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Quand le RTBF donne la parole à une famille qui refuse l'Euthanasie du père atteint de la maladie de Charcot, cela mérite d'être relevé à la minute 13.22
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Le « look » ou l’apparence, que ce soit celui de personnages politiques, des arts ou même du sport, compte beaucoup pour ceux-ci. La recherche du détail de l’habillement, de la coiffure ou autre a de plus en plus en plus d’importance, que ce soit pour l’artiste lui-même ou pour son impresario ou manager et sponsors dans le cas de sportifs. Pourtant, quelques grands sportifs belges n’ont pas hésité à se défigurer (sur photo bien entendu) pour promouvoir la bonne cause. Des photos représentant Kim Gevaert (athlétisme), Kevin de Bruyne (football) et Jean-Michel Saive (tennis de table), circulent depuis quelques jours sur internet. En soi, rien de spécial, vu leur notoriété, au détail près qu'ils sont représentés comme ayant la trisomie 21. Un message accompagne ces photos: "Serais-tu encore mon supporter si je ressemblais à ça ?" Kevin de Bruyne voudrait aider à casser le tabou qui entoure les athlètes avec une déficience mentale : "Pourquoi les athlètes avec une déficience mentale ont-ils si peu d'attention ? Ils s'entrainent dûr et font, eux aussi, des prestation de haut niveau." Dans la province d'Anvers ont lieu du 9 au 20 septembre les "Jeux Européens d'Eté 2014-Special Olympics", pour la 1e fois en Belgique. Plus de 2000 athlètes venant de 58 pays font le déplacement pour donner le meilleur d'eux-mêmes. Jamais auparavant un tel évènement n'avait été organisé en Belgique au profit d'athlètes souffrant d'une déficience mentale. En Belgique nous avons pourtant 165.000 personnes souffrant d'une telle déficience. Ce qui veut dire qu'une personne sur dix en Belgique est directement concernée. Et pourtant personne n'en parle. Une grande prestation mérite un grand public 83 médailles, mais à part la famille et quelques proches, personne pour les soutenir ! Changeons ça ! Ceux qui veulent soutenir les athlètes, peuvent le faire pendant les Jeux Européens d'Eté, Special Olympics 2014. Toutes les compétitions sportives sont accessibles gratuitement du 9 au 20 septembre. Badminton, Judo, Tennis de table et pétanque : Antwerp Expo Football et basketball : Centre Sportif Het Rooi. Natation : Piscine Olympique Wezenberg Athlétisme et gymnastique : Den Uyt (Mol) Courses cyclistes : Balendijk, Lommel Via le site www.so2014.com qui donne un aperçu informatique, on peut également acheter un billet pour la cérémonie d'ouverture qui aura lieu le samedi 13 septembre au Brussels Expo ou lors de la cérémonie de clôture le samedi 20 septembre au Sportpaleis d'Anvers. Natalia, Stijn Meuris, Kate Ryan et Sandra Kim seront présents sur la scène ! Infos en néerlandais La loi belge du 28 mai 2002 qui a dépénalisé l’euthanasie garantit aux professionnels de la santé une clause de conscience en matière d’euthanasie.
Plus personne n’ignore, que le 28 février 2014 a été promulguée la loi modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie en vue de l'étendre aux mineurs. Moins médiatisé est le fait que d’autres propositions de loi, liées à l’euthanasie et le droit de s’opposer personnellement à son exercice, ont été déposées au Sénat belge le 26 juin 2013. L’une d’entre elles vise à « fixer un délai à respecter par le médecin, d'une part, pour répondre à la demande d'euthanasie du patient et d'autre part, pour transmettre le dossier médical du patient à une commission au cas où il refuserait d'accéder à la demande de celui-ci ». Une loi peut-elle contraindre la conscience d’un individu ? Quelle force légale ou légitimité sociale reconnaître au droit à l’objection de conscience face aux prescrits d’une loi ? Plusieurs textes juridiques internationaux garantissent le droit à la liberté de conscience. Il s’agit notamment de l’article 9 de la Convention Européenne des droits de l’Homme et de la Résolution 1763 sur le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux, adoptée par le Conseil de l’Europe le 7 octobre 2010. Madame Andrea POPESCU, juriste au « European Center for Law and Justice » à Strasbourg (ECLJ), siège de la Cour européenne des droits de l'homme, exposera les implications juridiques et éthiques liées à l'exercice effectif du droit à l'objection de conscience. Elle se penchera également sur l’état de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme sur l’objection de conscience. Selon un rapport officiel, 1.807 Belges ont choisi de mourir euthanasiés l'an dernier. Une hausse de 27 % par rapport à 2012.
Chaque année, c'est un nouveau record. Depuis que la Belgique est devenue, en 2002, l'un des rares pays au monde à autoriser l'euthanasie, les chiffres connaissent une croissance exponentielle. En 2013, selon un projet de rapport de la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie, 1.807 personnes ont choisi de mourir euthanasiées. Soit cinq par jour. C'est une hausse de 27 % par rapport aux 1.432 cas enregistrés en 2012. Après un bond de 25 % par rapport à 2011… «Peut-on vraiment croire qu'il y ait eu une si forte hausse des maladies incurables en Belgique?, interroge Étienne Dujardin, coordinateur des Dossards jaunes, un mouvement citoyen qui réclame un contrôle plus strict de l'euthanasie. Il n'y a jamais eu aucun signalement, par la commission de contrôle, de cas jugés non conformes à la loi. Ce qui est statistiquement étonnant, en comparaison de ce qui se passe aux Pays-Bas… Alors que les critères deviennent de plus en plus souples, on voit clairement qu'il y a une dérive!» En octobre dernier, l'euthanasie de Nathan, un transsexuel de 44 ans, avait ému la Belgique: il n'était pas atteint de «maladie grave et incurable», mais, après une opération de changement de sexe ratée, ses souffrances psychiques lui étaient devenues «insupportables». Quelques mois auparavant, c'était deux frères sourds de 45 ans qui avaient choisi de mourir ensemble, parce qu'ils perdaient la vue. Et en janvier, «le plus vieil athlète» du royaume était décédé à 95 ans par euthanasie après avoir «célébré» son départ avec une centaine de proches, une coupe de champagne à la main. «Non demandée» Il ne s'agit là que d'euthanasies déclarées à la Commission de contrôle et d'évaluation… «Le Pr Wim Distelmans, coprésident de cette commission, a lui-même affirmé en 2012 que près de la moitié des euthanasies étaient réalisées clandestinement en Belgique!, souligne Étienne Dujardin. Mais la société civile est en train de se lever: deux personnes viennent de porter plainte contre cet oncologue qui avait procédé, sans les prévenir, à l'euthanasie de leurs parents.» Les médecins vont-ils bientôt avoir le droit de vie ou de mort sur leurs patients?, s'inquiètent les détracteurs de l'euthanasie. Alors que la Belgique est devenue, en février, le seul pays à autoriser l'euthanasie des mineurs, sans limite d'âge, certains réfléchissent déjà à la prochaine étape. La Société belge de soins intensifs vient ainsi de publier un document réclamant l'autorisation de l'euthanasie «non demandée». «Raccourcir le processus de fin de vie par l'usage de médicaments, comme les analgésiques ou les sédatifs, peut parfois être approprié, même en l'absence d'inconfort, et peut améliorer la qualité de la fin de vie», précise le texte. «L'euthanasie non demandée, qui est plus régulièrement pratiquée, devrait susciter davantage d'intérêt, insiste le Pr Jean-Louis Vincent, ancien président de cette Société de soins intensifs, dans une tribune publiée par le quotidien belge Le Soir. Ces malades ne sont pas suffisamment conscients pour faire une demande explicite. Il ne s'agit pas d'augmenter les médicaments pour empêcher toute douleur, mais bien de précipiter la mort lorsque la qualité de vie est devenue insuffisante.» Quand une politicienne met en première place de ses priorités la défense de la vie, de la conception à la mort naturelle, il faut que ça se sache!
Nous relayons donc avec joie cette bonne nouvelle! "L’euthanasieur le plus en vue de Belgique, le Dr Wim Distelmans, organise un voyage d’études à Auschwitz, le camp d’extermination nazi. Son invitation adressée à des professionnels de santé il décrit Auschwitz comme un environnement « stimulant » dans lequel on peut « lever la confusion autour de l’euthanasie ». Le voyage d’études organisé par Distelmans aide en effet à clarifier les choses : il montre combien est minime la distance entre l’euthanasie belge en 2014 et les camps de la mort nazis en 1944. Faire le lien entre le droit de mourir et les nazis est tabou dans la plupart des milieux. De fait, on estime généralement que les opposants ont le dessous dans toute discussion dès l’instant où ils prononcent le mot « nazi ». Mais l’initiative époustouflante du Dr Distelmans pourrait bien mettre fin à cet automatisme.Organiser un séminaire sur l’euthanasie dans un camp de la mort où l’idée d’une « vie qui ne vaut pas d’être vécue » a pris sa forme la plus extrême est pour le moins bizarre. Le Dr Distelmans a souvent fait la une des médias du monde entier. Il a été filmée par la télévision au moment où il tuait Nathan Verhelst, en grande souffrance à la suite d’une opération de changement de sexe ratée. Il a pratiqué la première euthanasie double du monde en tuant les jumeaux Marc et Eddy Verbessem, que les services sociaux belges n’avaient pas su aider. Par trois fois au moins, il a été impliqué dans l’euthanasie de personnes souffrant de dépression. Lire la suite La question de l’euthanasie des enfants malades fait son entrée dans la campagne électorale. Choqués par le manque de transparence démocratique, des citoyens ont tenu à coller des affiches indiquant si le candidat a voté pour l’euthanasie. Reportage. La rumeur courait depuis quelques jours: les affiches de candidats ayant voté pour l’euthanasie des mineurs auraient été barbouillées d’autocollants indiquant leur vote. Mais aucun signe distinctif ne permettait de le relier à un quelconque groupe.
Rendez-vous est donc pris, un soir à Bruxelles, avec ces mystérieux colleurs d’affiches. Cinq personnes. Deux voitures. 200 affiches. Assez pour tenir toute la nuit. Chaque député pour l’euthanasie y passe Les cinq amis ont tout prévu: un rouleau de tapisserie avec un manche de 6 mètres de long, mais aussi des affiches « Il a voté pour l’Euthanasie des enfants » dans les deux langues. Et pour ne pas faire de sexisme, il y a aussi des affiches au féminin. Sur chaque affiche, un pouce renversé, symbolisant la réprobation. Une action trop violente? Chacun jugera, mais nous rappellerons qu’il est illégal de s’en prendre à une affiche électorale. Rappelons aussi qu’il est interdit de coller entre 22h et 6h du matin. A la base de cette initiative: Julien et Christophe. Les deux hommes ne se connaissaient pas avant, mais ont réuni quelques connaissances pour que la question de l’euthanasie des enfants malades soit discutée par les électeurs. A 26 ans, Julien n’hésite pas à passer ses soirées à son travail d’affichage: « Ces députés pensent qu’on s’en fiche, mais nous les citoyens, on ne s’en fiche pas du tout ». Pour Christophe, père de famille issu du monde de l’entreprise, la question est surtout démocratique. « Ce vote s’est fait sans transparence: nous voulons montrer qui a voté pour quoi ». Leur technique est bien rôdée: d’abord vérifier quel candidat a voté la loi sur l’euthanasie des enfants, étaler la colle, apposer l’affiche, puis éliminer soigneusement les plis et bulles d’air. Aucun esprit partisan: tous les politiciens ayant voté pour l’euthanasie y passent, peu importe le parti. PS ou N-VA, MR ou Groen, chacun a droit à son affiche, dans sa langue. Analyse: qui a peur d’afficher son vote? Mais ces affichages sauvages ont-ils vraiment un impact? On peut aisément se douter que leurs affiches seront très vite recouvertes par de nouvelles affiches des candidats, cela s’appelle le surcollage. A quoi aura alors servi leur travail? Ce n’est sûrement pas le PS qui a le plus à perdre de ce petit jeu: les députés socialistes assument sans honte leur engagement en faveur de l’euthanasie des enfants malades. Mais dans les partis de droite comme la N-VA ou le MR, les électeurs pourraient se souvenir du vote de certains candidats. En Flandre, les électeurs chrétiens hésitant entre la N-VA et le CD&V pourraient finalement se décider à sanctionner les nationalistes pour avoir largement voté en faveur de l’euthanasie. A l’inverse, le cdH et le CD&V pourraient récolter les bénéfices de leur engagement contre cette loi. Mais quoi qu’il en soit, les cinq activistes savent bien que leur travail n’influencera pas le cours de la campagne. Ils veulent plutôt montrer qu’ils restent déterminés à éviter que ce sujet tombe dans l’oubli et donc la banalisation. Débutée à 23h à Bruxelles, la folle randonnée ne se terminera qu’à deux heures du matin dans le Brabant wallon! A cette heure-là, Christophe conclut la soirée: « Il faut rentrer sinon on va se faire engueuler par nos femmes! » M.B. Source et photos: Médias Catholiques Belges Francophones (mcbf.be) 1. Parce que n'avoir plus que la mort à proposer est un échec pour notre société 2. En signe de solidarité aux personnes handicapées 3. Parce que l'euthanasie des mineurs est un poids supplémentaire à la souffrance des patients et leurs proches Lire le témoignage: les lois sur l'euthanasie enfoncent les parents dans le désespoir 4. Parce que la loi sur l'euthanasie des mineurs est basée sur des principes subjectifs tels que la capacité de discernement 5. parce que l'euthanasie n'est pas un acte médical comme un autre 6. Parce que les personnes démentes ne demandent pas la mort, seulement de l'amour! 7. Parce que l'euthanasie n'est pas digne de l'homme 8. Les femmes méritent mieux que l'avortement 9. Leurs enfants aussi 10. Nous avons tous été un embryon et nous avons été respectés 11. Parce qu'on parle déjà d'avortement post-natal et que nous refusons cette pratique! 12. Parce que cette culture de mort nous inquiète et que nous voulons une société véritablement humaine! 13. Parce que malgré les difficultés, il ne faut pas se décourager, la vie vaut la peine d'être défendue! Le 13 février c’était les mains crispées que j’attendais le résultat du vote. J’espérais encore. Lorsque monsieur Flahaut annonce la fin du vote et l’écran affiche ce que je craignais le plus, j’avais l’impression que le long travail que nous avions fait n’avait servi à rien. Mais j’avais tort. Il est fort probable que vous aussi vous vous demandiez à quoi la Marche pour la vie pourrait servir puisque l’euthanasie pour les enfants est déjà passée. Si j’étais en face de vous j’hocherais la tête tristement, mais tout de suite après je vous prendrai par l’épaule et vous secouerai. Fin mai, nous élirons le parlement et la chambre des représentants. Certains partis politiques veulent l’euthanasie pour les personnes démentes, les nouveau-nés et les personnes souffrant d’une maladie mentale. Vous voyez venir l’importance de la Marche ? Il y cinq ans, le première Marche pour la Vie voyait le jour en Belgique. Cette marche était conçue pour l’anniversaire des 20 ans de la dépénalisation de l’avortement. La Marche a connu dès lors un succès grandissant, jusqu’à l’année passée. Cette année, l’importance de la marche est immense. Lors de la première marche nous avons réussi à faire peur à certains politiciens qui avaient en tête de rallonger le délai pour un IVG . Ce 30 mars, nous voulons réitérer ce blocage. lire la suite de la lettre 14. Si par hasard, sait-on jamais il vous manquait encore un argument, espérons que vous en trouverez un là: 15. Parce que la défense de la Vie a besoin de votre voix, tout simplement!
Alors rendez-vous demain à 14h au Mont des Arts « Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien » (E. Burke) Lettre d'une étudiante, parce que la défense de la vie passe par votre présence, par votre voix. On vous attend dimanche, tout simplement! Le 13 février c’était les mains crispées que j’attendais le résultat du vote. J’espérais encore. Lorsque monsieur Flahaut annonce la fin du vote et l’écran affiche ce que je craignais le plus, j’avais l’impression que le long travail que nous avions fait n’avait servi à rien. Mais j’avais tort. Il est fort probable que vous aussi vous vous demandiez à quoi la Marche pour la vie pourrait servir puisque l’euthanasie pour les enfants est déjà passée. Si j’étais en face de vous j’hocherais la tête tristement, mais tout de suite après je vous prendrai par l’épaule et vous secouerai. Fin mai, nous élirons le parlement et la chambre des représentants. Certains partis politiques veulent l’euthanasie pour les personnes démentes, les nouveau-nés et les personnes souffrant d’une maladie mentale. Vous voyez venir l’importance de la Marche ? Il y cinq ans, le première Marche pour la Vie voyait le jour en Belgique. Cette marche était conçue pour l’anniversaire des 20 ans de la dépénalisation de l’avortement. La Marche a connu dès lors un succès grandissant, jusqu’à l’année passée. Cette année, l’importance de la marche est immense. Lors de la première marche nous avons réussi à faire peur à certains politiciens qui avaient en tête de rallonger le délai pour un IVG . Ce 30 mars, nous voulons réitérer ce blocage. J’aurais aimé vous dire qu’il ne s’agissait qu’un combat très loin de chez nous et que cela ne nous concernait pas, et que donc vous ne deviez surtout pas vous sentir obligé de venir marcher avec nous. Mais malheureusement ce combat vous concerne vous. Il me concerne moi. Il concerne vos parents, vos grands-parents, il concerne vos (futurs) enfants et petits-enfants. Il concerne le bien-être de notre pays. Ce n’est pas pour quelque chose de flou qu’on marchera, mais pour celui qu’on euthanasie maintenant, pour la mère qui en ce moment pleure son enfant. Ça ne se passe pas à côté de chez nous, ça se passe chez nous. Et tôt ou tard, l’euthanasie vous concernera, de près ou de loin. Tout est encore possible, nous pouvons (et nous allons) aller de l’avant et changer cette loi. Mais on a besoin de vous. Vous êtes vivants, vous avez le pouvoir de sauver des tas de vies, et qui sait, peut-être même sauver la vôtre. Venez à la Marche pour la Vie, parlez-en autour de vous. Sensibilisez sans cesse et surtout, ne perdons jamais courage. Ghandi a dit : d'abord ils vous ignorent, ensuite ils vous raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. Plus qu’une étape les gars, allez, un dernier effort ! Le soir du vote de la loi, j’ai envie de baisser les bras lorsqu’une amie m’appelle. Elle est triste elle aussi, mais directement elle parle de nouveaux projets, et de la marche pour la vie. Il n’y a pas le temps de se décourager, hup hup, au boulot. La vie a besoin de nous. |
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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