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IVG : Alliance VITA demande le retrait des informations inexactes sur le site du gouvernement15/12/2016 Dans une lettre adressée au ministère de la Santé, Alliance VITA demande le retrait des informations inexactes sur l'IVG diffusées sur le site gouvernemental ivg.gouv.fr.
Par l'intermédiaire de son avocat, l'association Alliance VITA a adressé une lettre recommandée à Marisol Touraine, ministre de la famille, lui demandant officiellement que soient retirées du site internet gouvernemental consacré à l'IVG (ivg.gouv.fr) « les informations inexactes ou non objectives sur l'avortement qui peuvent induire en erreur les personnes qui consultent ce site ». « Le recours concerne particulièrement une vidéo intitulée « Y a-t-il des conséquences psychologiques après une IVG ? », dans laquelle un gynécologue affirme « qu'il n'y a pas de séquelle à long terme psychologique de l'avortement », affirme Alliance VITA. Selon l'association de défense de la vie, cette affirmation va à l'encontre du rapport de l'IGAS en 2010, qui souligne le manque d'étude objective sur les conséquences de l'IVG qui « demeure un événement souvent difficile à vivre sur le plan psychologique. » Dans le courrier de son avocat, Alliance VITA souligne que « le déni de toute séquelle à long terme consécutive à un tel événement est susceptible de tromper les femmes, non seulement lorsqu'elles hésitent, mais aussi lorsqu'elles ressentent ce type de souffrance longtemps après une IVG. » Alliance VITA demande également dans cette lettre la mise à jour du dossier guide contenant les informations sur l'IVG, qui date de novembre 2014. Or l'article L.2212-3 du code de la Santé publique impose une mise à jour annuelle, d'autant plus nécessaire que les dispositions sur l'IVG ont changé à plusieurs reprises depuis cette date. Au cas où le ministère n'apporterait pas une réponse favorable à ces demandes, Alliance VITA annonce se réserver le droit d'introduire un recours contentieux auprès du tribunal administratif. Antoine Pasquier pour Famille Chrétienne ![]() J'ai aimé cet enfant dès le premier instant où j'ai vu et entendu son cœur battre au cours d’une échographie. Cela a été bouleversant, elle était vivante, elle était à l'intérieur de moi, minuscule, presque invisible, mais son cœur battait... et je sentais qu’elle me voulait. J’avais à peine 18 ans... depuis deux jours... de nombreux projets, des rêves, des entraînements, des courses, des parties, l’école, les divertissements. Certes avoir un enfant n'était pas contemplé dans le présent de ma vie, ni même dans l'avenir. Pour être honnête, je ne l’envisageais absolument pas. Mais c'est arrivé, comme cela arrive à beaucoup de filles quelques fois plus jeunes que moi. Elle était déjà là... et j’ai dit oui. Et nous voici ensemble aujourd'hui. On m'a dit que j'ai eu un énorme courage pour garder seule cet enfant il y a un an, le mettre au monde il y a cinq mois et être seule avec lui aujourd'hui. C’est vrai, il m’a fallu beaucoup de force, mais il faut autant de courage pour affronter une maladie, la perte d’un être cher, la douleur, une compétition... alors, pourquoi pas un enfant ? Qui me connaît sait mon histoire, qui ne connait pas a inventé des tas d’histoires sur moi et sur cet enfant, et mes pauvres oreilles ont tout entendu. Cette fille... elle est née d'un grand amour... Mais aucun amour, aussi grand soit-il n’est garanti. Et l’on peut se retrouver seule, comme n’importe quelle femme qui aurait conçu son enfant après une nuit en discothèque ou après aventure insignifiante avec un homme dont elle ne se rappelle même pas le nom. S'il vous plaît, ne jetez pas vos enfants parce qu’il n'est plus là.Ne le jetez pas en échange d'amour ou de promesses d'un autre homme. Ne le jetez pas pour des divertissements, pour l'Université, pour avoir de la liberté ou la perspective d'une vie meilleure. Ne jetez pas ce cadeau pour le monde, les gens, le bavardage, la honte, la crainte de ruiner votre corps, la peur de la solitude... Un enfant vaut plus que tout cela, il vaut plus que nous-même.C'est vrai qu’au début il y aura des parents incrédules, en colère ou déçus, des amis qui ser moqueront, des voisins qui agiront de façon inappropriée, jusqu’à vous exclure de leurs relations, mais vous avez votre bébé, vous n'êtes pas et vous ne serez jamais plus seule et, croyez-moi cela vaut tout le reste. Il vaut mieux Juste un vieux survêtement et un cœur qui éclate de joie quand vous regardez votre enfant éteindre les bougies sur son gâteau, année après année. Et, plutôt que d'avoir vingt paires de chaussures, une belle voiture et beaucoup de vêtements, mais ne pas arriver à retenir vos larmes à l'idée que votre enfant ces bougies... il ne les éteindra jamais... cet enfant qui aurait eu un an, puis deux, maintenant trois ans... Détester pendant des années, la vue même d'un ventre ou une poussette et pleurer en pensant à ce qu’il aurait été, à qui il aurait ressemblé, au moins un peu, comment auraient été ses yeux, ses cheveux... et si cet enfant aurait été un garçon ou une fille. L'avortement ne paye jamais, l'avortement dévaste toujours et il vous dévaste, pas vos amis, pas votre petit ami ou vos parents... il vous dévaste vous. En revanche le miracle, c'est cela ; un beau sourire, deux petites mains charnues et un amour indescriptible. J'ai reçu tant d’affection, j’ai eu beaucoup de mains tendues pour m'aider, pour m'encourager et me donner la force nécessaire. Des personnes impensables qui avant ne me saluaient même pas et qui ensuite se faisaient concurrence pour communiquer avec moi, pour m'accompagner et m'offrir leur aide. Voilà ce que font les enfants, ils transforment tout ce qui est sombre en une belle lumière et deviennent les enfants et petits-enfants de tous... Ahahahah mes professeurs inclus. Certes, il y a des cœurs endurcis, mais ceux-ci ne font pas l'histoire. Bien sûr maintenant dans mon sac avec l'iPhone et la trousse maquillage, il y a les couches et les lingettes, les biberons et les tétines, mais nous sommes très belles, en fait nous sommes deux fois plus belles. Les nuits sont encore assez animées allaitement, études, beaucoup de fatigue, mais aussi tant de sourires et de belles grimaces. Parfois elle se réveille apeurée, elle tend sa main pour attraper mes cheveux ou mes joues et me regarde comme pour dire... "Maman, où es-tu ?"... et moi je la regarde et lui dit « Amour, maman est là. »... elle me sourit, ferme les yeux... et s’endort ! Je suis ici, c'est ma place, à côté d’elle, et toute mère sait qu’aucune au monde n’est aussi belle que celle-ci. Mère Teresa disait « les difficultés de la vie ne sont pas résolues par la suppression de la vie, mais surmontant toutes les difficultés ". C’est vrai. S'il vous plaît, ne jetez pas vos enfants. Benedetta Source : "Voici ma petite fille Maria Stella" Wie een kind verliest tijdens de zwangerschap, moet dat vaak alleen verwerken. Vanaf 2017 betaalt het Riziv rouwzorg terug door zelfstandige vroedvrouwen die zijn opgeleid door het Expertisecentrum Kinderwens Vlaanderen. Op wereldlichtjesdag herdenken (wens)ouders hun overleden kind.
‘Ik denk dat ik de meisjes niet meer voel’, zei Annelies Heylen uit Averbode drie jaar geleden tegen haar vriend. Het was zondag en de dag nadien moesten ze voor een controle naar de gynaecoloog. ‘Ik wilde niet meteen overdreven paniekerig doen’, vertelt Annelies, boekhoudster van beroep. ‘Maandag zag de gynaecoloog dat hun hartjes niet meer klopten.’ Maandagavond kwamen de weeën, dinsdag werden Ella en Marie geboren. ‘Als ze maar zouden wenen, dan zou alles een misverstand zijn. Eerst kwam Ella en het bleef muisstil. Daarna kwam Marie en was er opnieuw alleen stilte. Pas toen drong het tot me door dat ze dood waren.’ Ella en Marie stierven aan het tweelingtransfusiesyndroom (TTS). Ze werden gecremeerd. Hun ouders organiseerden een afscheidsplechtigheid met heel de familie. Dat was heel belangrijk voor ons.’ Geboorteakte Annelies en haar vriend wilden Ella en Marie ook erkennen als hun dochters, maar dat bleek niet mogelijk. ‘Ik heb alleen een overlijdensakte. Dat maakt me zo kwaad. Voor de wet zijn ze enkel gestorven, maar nooit geboren. Als zelfs een olifant in de zoo een geboorteakte krijgt, waarom mijn meisjes dan niet?’ Vorig jaar zijn Annelies en haar vriend de ouders geworden van een dochtertje, Eloïse. ‘Het is een heerlijk kind’, vertelt haar moeder. ‘Dankzij Eloïse is het verdriet draaglijker. Toch blijf ik me iedere dag afvragen: hoe zouden haar oudere zusjes zijn geweest?’ Meer voor abonnees : Het is nog pijnlijker omdat niemand over je kinderen spreekt > "Je moet rouwen, ook voor een ongeboren kind" ‘Wensouders bij wie het niet lukt, zitten vaak in een sociaal isolement’ Wendy Van de Weyer (35) heeft twee zoons, maar raakte ook twee kindjes kwijt door zwangerschapsverlies. > "Een baby'tje vasthouden doet pijn" ‘Je móét ermee omgaan. Ook als man.’ Stef Janssens (31) en zijn vrouw verlangen naar een kind, maar hadden al veertien keer een miskraam. Bron : Voor de wet zijn mijn dochters enkel gestorven, niet geboren ![]() Le «délit d'entrave numérique à l'IVG» annoncé par le gouvernement menace la liberté de penser, argumente le professeur des universités à Sciences Po*. [...] C'est dans cet esprit que la question se précise: «Avez-vous, comme ministre, des moyens d'agir?» À cela, Laurence Rossignol répond: «Les opposants n'ont jamais désarmé. Pas une fois, pas une heure, pendant ces quarante ans, ils n'ont cessé de chercher à dissuader des femmes, à affaiblir leur droit à l'IVG. Et aujourd'hui, effectivement, leur nouveau terrain de jeu, ce sont les sites Internet, très pervers.» Laurence Rossignol révèle l'existence de ce qu'il faut bien appeler une police privée lui permettant de déclasser les opinions réprouvées par le gouvernement: «Nous avons déjà (réorganisé), avec Google en particulier, le référencement, de façon à ce que le site officiel qui est celui du gouvernement, ivg.fr, soit le premier accessible.» On comprend que cette action de censure, confirmée par la ministre, existe en dehors de la volonté du législateur. Échappe-t-elle aussi au contrôle du premier ministre, responsable devant le Parlement? La question ne lui est pas posée. La ministre prévient qu'une nouvelle étape commence: «Maintenant, il faut aussi aller dénoncer la duplicité et la pointer. Il existe des outils juridiques qui ont été créés pour, justement, dissuader et limiter l'impact de ces opposants à l'IVG.» Et la ministre annonce la création prochaine d'un délit d'opinion. Mais quelle opinion s'agit-il de combattre? Il suffit de se rendre sur les sites pointés par le journaliste et la ministre pour voir qu'ils ne constituent pas un «leurre» ni ne cherchent à prendre les apparences d'un site officiel. Ils ne dissimulent pas que l'IVG est un droit. Ils alertent, parce qu'ils pensent devoir le faire, à tort ou à raison, contre les décisions précipitées, contre les pressions qu'exerceraient dans certains cas les hommes sur les femmes (sosgrossesse.org) ; ils abordent aussi la souffrance et la détresse que peuvent éprouver les femmes après un avortement (sosbebe.org). Fournir des raisons de ne pas avorter est donc en train de devenir un délit. Lire la suite sur Le Figaro |
Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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