissent la loi, aucune autre autorité, de quelque chapelle qu’elle soit. Votre réponse confirme que ces déclarations n’avaient pas lieu d’être». Belga Omstreden wet nog niet gebruikt Een jaar nadat de euthanasiewet voor minderjarigen in werking trad, is er nog geen enkel geval geregistreerd. … Wim Distelmans, professor palliatieve geneeskunde aan de Vrije Universiteit Brussel, is niet verrast: "We wisten dat de wet zeer zelden zou worden toegepast. In Nederland werd in tien jaar tijd slechts vijf maal euthanasie toegepast op een minderjarige. Maar dat doet niets af aan de waarde van die wet: zelfs al gaat het maar over enkele gevallen, het gaat steeds om zeer schrijnende situaties en het is goed dat we de jonge patiënt, de familie en de artsen een duidelijk wettelijk kader kunnen geven. Het is van cruciaal belang dat die mensen zich niet langer in een grijze zone moeten begeven." Een andere reden waarom de wet zo weinig ingeroepen wordt, is dat een aantal artsen liever gebruikmaakt van palliatieve sedatie waarbij een patiënt zo veel pijnstillers toegediend krijgt dat hij/zij in coma gaat en overlijdt. "Levensbeëindiging door middel van palliatieve sedatie komt nog altijd zeven keer meer voor dan euthanasie", zegt Distelmans. "Vaak gaat het om gevallen waarbij de instemming van de patiënt niet werd gevraagd en waarbij de familie niet werd verwittigd waardoor afscheidnemen niet meer mogelijk was. Schrijnend. Daarom pleit ik ervoor dat ook palliatieve sedatie voortaan bij de Evaluatiecommissie wordt aangegeven. In het universitair ziekenhuis van Brussel hebben we trouwens beslist om voor palliatieve sedatie aan autoregistratie te doen. Op die manier creëren we volledige transparantie." De Morgen, p. 9 Mineurs d’âge: Pas encore d’euthanasie Un an après la promulgation de la loi du 28 février 2014 ouvrant, sous certaines conditions, l’euthanasie aux mineurs en Belgique, aucun cas n’a été enregistré. La Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie n’a en effet reçu aucun document de déclaration concernant un mineur jusqu’à présent. Le médecin doit adresser à ladite commission ce document quatre jours au plus tard après une euthanasie. La Libre Belgique p. 10 Mode d’emploi 1 Mettre des chaussettes dépareillées 2 Prendre une photo 3 Partager sur Facebook et Twitter (ou envoyer à photos@fondationlejeune.org ) en utilisant le mot-clé « #» 4 Inviter ses amis à faire de même Nous vous invitons à partager sur Twitter ou sur Facebook vos photos de chaussettes différentes. - See more at: http://www.fondationlejeune.org/…/socksbattle4ds-bataille-d… Cliquez ici pour modifier.
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Jeunes Pour la Vie
(JPV) est une ASBL dont l'objet social principal est la promotion et la défense de la vie humaine depuis sa conception jusqu'à la mort naturelle. N'hésitez pas à nous partager vos remarques, idées, ... soit via les commentaires aux articles soit via notre adresse mail: jvl-jpv@live.be
Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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November 2023
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