Jeunes Pour la Vie
suivez-nous!
  • Accueil
  • Qui sommes-nous?
    • Activités
    • Kot à LLN
    • Contact
  • Comment Nous aider?
    • Quelques pistes...
    • Devenir membre
  • Periodique
    • 2 Mois, 1 Chanson
  • Sites Amis

Dégénérations - Mes Aïeux

18/11/2013

0 Comments

 
Ton arrière-arrière-grand-père, il a défriché la terre
Ton arrière-grand-père, il a labouré la terre
Et pis ton grand-père a rentabilisé la terre
Pis ton père, il l'a vendue pour devenir fonctionnaire

Et pis toi, mon p'tit gars, tu l'sais pus c'que tu vas faire
Dans ton p'tit trois et demi bien trop cher, frette en hiver
Il te vient des envies de devenir propriétaire
Et tu rêves la nuit d'avoir ton petit lopin de terre

Ton arrière-arrière-grand-mère, elle a eu quatorze enfants
Ton arrière-grand-mère en a eu quasiment autant
Et pis ta grand-mère en a eu trois c'tait suffisant
Pis ta mère en voulait pas ; toi t'étais un accident

Et pis toi, ma p'tite fille, tu changes de partenaire tout l'temps
Quand tu fais des conneries, tu t'en sauves en avortant
Mais y'a des matins, tu te réveilles en pleurant
Quand tu rêves la nuit d'une grande table entourée d'enfants

Ton arrière-arrière-grand-père a vécu la grosse misère
Ton arrière-grand-père, il ramassait les cennes noires
Et pis ton grand-père - miracle ! - est devenu millionnaire
Ton père en a hérité, il l'a tout mis dans ses RÉERs

Et pis toi, p'tite jeunesse, tu dois ton cul au ministère
Pas moyen d'avoir un prêt dans une institution bancaire
Pour calmer tes envies de hold-uper la caissière
Tu lis des livres qui parlent de simplicité volontaire

Tes arrière-arrière-grands-parents, ils savaient comment fêter
Tes arrière-grands-parents, ça swignait fort dans les veillées
Pis tes grands-parents ont connu l'époque yé-yé
Tes parents, c'tait les discos ; c'est là qu'ils se sont rencontrés

Et pis toi, mon ami, qu'est-ce que tu fais de ta soirée ?
Éteins donc ta tivi ; faut pas rester encabané
Heureusement que dans' vie certaines choses refusent de changer
Enfile tes plus beaux habits car nous allons ce soir danser...
Cette chanson met en avant toute une panoplie d’«évolutions » délétères. L’avortement n’est qu’un des aspects de la « dégénérescence» illustrée, et c’est assez éclairant. Car l’avortement n’est pas un fait isolé. Il s’accompagne de toute une vague de changements en bioéthique (nous l’avons vu en Belgique comme dans nombreux autres pays du monde: la loi dépénalisant l’avortement ouvre la porte aux autres lois dépénalisant l’euthanasie, autorisant la recherche sur les embryons, ...) mais surtout, il est lié à une façon de vivre en société.

Depuis des années notre comportement est de plus en plus individualiste et ceci se traduit de diverses manières, ainsi que veut l’exprimer cette chanson. Cette chanson évoque donc l’individua-lisme qui détruit toute une société. Le but n’est pas de critiquer qui que ce soit, ni la jeunesse ac-tuelle ni les générations passées, mais surtout de nous réveiller alors qu’il est encore temps. Nous avons en nous ces rêves d’une vie meilleure. Qu’attendons-nous pour les réaliser?

Dès lors, demandons-nous de quelle façon nous nous engageons au quotidien en faveur de la vie. Tout comme un rien suffit parfois à changer le monde dans un sens, le faire bouger dans l’autre sens demande également des petits gestes. Un sourire suffit parfois, une aide à la vieille voisine, un coup de téléphone à des personnes qui sont seules. Je sais, c’est un cliché, mais c’est vrai. N’avez-vous jamais expérimenté qu’un sourire ou un mot gentil change votre journée? Qu’un appel vous rende le courage? Et si c’est le cas pour ceux qui mènent une vie active, qu’est-ce que cela représente pour ceux qui sont seuls et n’ont que votre sourire pour ensoleiller leur journée? Essayez. Essayons! Vous verrez!

Anne-Chantal
0 Comments

Mystère de la vie : Les Passagers

1/7/2008

0 Comments

 
Photo
Nul ne connaît le mystère de sa naissance
Un jour on débarque sur terre
Neuf mois au chaud, puis c'est le grand saut
Projeté dans l'Univers
Petit miracle fragile et vulnérable,
Nous naissons tous sans défense
Une vraie personne à la première bouffée d'air
Un petit caractère

Une seconde, une minute, puis les heures qui défilent
Une journée, une semaine, puis les mois qui s'enfilent


Nul ne connaît les détours de la vie
Avec toutes ses fantaisies
Équilibriste sur la grande corde raide
Au vertige les espoirs cèdent
Joies et peines se succèdent en cabrioles
Les émotions s'affolent
Amour et haine se bousculent sur un perchoir
Pas d'échappatoire

Une seconde, une minute, puis les heures qui défilent
Une journée, une semaine, puis les mois qui s'enfilent


Combien d'années pour faire une vie
Une vie qui me rapproche d'un paradis
Combien de choix sont devant moi
Je me sens comme une proie
Rien ne dépend seulement de moi
Tout repose sur un Dieu infini et droit
D'un simple claquement de doigts
Il décide que mon heure est là
Et mon souffle s'enfuit sans un bruit

Une seconde, une minute, puis les heures qui défilent
Une journée, une semaine, puis les mois qui s'enfilen
t

Nul ne connaît le mystère de sa naissance
Un jour on débarque sur terre
Neuf mois au chaud, puis c'est le grand saut
Projeté dans l'Univers

A la naissance, nous sommes tous bien comparables. Même si les détails d’origines et de poids sont bien présents et si ces particularités ne feront qu’augmenter aux cours de notre vie, nous sommes tous en effet un « petit miracle fragile et vulnérable» et « sans défense ». N’est-ce pas émouvant ? Nous ne savons pas à quoi nous attendre, mais nous naissons, sous la protection de nos parents en qui nous mettons notre confiance. Nous n’avons guère le choix, pourriez-vous me dire. Bien sûr, et c’est ce qui fait toute l’importance de la charge qui incombe aux parents. Et ce n’est pas que l’enfant qui fait instinctivement confiance aux parents. Dieu leur fait confiance Lui aussi, c’est un fait. Dès lors, devant cette tâche si noble, comment répondre par un refus à cette confiance sans limite ?

Cet enfant, si petit soit-il, est une vraie personne dès la première bouffée d'air qu’il respire, et même avant, dès le sein maternel, il est « un petit caractère » qui ne cessera pas de s’affirmer. Combien d’enfants n’ont-ils pas survécu comme par miracle à des situations les plus désastreuses ?

Il est vrai que l’avenir de l’enfant qu’une mère porte en elle est parfois incertain, qui dira le contraire ? De là à le lui ‘épargner’, il y a néanmoins une sérieuse marge. Quel avenir est sans nuages à l’horizon ? Chaque avenir est lourd de choix, de difficultés, mais il ne faut pas l’oublier, de tellement de bonheur ! Ce bonheur, nous devons le faire partager à tous, même à ceux que nous ne connaissons pas, à ceux qui veulent qu’on leur donne une chance, à ceux qui ont besoin que d’un mot pour que leur vie continue…

L’enfant grandit, tout doucement et les années passent ([Une seconde, une minute, puis les heures qui défilent] [Une journée, une semaine, puis les mois qui s'enfilent]) et l’enfant apprend à jouer l’ «équilibriste sur la grande corde raide », à ne jamais perdre espoir, à faire ses choix, difficiles ou pas,…  Et un  jour il devra lui-même dire oui à la vie, continuer, inlassablement parce que la vie est belle et mérite d’être vécue et partagée !

Les passagers, les auteurs de cette chanson, en ont encore bien d’autres dans leur répertoire. Ils n’attendent que votre visite sur leur site : www.lespassagers.org

Ils nous feront l’immense plaisir et honneur d’être parmi nous le 18/10 lors de notre journée pour la vie et se produiront devant nous le soir vers 8heures.
Nous vous invitons donc, d’ores et déjà, à réserver cette date et nous espérons avoir le plaisir de vous voir !

Anne-Chantal

0 Comments

Dans mon village - JB Grenouilleau et JM Audrain #Inedit

1/2/2006

0 Comments

 
Dans mon village y'a un monument
Pour tous les morts des guerres d'antan
Leur nom est écrit, là, sur la pierre
Là, sur la pierre de mon village
Leur nom est enfoui, là dans la pierre
Là, dans la pierre du monument.

Dans mon village y'a un monument
Pour les morts tombés sur tous les champs
Leur nom est gravé, là, sur la pierre
Là, sur la pierre de mon village
Leur nom est gardé, par cette pierre
Par cette pierre du monument.

Dans mon village y'a un monument
Mémoire des noms, et mémoire des âges
Chaque nom est scellé, là, dans la pierre
Du monument de mon village
Chaque âge est gardé par cette pierre
La pierre qui défie les ans.

Dans mon village y'a un monument
Même pour la guerre faite aux p'tits enfants
Mais on ne lira jamais le nom
Des p'tits enfants de nos villages
Mais on ne lira jamais leur nom
Là, sur la pierre du monument.

Dans mon village y'a un monument
Avec un côté resté blanc
Quand reviendra la Saint-Martin
Qui mettra fin au grand massacre
De tous ces millions d'innocents
On écrira en lettres d'or :
" Aux enfants inconnus
morts sans armes
La patrie qui les pleure 
Maintenant "
Là, sur la pierre du monument.

Pour nos compatriotes morts parce qu’ils veulent naître, parce qu’ils respirent, il n’y a pas de monument alors que pour ceux qui sont  morts sur nos terres pour la défendre, il y a un monument.

Pour nos guerriers il y a un monument dans chaque village.alors que pour nos enfants morts, il n’y en a ni dans notre village, ni nulle part ailleurs.

Dans 150 ans en s’en souviendra, dans 150 ans il y aura encore ce monument a nos héros. Dans 150 on ne s’en souviendra pas, de nos enfants morts, dans 150 ans il n’y aura pas de monument.

Dans 150 ans on remerciera nos guerriers. Dans 150 ans on pleurera nos enfants morts parce qu’alors nous n’en voulions pas et que maintenant nous nous rendons compte que nous ne savons pas vivre sans eux.

Pour que nous ne nous rendions pas compte de tout ce qui peut se passer s’il n’eurent pas été la quand il est trop tard, arrêtons nous tout de suite avec cette suite série de morts qui n’en finit pas !!!!!

                                                                       Anne-Chantal

0 Comments

Mon Secret

1/1/2006

0 Comments

 
Qu'il est lourd à porter ton secret 
La blessure intérieure que tu tais
Ce silence qui hurle au fond de toi
Ces remords qui surgissent parfois

Tu te rappelles le profond désarroi
La détresse, ton regard aux abois
Et cette angoisse qu'on lisait dans tes yeux
Cette peur, ces moments malheureux

Les larmes viennent comme à chaque anniversaire
Je voudrais tant revenir en arrière
Changer d'avis, faire un choix différent
Oublier le jour où je lui ai dit non


Tu ne pensais pas devoir autant souffrir
Un peu de toi est parti avec lui
Tous ces problèmes aurais-tu pu les surmonter ?
Ta vie en aurait-elle vraiment été gâchée ?

Aujourd'hui tu regrettes souvent 
Qu'on n'ait pas su t'aider autrement
Qu'on n'ait pas pris le temps de te rassurer
Quelques mots auraient pu tout changer

Les larmes viennent comme à chaque anniversaire
Je voudrais tant revenir en arrière
Changer d'avis, faire un choix différent
Oublier le jour où je lui ai dit non


Ton cœur se serre rien que d'imaginer 
Le prénom qu'il aurait pu porter
Son sourire blotti dans tes bras
Sa chaleur endormie contre toi

Mais dans ton âme une lueur d'espoir
Tu réalises qu'il n'est pas trop tard
Ce lien qui vous unit n'a pas été brisé 
Tu peux l'aimer plus fort qu'on n'a jamais aimé

Oui je lui parle comme à chaque anniversaire
Est-ce qu1il entend cette étrange prière ?
Oh ta Maman ne peut pas t'oublier
Elle apprend à revivre à se laisser consoler 

Oui je lui parle comme à chaque anniversaire
Est-ce qu1il entend cette étrange prière ?
Oh ta Maman ne peut pas t'oublier
Elle apprend à revivre à se laisser consoler 

Consolée, consolée,...
Consolée, consolée, consolée…

Photo
C’est une chanson qui raconte l’histoire d’une jeune femme qui a avorté il y a 9 ans.
Elle explique (pour les intéressés voir ici) qu’au début elle a cru que la vie serait plus facile sans cet enfant inattendu, mais juste après l’avortement, c’était
le vide : pas de suivi psychologique, et elle n’osait en parler à personne. Alors, pour repartir, bonjour !!
Après l’avortement, elle a quitté son ami. Penser qu’elle a tué son bébé la hante jour et nuit,
maintenant encore. Alors, quand on dit que l’avortement c’est pour qu’il y ait des femmes libres ! Oui, elles sont libres de leur enfant vivant, pleurant ou souriant, mais elles ne le sont pas de leur enfant mort, ce cauchemar qui les hante jour et nuit. Alors, pour nous aider à poursuivre le combat contre cette chose affreuse qu’est l’avortement, soutenez-nous !!!!!
Anne-Chantal
Télécharger la Chanson
0 Comments

    Anne-Chantal

    Etudiante en littérature, Anne-Chantal vous livre à chaque fois que l'actualité lui laisse un peu de place dans le périodique, un commentaire sur une chanson qui l'a touchée! A suivre :)

    Archives

    April 2017
    February 2016
    January 2015
    November 2014
    January 2014
    November 2013
    November 2012
    July 2010
    March 2010
    September 2009
    May 2009
    March 2009
    January 2009
    December 2008
    November 2008
    July 2008
    October 2007
    July 2007
    March 2007
    January 2007
    December 2006
    October 2006
    July 2006
    June 2006
    April 2006
    February 2006
    January 2006
    November 2005
    September 2005
    June 2005
    May 2005
    February 2005

    Categories

    All
    Avortement
    Bruel
    Celine Dion
    Changer Le Monde
    Eglise Catholique
    Enfants
    France
    Goldman
    Inédit
    Maman
    Michel Sardou
    Témoignage
    Trisomie

    RSS Feed

Powered by Create your own unique website with customizable templates.