NDLR : Nous n'avons regardé que la bande annonce, qui nous semblait montrer l'adoption et l'accouchement sous-X.
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« S'il existe pour l'homme une morale naturelle, il en découle immédiatement que dissocier l'enfant de l'amour est une erreur de méthode : d'où l'abstinence du célibat chaste et la fidélité du mariage heureux. Et si la monogamie confère au mari la prérogative d'être seul habilité à s'unir à son épouse, alors:
- la contraception qui est faire l'amour sans faire l'enfant, - la fécondation extra-corporelle qui est faire l'enfant sans faire l'amour, - l'avortement qui est défaire l'enfant, - et la pornographie qui est défaire l'amour, ne sont pas en accord avec la dignité de notre nature. » Professeur Jérôme Lejeune L'enceinte concentrationnaire, 1989 Communiqué de SOS tout-petits :
Comme par le passé, pour le 11 novembre 2024 à 11h00, un groupe de prière se réunira à Paris sur le Parvis des Droits de l’Homme près du Palais de Chaillot pour associer, aux victimes de la Guerre Mondiale de 1914-1918 et de toutes les guerres, celles des avortements légalisés. Ceux qui le peuvent sont invités à y participer (Il ne s’agit pas d’une manifestation). https://lesalonbeige.fr/11-novembre-priere-pour-les-victimes-des-avortements/ Toi t'as rien fait, toi t'es beau, t'es grand déjà
Tu n'as rien demandé mais voilà, t'es là Un matin tu débarques entre ses deux bras Elle n'a rien demandé mais voilà, t'es là Sûrement qu't'étais mal tombé Évidemment qu'elle a flippé Mais faudra bien lui pardonner D'avoir laissé son bébé Dans d'autres mains, pour d'autres jours Avec du monde autour Peut-être un peu plus de chance Peut-être un peu plus d'amour Les millions de questions, tu t'les poseras Mais c'est ni à cause d'elle ni à cause de toi Toi ton nom c'est Pupille mais tu grandiras Regarde comme tu brilles Pour un tas de raisons, tu lui en voudras Mais c'est ni à cause d'elle ni à cause de toi Toi ton nom c'est Pupille et tu construiras Tu construiras ta propre famille Tu feras bien du vélo, tu parleras chinois Tu auras pleins de cadeaux à Noël tout ça Tu seras peut-être garde des sceaux, tu te marieras Qu'il est beau le tableau quand elle pense à toi Sûrement qu'elle a dû changer Que la vie a continué Est-ce qu'elle se sera pardonnée? D'avoir laissé son bébé Dans d'autres mains pour d'autres jours Avec du monde autour Pour un peu plus de chance Pour un peu plus d'amour Les millions de questions, tu t'les poseras Mais c'est ni à cause d'elle ni à cause de toi Toi ton nom c'est Pupille mais tu grandiras Regarde comme tu brilles (comme tu brilles) Pour un tas de raisons, tu lui en voudras Mais c'est ni à cause d'elle ni à cause de toi Toi ton nom c'est Pupille et tu construiras Tu construiras ta propre famille, ah-ah Ta propre famille, ah-ah, ah-ah, ah-ah Les millions de questions, tu t'les poseras Mais c'est ni à cause d'elle ni à cause de toi Toi ton nom c'est Pupille mais tu grandiras Regarde comme tu brilles déjà « Un spectacle lumineux qui dépasse le trouble de Hamlet pour porter au plateau une soif irrépressible de vie ». C’est ainsi que les commentateurs de Musiq 3 (RTBF) reviennent sur une pièce de théâtre qui a fait halte en Belgique en ce début d’automne, à Bruxelles puis à Namur, face à un public décidément conquis.
Cette tragédie shakespearienne a été revisitée par la dramaturge péruvienne Chela De Ferrari, et sa compagnie « Teatro La Plaza » composée de huit acteurs tous porteurs du syndrome de Down. Ils nous livrent leurs rêves, leurs espoirs, leurs combats pour être considérés comme des personnes, autonomes, capable d’aimer, ainsi que leur revendication à être différents. Ils nous livrent leur souffrance et leur souhait de se faire comprendre. Ils estiment que « le théâtre est peut-être le dernier recours » car il « réveille les consciences, fait avouer les crimes ». A la fois pleins d’humour, d’énergie et de vérité, les mots frappent – d’autant plus, peut-être qu’ils sonnent en espagnol et apparaissent surtitrés en français - le spectateur qui ne peut sortir indifférent de cette rencontre touchante. Un refrain résonne ainsi sous forme de rap : « Pourquoi accepter les insultes, pourquoi nous sommes devant vous et que vous ne nous voyez pas. Où sont nos droits ? Toi qui te moquais de moi. Ça y est, tu te souviens. Tu m’envoyais balader. Mais tu n’es pas comme moi. Sinon tu comprendrais. Je te pardonne. Malgré les apparences je suis forte comme un rocher. Je n’aime pas les regards en coin qu’on croit que je ne comprends pas, qu’on touche mon corps sans me demander. » On comprend mieux alors le commentaire de La Libre : « Ne pas aller voir Hamlet parce qu’on est un peu gênés de regarder des personnes handicapées jouer serait se créer soi-même un handicap ». La troupe s'est produite dans plus de 25 villes d'Europe et d'Amérique latine et dans de nombreux festivals. Cette année, elle mène sa tournée en Asie et en Europe. Chela De Ferrari explique que ce projet est né de sa rencontre avec Jaime Cruz, qui occupait la fonction d’ouvreur dans son théâtre et qui disait voulait être acteur. La dramaturge a manifestement été frappée par la construction de cette pièce ; en 2025, elle présentera son premier film : Being Hamlet, qui raconte le processus créatif des huit acteurs et actrices trisomiques répétant Hamlet. La pièce se jouait en Belgique à l’heure-même où les souverains du pays donnaient une place particulière aux personnes porteuses de handicap (voir le reportage RTBF). En effet, à l’occasion de la visite du Pape François, le Palais royal organisait une réception en collaboration avec Cap Event, un service événementiel inclusif dont l’équipe de personnes en situation de handicap, encadrées et formées, assure un service de grande qualité. IEB Le Réseau vie publie un article de synthèse sur le magistère récent de l’Eglise concernant le respect de la vie humaine, terriblement attaquée depuis quelques décennies : Les progrès de la science et de la médecine ont permis depuis les années 1960 de procurer des moyens techniques inédits pour pratiquer la contraception, l’avortement, l’euthanasie, la location d’utérus (GPA), la création d’embryons en laboratoire (FIV) et d’autres pratiques posant de graves questions morales. L’Église a fait son devoir en s’exprimant à de nombreuses reprises sur ces sujets. Elle a donné au monde deux encycliques de deux papes et cinq textes de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi concernant la protection et la promotion de la vie humaine. La Congrégation pour la Doctrine de la Foi (aujourd’hui Dicastère pour la Doctrine de la Foi) est l’organe romain qui assiste le pape dans sa mission de promotion de la foi et de la morale. Les textes du magistère de l’Église Les citations ci-dessous feront référence aux textes officiels par leur nom latin. Cette histoire resurgit 3 ans après les faits car le sujet fait l’objet d’une enquête par les autorités fédérales et celles de l’État du Kentucky.
En 2021, aux États-Unis, TJ Hoover, 36 ans, est déclaré en état de mort cérébrale après une overdose. Le lendemain, la famille Hoover doit prendre une décision difficile et décide de débrancher le respirateur artificiel. C’est seulement à ce moment-là qu’elle apprend que le trentenaire avait décidé, des années plus tôt, de s’inscrire à la liste des donneurs d’organes potentiels. Des examens médicaux sont menés pour s’assurer que ses organes sont viables pour une transplantation. Des tests cardiaques sont notamment réalisés, sans que le personnel médical ne note visiblement quoi que ce soit d’étrange. Sa soeur confie par ailleurs une anecdote surprenante. Alors qu’elle se trouve aux côtés de son frère, il “ouvre les yeux” et se met “à suivre du regard” son entourage. “On nous a dit que c’était seulement des réflexes, que c’était normal”, confie-t-elle, assurant n’avoir rien dit. “Qui sommes-nous pour mettre en doute le personnel médical?”, lâche-t-elle. Son frère est conduit à la table d’opération comme prévu. Alors qu’il est opéré pour prélever ses organes, les médecins se rendent compte qu’il est toujours vivant. Des professionnels de santé tirent aujourd’hui la sonnette d’alarme. Après ce réveil inespéré, les médecins conseillent à Donna de ramener son frère chez elle et de prendre soin de lui. Ils lui assurent cependant que le trentenaire ne vivra sans doute pas longtemps. Trois ans après, TJ est toujours en vie, avec quelques difficultés à marcher ou parler, mais Donna ne cache pas sa colère. “Il a fait plusieurs tentatives ce jour-là pour nous dire: ‘je suis là’. Mais on l’a ignoré. Ils ont finalement arrêté l’opération parce qu’il montrait de trop nombreux signes de vie”, s’indigne-t-elle. Alors que plusieurs années se sont écoulées depuis, plusieurs témoins, qui travaillaient dans le centre de prélèvement d’organes à l’époque, ont pris la parole pour demander que la procédure en place soit réexaminée, révèlent des médias américains cette semaine. En janvier, Nyckoletta Martin, qui était employée au centre de dons d’organes, décide de contacter Donna. Elle tient à confier comment les choses se sont réellement passées. Nyckoletta Martin participait à l’opération du trentenaire quand elle dit avoir remarqué “qu’il bougeait”. “Il s’agitait un peu dans tous les sens sur le lit”. “Et puis quand on l’a regardé, on pouvait voir qu’il y avait des larmes qui coulaient. Il était clairement en train de pleurer”. Nyckoletta Martin indique que les deux médecins sont alors pris de panique et refusent de pratiquer l’opération. Depuis, Nyckoletta Martin confie avoir démissionné et avoir même suivi une thérapie. D’autres employés l’ont suivie, choqués par cet incident. Depuis, d’autres témoignages ont été rendus publics, questionnant la procédure de prélèvement de dons d’organes. Ces personnes ont été entendues en septembre devant la Commission d’Énergie et du Commerce du Congrès. Lu sur Le Salon Beige Un mari qui a « aidé » sa femme en phase terminale à se rendre en Suisse pour mettre fin à ses jours peut hériter de ses biens, a tranché la Haute Cour britannique.
Philip Morris, âgé de 76 ans, s’était vu initialement refuser cet héritage en vertu de la loi anglaise. Finalement, après avoir fait appel à la Haute Cour et après huit mois d’audience, un juge a ordonné que la législation ne soit pas appliquée dans son cas. Sa requête était appuyée par les deux enfants du couple et les autres bénéficiaires de la succession. Actuellement, au Royaume-Uni, toute personne qui accompagne un parent dans un pays où l’euthanasie est autorisée peut être poursuivie pour « aide au suicide » et risque jusqu’à 14 ans de prison. Pour « éviter cela », la défunte avait rédigé « une déclaration exprimant les raisons pour lesquelles elle souhaitait mourir ». De plus, Philip Morris a signalé la mort de sa femme à la police à son retour à leur domicile. La justice a décidé de ne pas engager de poursuites à son encontre. Cette affaire intervient alors qu’une proposition de loi doit être présentée au Parlement cette semaine. Source : Gènéthique
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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