Lu sur Gènéthique.org Siska De Ruysscher, une jeune Belge de Flandre-Orientale, a eu 26 ans le 17 octobre. Suicidaire depuis ses 13 ans, elle a demandé à être euthanasiée. Avant l’injection qui mettra fin à ses jours, dans quelques semaines, elle raconte son histoire avec l’espoir d’une prise de conscience collective et d’une amélioration de la prise en charge des autres patients. Suicidaire depuis ses 13 ans, Siska a enchaîné les passages à l’acteVictime de harcèlement dès l’école maternelle, Siska souffre de profonde dépression depuis ses 13 ans. Elle a fait sa première tentative de suicide à 14 ans, et aura tenté une quarantaine de fois, au total, de mettre fin à ses jours (cf. Stimulation cérébrale profonde : trois Espagnols renoncent à l’euthanasie). Elle décrit les symptômes de la dépression profonde : « Mon corps, comme mon psychisme, n’en peut plus. Je suis épuisée. Travailler ne m’est plus possible, les plus petites choses du quotidien : se lever, s’habiller, ouvrir les volets… sont des obstacles insurmontables » (cf. Une adolescente qui voulait être euthanasiée traitée par neuromodulation). Siska dénonce les insuffisances du système de soins psychiatriques belgeLa jeune femme essaie de soigner ses troubles mentaux depuis ses 13 ans, aujourd’hui elle ne peut que déplorer les manquements dans la prise en charge des troubles psychiatriques en Belgique. De nombreux patients doivent attendre des mois avant de pouvoir commencer un suivi. Les hospitalisations de longue durée en psychiatrie présentent de nombreuses failles. La jeune femme a dû côtoyer des personnes souffrant de troubles dépressifs graves, de troubles du comportement, de toxicomanie ou qui sortaient de centres de détention pour mineurs. Elle explique que les patients « s’entraînent les uns les autres, et certains prennent un mauvais chemin ». A 17 ans, Siska a dû passer plusieurs semaines en cellule d’isolement. Il n’y a pas suffisamment de personnel pour veiller à la sécurité du patient, alors celui-ci doit dormir sans oreiller ni couverture. Siska y a terriblement souffert de la solitude, alors que justement, elle avait besoin de soutien. « La porte est verrouillée et tu dois attendre qu’on vienne te chercher (…) ils n’ont pas le temps de venir s’occuper de toi ». Peu avant son euthanasie, la jeune femme espère que son discours entraînera une prise de conscience Siska ne voit aucune issue. Elle a demandé une euthanasie qui lui a été accordée (cf. Belgique : une victime des attentats euthanasiée à 23 ans). La date est fixée, l’administration d’une substance létale aura lieu dans les prochaines semaines. D’ici là, Siska souhaite porter un message en faveur d’une meilleure prise en charge des patients atteints de maladies psychiatriques : « Indépendamment de mon parcours, beaucoup de choses peuvent être différentes et meilleures ». « C’est très difficile, surtout pour mon entourage. J’utilise le peu d’énergie et de force qui me restent pour encourager les autres à raconter leur histoire. J’espère ainsi que le mouvement prendra de l’ampleur et marquera le début d’un changement. » Sources de la synthèse de presse : VRT, Jens Van Reet et Joppe De Hert (15/10/2025) ; RTL info (18/10/2025) Supprimer le Sénat ? Le PS est d’accord… si l’on inscrit le droit à l’IVG dans la Constitution (titre du Soir) © Le Soir Les voix du PS, dans l’opposition, sont nécessaires pour voter la suppression du Sénat voulue par la majorité Arizona. En échange de son soutien, le parti de Paul Magnette exige l’inscription dans la Constitution du droit à l’avortement. Elle est prévue dans l’accord de gouvernement et le débat menant à sa concrétisation devrait débuter (si la crise politique ne s’en mêle pas…) le 17 novembre par un discours introductif du Premier ministre Bart De Wever dans la haute assemblée. Elle ? La suppression du Sénat. Les propositions de révision des articles de la Constitution concernés par cette importante modification de notre système parlementaire, bicaméral jusqu’ici, ont été déposées fin septembre par la majorité Arizona. Dès la semaine du 3 novembre, des réunions politiques devraient déjà avoir lieu entre parlementaires des cinq partis gouvernementaux (N-VA, MR, Les Engagés, CD&V et Vooruit) et du PS notamment (les verts ou l’Open VLD seront aussi nécessaires), puisqu’une majorité des deux tiers est indispensable pour modifier la Constitution. Laquelle prévoit le bicaméralisme : « Le pouvoir législatif fédéral s’exerce collectivement par le Roi, la Chambre des représentants et le Sénat » (article 36).
Voilà ce qui est prévu. (suite à lire sur le site du Soir) Arrivé en 2020 à la présidence de la Marche pour la Vie, Nicolas Tardy-Joubert transmet le flambeau à Guillaume de Thieulloy.
Voici le message qu’il vous transmet à cette occasion : « Le combat est rude avec des textes de loi promouvant la culture de mort, régulièrement votés dans notre pays. Nous l’avons vu ces cinq dernières années, avec l’extension des délais pour avorter à 14 semaines de grossesse, l’indigne constitutionnalisation de l’avortement et maintenant la menace de l’euthanasie. Les conséquences morales, de santé publique, sociales et démographiques sont catastrophiques. Avec la Marche pour la Vie, nous résistons toujours et encore. Notre succès est d’être présents dans le débat public, de permettre aux Français de manifester annuellement avec les nombreuses associations qui nous soutiennent, de former les jeunes aux questions bioéthiques pour faciliter leur engagement dans la vie publique ou associative. Dans un contexte politique dégradé, nous devons rendre l’avortement impensable. L’euthanasie ou le suicide assisté des personnes âgées, handicapées ou malades doivent être rejetés sans compromission. Il n’y a jamais de bonne raison d’éliminer une vie innocente, naissante ou finissante. Nous ne nous résignons pas à la gangrène insidieuse des esprits et au triomphe du mal dans des politiques mortifères. Notre combat est culturel, civilisationnel, spirituel. Nous ne sommes pas seuls. Il s’étend à la planète. De très nombreux pays s’opposent aujourd’hui directement aux politiques pro-avortement pour promouvoir des actions permettant l’accueil et la protection de la vie humaine innocente. Notre objectif en France est de réveiller les consciences et de changer les cœurs. Nous n’abandonnerons jamais ce combat. Je remercie Guillaume de Thieulloy de son engagement et le félicite de son élection à la tête de la Marche pour la Vie. Avec Guillaume et votre soutien actif, la flamme de la résistance ne s’éteindra pas. » Toute l’équipe de la Marche pour la Vie remercie chaleureusement Nicolas Tardy-Joubert pour ces 4 années de dévouement à la présidence et de service pour la Vie. Source : Le Salon Beige Quelques JPV partent vers Lille, si vous souhaitez partir avec eux, n'hésitez pas à nous le faire savoir !
Bonne marche ! On nous annonce l’organisation de la première marche pour la vie de Lille, le 5 octobre prochain:
Le sénat examinera en septembre / octobre le texte de loi sur l’euthanasie. A cette même période, nous organisons la première Marche Pour La Vie de lille 📍 Lille, place République beaux-arts ⏰️ le dimanche 5 octobre 2025 de 14h00 à 18h00 ‐——————-- Pourquoi marcher pour la vie ? Parce que nous croyons qu’il est important de manifester au monde qu’il existe encore une génération engagée et prête à défendre le droit à la vie. Parce que nous croyons qu’une société se juge à la manière dont elle protège les plus fragiles Parce que nous refusons de rester silencieux face à des lois se prétendant bienveillantes mais qui, en réalité, mettent en jeu le droit à la vie d’innocents et des plus fragiles. Parce que nous voulons porter la voix ceux qui n’en ont pas – les plus faibles, ceux qui n’en ont plus, ceux qu’on refuse d’écouter. Parce que nous voulons porter un message de Vérité et d’Espérance dans un monde qui s’y refuse à y croire. Parce que la vie est une urgence à vivre, et qu’elle mérite d’être défendue à chaque instant. Si nous marchons c’est pour défendre la Vie ! ‐——————– La marche pour la vie de Lille sera une journée de mobilisation, de joie, de témoignage mais aussi d’espérance. Pour que cette marche soit une réussite, nous avons besoin de vous et de votre engagement! 😁 ONLR Vive la vie La Marche pour la vie lille Comme vous le savez peut-être, nous sommes en pleine campagne de financement à Campagne Québec-Vie, commencée le 10 septembre. Jusqu’à maintenant, 84 donateurs généreux ont donné 6 610 $. Il ne nous reste que 8 petits jours pour récolter les 13 390 $ restants et atteindre notre objectif.
Ce message est envoyé à des milliers de personnes, mais seules quelques-unes ont donné. Si vous n’avez pas encore contribué, c’est peut-être parce que vous vous demandez si ça vaut encore la peine. Peut-être vous dites-vous : « Ça fait des décennies qu’on mène ce combat pro-vie, et rien ne change… » Je comprends ce sentiment. Je l’ai moi-même ressenti. Mais quand ça m’arrive, je pense à un moment clé dans l’Écriture : Juste avant son Ascension, les disciples demandent à Jésus : « Seigneur, est-ce maintenant que tu rétabliras le royaume pour Israël? » (Actes 1,6) Autrement dit : « Est-ce enfin le moment de gagner, de chasser les Romains, de reprendre notre pays des mains de nos chefs corrompus? » Et Jésus répond franchement : « Ce n’est pas à vous de connaître les temps et les moments que le Père a fixés de sa propre autorité. » Bref : fais confiance au Père. Ne te casse pas la tête avec le calendrier. La victoire appartient à Dieu — pas à nous. Et ensuite, sachant qu’ils se demanderaient « Et maintenant, on fait quoi? », Jésus ajoute : « Mais vous recevrez une force, celle du Saint-Esprit… et vous serez mes témoins. » (Actes 1,8) C’est encore vrai aujourd’hui. Notre rôle, c’est d’accueillir l’Esprit Saint et de témoigner du Christ — au Québec, au Canada, jusqu’aux extrémités de la terre. Le combat pour la vie est un de ces moyens concrets — un moyen crucial — d’être témoin de Jésus. Ce n’est pas tout le monde qui est appelé à y consacrer sa vie, mais pour ceux d’entre nous qui le sont, c’est l’œuvre même de Dieu : une mission vraie, bonne, belle — annoncer sa vérité sur la vie, la famille et la foi. Ça fait bientôt vingt ans que je préside Campagne Québec-Vie. Et tout ce qu’on a fait de meilleur ici, on l’a fait en suivant les élans de l’Esprit Saint. Qu’il s’agisse de nos 40 Jours pour la vie deux fois par année, de nos Chaînes de la Vie, de notre aide aux femmes enceintes, de nos actions politiques, de nos dossiers judiciaires, de nos réseaux sociaux, de notre site d’info, de la Marche pour la Vie, de nos missions à l’ONU, de nos conférences ou de notre présence sur les campus — tout est pour la gloire de Dieu, et pour défendre son œuvre. Avons-nous fait des erreurs? Bien sûr. Mais la mission est claire :
Mon collègue et ami Mario Richard est dans la bataille depuis 34 ans. Brian Jenkins, 15 ans. Augustin, 7 ans. Jean-Léon, des décennies d’activisme pro-vie. Arpad Nagy, directeur de la mobilisation et de l’action politique, est un « nouveau » — 6 ans — mais il est solide et engagé pour de bon. Et moi-même, 17 ans à tenir bon. Mais vous faites aussi partie de l’équipe. Rien de tout cela ne serait possible sans des gens comme vous, qui donnent de manière sacrifiée. Votre générosité rend cette mission possible. Le Québec est une terre qui rejette ouvertement la loi de Dieu. Mais grâce à vous, on peut encore semer des graines de lumière et de grâce. Si vous le pouvez, aidez-nous à atteindre notre objectif et à continuer ce miracle. 👉 Faites un don maintenant Je fais mon don maintenant Pour la Vie, Georges Buscemi P.S. Tout comme les disciples ont dû attendre la force de l’Esprit Saint, nous aussi comptons sur Lui. Mais souvent, c’est à travers des personnes comme vous que Dieu agit. Chaque dollar que vous donnez nous permet de rester des témoins fidèles de la vie, de la famille et de la foi ici, au Québec. Aidez-nous à franchir la ligne d’arrivée. La France a enregistré plus de décès que de naissances en 2024, révélant une crise démographique à venir.
Selon un article du Population Research Institute (PRI), les naissances ont été inférieures aux décès en France pour la première fois en 80 ans. Le pays européen a enregistré 650 000 naissances contre 651 000 décès, ce que le PRI qualifie de « tournant démographique historique ». « La baisse de la fécondité depuis 2010 et l'augmentation du nombre de décès liés au vieillissement des baby-boomers ont entraîné le pays dans un déclin démographique naturel », indique l'article. « Contrairement à l'Allemagne et à l'Espagne, qui compensent davantage les pertes par l'immigration, la France n'a pas de stratégie claire. Avec la baisse de la fécondité dans toute l'Europe et l'intensification des débats sur l'immigration, la France est confrontée à un avenir marqué par des tensions économiques, une incertitude culturelle et une population qui décroît désormais de l'intérieur. » Lire la suite sur Québec Vie La mort tragique de Charlie Kirk, jeune influenceur chrétien et pro-vie américain, a provoqué un véritable choc spirituel à travers le monde. Assassiné sur un campus universitaire pour ses convictions, lui qui militait en faveur de la vie, du mariage et de la foi, Charlie laisse derrière lui un héritage marquant.
Des dizaines de milliers de personnes ont assisté à ses funérailles nationales en Arizona. Sa veuve, Erika, a livré un touchant témoignage de foi et de pardon, révélant que des gens ont recommencé à prier, à lire la Bible, à aller à l’église suite au décès de son mari — un réveil spirituel est-il en marche? Même ici, au Canada, des citoyens se sont rassemblés pour honorer sa mémoire. Partout dans le monde, des personnes redécouvrent la foi chrétienne grâce à son message. Charlie attendait un tel réveil et s'est efforcé durant sa vie d'amener les jeunes à embrasser la prière, la famille et la défense de la vie. Et maintenant, c’est à nous de prendre le relais.
Jusqu'à maintenant, nous avons récolté 9885 $ dans le cadre de notre campagne de financement (le dernier courriel ayant reçu un accueil exceptionnel!), cependant il nous manque encore 10 115 $ pour atteindre notre objectif de 20 000 $ — donnez généreusement aujourd'hui, nous apprécions énormément votre aide. Pour la Vie, L'équipe de Campagne Québec-Vie 8 septembre 2025 (LifeSiteNews) — L’activiste pro-vie Lila Rose a remporté un débat sur l’avortement à l’Université de Yale mardi à la surprise évidente de l’organisateur. Rose, fondatrice et présidente de Live Action, a donné une défense convaincante et émouvante du droit à la vie de l’enfant à naître lors d’un débat contre Frances Kissling, ancienne directrice de clinique d’avortement et présidente de Catholics for Choice. Peu de temps après le débat, Rose a annoncé sur X : « Nous avons gagné. La salle a voté pour le côté pro-vie. L’organisateur de Yale a été choqué ». La championne pro-vie a d’abord dénoncé les euphémismes utilisés par les défenseurs de l’avortement, dont Kissling. Elle se souvient de la façon dont une jeune mère a disposé de son bébé mort, qu’elle a mis dans une serviette et un sac de poubelle, avant de le jeter « comme une ordure, comme s’il n’avait aucune valeur ». « Qu’il soit mort à la naissance ou juste après, il n’était pas simplement une grossesse, pas seulement un fœtus — c’était un fils », a déclaré Rose. Elle a souligné que certains ont fait référence à la mort de ce garçon, qui est décédé à la naissance ou peu après, comme une « perte reproductive », et certains ont « insisté pour qu’on ne l’appelle pas un bébé. » « Pourquoi ? Le nommer, c’est admettre son humanité partagée », a-t-elle continué. « Un enfant était caché dans un placard et son humanité était niée. » Source : QuébecVie Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/LifeSiteNews/Rumble
3 septembre 2025 (LifeSiteNews) — La religieuse missionnaire irlandaise Sœur Miriam Duggan est décédée. Sœur Duggan était une religieuse missionnaire franciscaine connue pour son travail en Afrique, notamment pour son programme qui a permis de réduire considérablement le taux de VIH en Ouganda en encourageant l’abstinence plutôt que la contraception. Elle s’est éteinte paisiblement au monastère de Mount Oliver à Dundalk, en Irlande. Elle a consacré plus de 55 ans de sa vie au service de l’Église catholique en Afrique. Pendant son séjour en Ouganda, son programme encourageant l’abstinence en dehors du mariage plutôt que l’utilisation de préservatifs a contribué à réduire le taux de VIH de 26 % à 6 %. Son programme a été adopté par le gouvernement et a été l’une des campagnes de réduction du sida les plus efficaces de toute l’Afrique. « La seule véritable solution pour enrayer le sida était de revenir à la loi de Dieu, si vous voulez, qui interdit les relations sexuelles avant le mariage et impose la fidélité dans le mariage », a déclaré Mme Duggan à LifeSiteNews en 2022. La persécution anti-vie et anti-chrétienne au Québec et au Canada est aujourd’hui un fait. Nous l’avons amplement documentée dans notre rapport et notre lettre au vice-président américain J.D. Vance. Elle se manifeste encore dans l’annulation des concerts du chanteur chrétien Sean Feucht, et tout récemment, dans la décision de la Cour supérieure du Québec d’imposer un rayon d’exclusion de 50 mètres autour des avortoirs.
Ce climat est alimenté par des préjugés idéologiques profonds. Peu importe à quel point nous expliquons, de façon raisonnable et accessible, que nos arguments contre l’avortement et autres pratiques contre-nature peuvent être compris même sans foi religieuse, rien n’y fait. Le simple fait d’être croyant nous disqualifie du débat. Au Québec, seuls les athées ou les croyants tièdes semblent jouir d’une pleine citoyenneté. Les croyants sincères, eux, sont étiquetés « extrême droite religieuse », ce qui justifie leur exclusion immédiate du débat public, peu importe la rigueur ou la vérité de leurs propos. C’est un procédé malhonnête : un sophisme ad hominem pur et simple. Nous avons même traduit en français La Dernière Superstition, un livre d’apologétique chrétienne et pro-vie démontrant que la foi chrétienne repose sur la raison. Mais rien n’y fait. Si c’est nous, chrétiens pro-vie, qui parlons, notre parole est automatiquement discréditée dans les médias, chez les intellectuels, et chez tous ceux qui pensent comme eux. Mais nous persistons ! « Laissez les morts enterrer les morts. » Nous sommes ici pour défendre la vie, pour sauver les vivants, ceux qui cherchent encore la vérité. C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui une campagne sur un sujet aussi grave que méconnu : le traumatisme post-avortement. Vous trouverez ici notre lettre aux ministres Martine Biron (Condition féminine) et Christian Dubé (Santé), leur demandant d’instaurer un programme de guérison post-avortement et une campagne de sensibilisation à ce fléau. Encore une fois, notre message risque d’être ignoré… parce qu’il vient de nous. Mais cette fois, il sera beaucoup plus difficile de nous balayer du revers de la main : nous avons joint à cette lettre un rapport scientifique rigoureux, intitulé Conséquences du traumatisme post-avortement : un enjeu de santé et de société méconnu. Les faits devraient parler d’eux-mêmes — que ceux qui ont des oreilles entendent ! Avec cette lettre et ce rapport aux ministres concernés, nous avons ajouté une pétition. Lire la suite ici Les militants de l’avortement utilisent l’ONU pour mener une attaque sur les lois du Guatemala20/6/2025 Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cancilleria Ecuador/Wikimedia Commons
20 juin 2025 (LifeSiteNews) — En septembre 2018, des militants de l’avortement au Guatemala ont fait pression en faveur d’un assouplissement des lois sur l’avortement. En effet l’avortement est illégal au Guatemala, sauf lorsque cela est nécessaire pour sauver la vie de la mère, ce qui fait de ce petit pays d’Amérique centrale une cible principale pour les militants de l’avortement étrangers et nationaux. En réaction, plus de 20 000 personnes ont afflué dans la capitale et ont marché jusqu’à l’assemblée législative, vêtues de bleu (la couleur de la « vague bleue » du mouvement pro-vie en Amérique latine) et brandissant des pancartes, des photos de bébés dans le ventre de leur mère, des ballons bleus et des banderoles. Le gouvernement a fait marche arrière et a abandonné la proposition de loi. L’engagement du Guatemala à protéger les enfants à naître a des dents. En 2017, un bateau d’avortement néerlandais de l’organisation « Women on Waves » est arrivé pour distribuer des pilules abortives illégales. L’armée guatémaltèque a déclaré que le navire |
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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