Une vidéo des parents d'Eliot, né avec un poumon sous-developpé, un orifice au coeur et son ADN muté, pour montrer que toute vie bien que courte vaut la peine d'être vécue. Merci pour ce beau témoignage !
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FIGAROVOX/TRIBUNE - L'abandon d'un enfant trisomique à l'issue d'un contrat de mère porteuse a suscité l'émoi du monde entier. Pour Jean-Marie Le Méné le rejet de cet enfant handicapé fait voler en éclats le mythe d'une GPA éthique. Comment la naissance d'un enfant trisomique ruine la GPA L'affaire de la GPA, dans laquelle un couple australien s'est emparé de l'enfant sain et a rejeté son jumeau trisomique qu'il a abandonné à la mère porteuse thaïlandaise, suscite des commentaires plutôt embarrassés. On comprend pourquoi. Le mythe de la GPA vient d'être pulvérisé en plein vol. D'un coup de baguette magique, la GPA quitte les strass et les paillettes qui la présentaient en bonne fée pourvoyeuse de Bébés-Cadum pour gentils couples en mal d'enfants. Voilà que «le-couple-à-qui-nul-ne-saurait-imposer-une-souffrance» se transforme en client-roi parfaitement odieux qui bouffe ce qui lui plait et laisse le reste sur le bord de l'assiette. Voilà que le refus par la mère porteuse de l'avortement du jumeau handicapé devient un acte de résistance. Voilà que l'enfant trisomique devient une victime symbolique qui déclenche un élan international de générosité et le rend bénéficiaire - pour l'aider à vivre - d'une somme dix fois supérieure à celle promise à sa mère infortunée. Bref, c'est l'horreur pour les promoteurs de la GPA qui sont pris à contre-pied. Les stéréotypes se retournent, la logique de la GPA s'inverse, Pierre Bergé peut se remettre à la couture. Pourtant, rien ne devait poser de problème. Le couple était bien comme il faut, à l'ancienne, composé d'un homme et d'une femme, et frappé d'infertilité. Il s'agissait donc d'une indication quasiment médicale pour laquelle certaines bonnes âmes seraient tentées d'être accommodantes (le fameux «cas où» le GPA serait acceptable). La mère porteuse avait plus qu'honoré son contrat puisqu'elle avait donné naissance non pas à un, mais à deux enfants. N'était-ce pas une bonne nouvelle, pour tout couple en mal d'enfants, que d'être comblés par une surabondance imprévue? Nul complot n'a été ourdi pour faire dérailler ce train d'une transgression si bien partie. Mais la nature humaine (qui, rappelons-le, ne devrait plus exister) a subrepticement repris ses droits. La réalité de la GPA a montré son vrai visage, à savoir qu'il s'agit d'une vraie grossesse dans le ventre d'une vraie femme. D'abord, la biologie nous enseigne que la procréation assistée occasionne davantage de grossesses gémellaires. Ce genre de situation risque donc d'être fréquent. Ainsi, on rencontrera des couples qui, sans même que l'un de leurs jumeaux soit malade, refuseront tout simplement d'avoir deux enfants parce qu'ils n'en avaient commandé qu'un seul auprès de la mère porteuse. Qu'à cela ne tienne, nous dira-t-on, il y a l'avortement sélectif portant sur l'un des jumeaux, comme cela a été proposé à la jeune Thaïlandaise? Ce n'est pas si simple. L'acte consiste en une injection létale sur l'un des fœtus qui, une fois mort, restera in utero jusqu'au terme du développement de l'autre fœtus. Et la mère accouche à la fois d'un bébé vivant et d'un bébé mort. Faut-il préciser qu'il s'agit d'une pratique extrêmement contestée … Ensuite, la mère porteuse reste une femme. Et l'appartenance à la nature humaine, qu'on le veuille ou non, se caractérise par la liberté. En l'occurrence, la parturiente s'est vue immédiatement proposer l'avortement du jumeau atteint dès que le diagnostic prénatal de la trisomie a été posé. Mais manque de «chance» pour ses clients, cette jeune maman de 21 ans, qui avait déjà deux enfants, a refusé d'avorter, fût-ce sélectivement, assumant les risques qui en découleraient pour elle et sa famille. L'industrie de la GPA se retrouve bien mal en point. Si elle devait se développer, il lui faudrait trouver des parades à ces retours intempestifs de la nature. D'une part, il conviendrait de renforcer encore l'eugénisme des procréations assistées pour être certain que l'embryon transféré sera exempt de toute maladie, donc lui faire subir toute la batterie des tests génétiques du diagnostic préimplantatoire. D'autre part, il faudra se résoudre à pratiquer des réductions embryonnaires pour ne laisser subsister qu'un seul embryon. Ces exigences d'eugénisme sécuritaire ne seront pas gratuites. Mais surtout, il sera indispensable de prévoir au contrat que la mère porteuse devra avorter en cas de surproduction, de malfaçon ou défectuosité du bébé produit, ou qu'elle rembourse l'acheteur si celui-ci n'est pas satisfait, ou qu'elle reprenne l'achat si le produit lui est retourné. Il n'est pas besoin d'être grand clerc pour imaginer qu'il sera difficile, dans le contrat de GPA qui la lie à ses clients, d'obliger une femme à avorter (ou à ne pas avorter d'ailleurs) sauf à ce que le contrat soit nul. Au final, on peut se demander si la naissance providentielle de cet enfant trisomique qui suscite un émoi dans le monde entier, n'est pas de nature à nous sauver, au moins pour un temps, de toute précipitation dans la légalisation de la GPA. Source Signature de la "Chloe law" en présence des principaux acteurs de cette législation (Tom Corbett, gouverneur de Pennsylvannie ; Mark Bradford , Directeur de la Jérôme Lejeune Foundation ; Kurt Kondrich et sa fille Chloé Alors qu’en France le CSA vient de considérer comme ne relevant pas de l’intérêt général une vidéo ("Dear Future Mom") où des trisomiques parlent aux futures mamans enceinte, aux Etats Unis l’Etat de Pennsylvanie prend le contre pied. Cet Etat vient de légiférer pour encourager la communication positive sur les personnes trisomiques afin de favoriser et de changer le regard porté sur ce handicap mental. Vendredi 18 juillet, la « Jérôme Lejeune Foundation » (Fondation Américaine) a été invitée à Harrisburg, en Pennsylvanie à l’invitation du gouverneur de l’Etat Tom Corbett, pour la promulgation d’une loi « Down Syndrome Prenatal Education Act » surnommée « Chloe’s law ». Cette loi encourager la diffusion d’une image positive des enfants atteints de trisomie, en montrant qu’ils sont un don précieux pour les familles et la société Elle assure que les femmes enceintes d’enfants atteints de trisomie 21 reçoivent des informations concernant les services et les aides qui pourraient leurs être apportés. La Fondation Jérôme Lejeune USA, a été contactée par Kurt Kondrich, ami de la Fondation Américaine. Elle a apporté son aide et a été auditionnée ainsi que des spécialistes de la trisomie dans le cadre de l’élaboration de la législation. Kurt, dont sa fille, Chloé, sa fille, atteinte de trisomie a été la source de son engagement. Il a été inspiré et appuyé par l’expérience de Mark Leach, qui avait permis d’établir une législation similaire dans l’état du Kentucky. Un encouragement pour la cause de la trisomie, mais aussi un succès pour l’action de la toute récente Fondation Américaine. Une législation qui, selon Mark Bradford, son directeur, permettra de « donner aux familles une information et l’assistance essentielle, qui permettra d’agir concrètement pour changer les statistiques désespérantes d’avortement suite aux diagnostics de la trisomie » (ndlr : en France 97% des enfants dépistés comme trisomiques sont avortés). Source: Fondation Jérôme Lejeune Le CSA (Conseil Supérieur de l'Audiovisuel) vient de publier un avis négatif sur la campagne « Chère Future Maman » diffusée à l’occasion de la journée mondiale de la trisomie 21. Il reproche à plusieurs chaînes télévisées de l’avoir relayée. Le CSA ne reconnaît pas le caractère d’intérêt général de cette campagne, au motif que sa finalité serait « ambigüe » et qu’elle ne pourrait « susciter une adhésion spontanée et consensuelle ». Pour rappel, cette vidéo vise à rassurer une femme enceinte sur l’avenir et le bonheur possible de son enfant atteint de trisomie 21. La finalité de cette campagne est de lutter contre la discrimination et la stigmatisation dont sont victimes les personnes handicapées, et d’encourager leur insertion dans la société. La vidéo a rencontré un engouement international, « spontané et consensuel » :
A l’heure de la communication marquée par l’internationalisation, internet et les réseaux sociaux, cet avis est sans effet. En revanche, il souligne l’aveuglement des pouvoirs publics en France, depuis longtemps pays leader de l’élimination des enfants trisomiques avant leur naissance (96%). La Fondation Jérôme Lejeune encourage les téléspectateurs à remercier les chaînes TF1, M6, D8 et Canal+ qui ont relayé la campagne « Chère Future Maman » en mars dernier. "Combien d'années faut-il à un pays pour comprendre que l'avortement n'est pas la solution" La réponse n'est pas forcément comme la réponse de Richard Anthony. Mais si vous écoutez bien la situation autour de vous, il est sûr que cela vous poussera à agir. Et tout dépend de votre engagement quotidien ! Le monde vous attend
Belga
- Bespreking euthanasie voor minderjarigen kan snel gaan in de Kamer (De kans is reëel dat de Kamercommissie Justitie deze maand nog instemt met de voorstellen rond euthanasie voor minderjarigen die eerder al groen licht kregen van de Senaat. CD&V, cdH, Vlaams Belang en MR hadden nog aangedrongen op extra hoorzittingen, maar vingen bot. Ook advies van de commissie Volksgezondheid komt er niet. … Ook wilde Kamerlid Sonja Becq graag nog het Metaforum van de KU Leuven horen, dat zich twee jaar lang multidisciplinair boog over het vraagstuk van de wilsbekwaamheid. De voorstanders van de verruiming wilden daar echter niet van weten. "Er is toch heel wat werk verzet in de Senaat: zeven dagen lang hoorzittingen met 35 mensen", argumenteerde PS-Kamerlid Karine Lalieux. En ook Open Vld-collega Carina Van Cauter wilde zo snel mogelijk met de eigenlijke bespreking van start gaan. …. Opvallend was dat ook MR-Kamerlid Marie-Christine Marghem aandrong op extra hoorzittingen, hoewel haar partij in de Senaat bij de felste pleitbezorgers hoorde. Zo wilde ze graag de Dutch Society for Pediatrics horen, net als de Nederlandse professor Eduard Verhagen die mee aan de wieg stond van het "Protocol van Groeningen" over euthanasie onder de twaalf. Nederland is immers het enige land met gelijkaardige wetgeving.) De Standaard p. 40: De twee maten van Down (Lezersbrief: “Het lijkt soms alsof er niks ergers bestaat dan Down. Onze ervaring is gelukkig anders. Maar als onze kinderen met hun Down-kind voor medische taxatie gaan, wordt het ineens een stuk minder erg. Geen 66 procent-erkenning, de grens om het statuut van gehandicapte te verwerven. Dan is het kind plots een heel stuk minder 'problematisch'. Feitelijk kost dat kleintje natuurlijk veel energie, medische zorg en opvang. Er is een grote discrepantie in het debat. Een baby met Down is aborteerbaar, zonder discussie. Maar als het om tegemoetkomingen gaat, is Down ineens helemaal niet zo problematisch meer. Twee maten. Laatste punt. Moet een samenleving jaarlijks 55 miljoen euro investeren in een veralgemeende bloedtest bij 66.000 zwangere vrouwen? Om er uiteindelijk ongeveer 30 extra Down-kinderen uit te halen die niet geboren zullen worden? Want er zullen altijd ouders kiezen voor behoud van hun kind, een recht dat ze sowieso hebben. Zijn er dan geen andere prioriteiten, gelet op de wachtlijsten in de zorgsector, zeker voor kinderen en jong-volwassenen met zwaardere fysieke en psychische aandoeningen? Wij menen van wel.”) |
Jeunes Pour la Vie
(JPV) est une ASBL dont l'objet social principal est la promotion et la défense de la vie humaine depuis sa conception jusqu'à la mort naturelle. N'hésitez pas à nous partager vos remarques, idées, ... soit via les commentaires aux articles soit via notre adresse mail: jvl-jpv@live.be
Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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November 2023
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