Quel message pouvez-vous passer aux chrétiens découragés par l’emprise de la culture de mort dont les promoteurs sont majoritaires et qui structure l’opinion, alors qu’elle détruit la société, les familles, les personnes ? Je commencerais par dire qu’un tel dérèglement est certainement la conséquence de grandes souffrances, plus ou moins conscientes, et qu’il faut prendre le temps de les écouter et de les comprendre, au lieu de répéter et affirmer des principes, ce qui ne servira qu’à aggraver les clivages et la violence. J’ajouterai aussi que le découragement, non seulement est un péché, mais qu’il en entraîne beaucoup d’autres, comme la lâcheté, la démission… Le Seigneur ne nous a pas chargé de convaincre ni de gagner. Il ne nous a pas assuré le succès. Il nous a demandé d’aimer tout le monde, comme lui-même nous a aimés (et c’est vraiment un commandement qui est au-delà de nos forces, s’il ne vient pas le vivre en nous). Et il nous a donné comme consigne - c’est même sa dernière phrase sur terre : « Vous serez mes témoins », et juste avant : « Vous allez recevoir une force, celle du Saint Esprit » (Act 1, 8). Nous avons donc, à chaque génération, « l’équipement » intérieur nécessaire pour faire face aux situations qui se présentent. Il est arrivé souvent, dans l’histoire, que des sociétés et des civilisations s’égarent, mais il n’y a aucun risque que Dieu nous abandonne. A nous de tout faire pour rester dans sa main. Le dimanche 25 janvier 2015 aura lieu la 10ème Marche pour la vie. L’objectif est de maintenir une conscience en France sur l’importance du respect de la vie humaine fragile comme principe essentiel de notre société. Cette année la mobilisation ne peut ignorer l’enjeu de l’euthanasie, compte-tenu de l’actualité politique. Un message de mobilisation pour ce 25 janvier ? Cette manifestation garde une grande valeur symbolique, et elle touche plus qu’on ne le croit. Elle rappelle que la suppression d’une vie humaine qui commence son cours est une profonde injustice, un acte d’une terrible gravité. Dans l’année du 50ème anniversaire de la clôture du Concile Vatican II, on ne peut oublier la clarté avec laquelle la constitution Gaudium et spes s’exprime à ce sujet. Il n’est pas question de juger les personnes qui ont vécu (ou participé à) un avortement. Dieu connaît leur cœur et elles savent que Sa miséricorde leur est toujours offerte. Mais quand j’ai entendu, l’an dernier, que maintenant une page s’était tournée, que c’en était fini avec la loi Veil ou avec les situations de détresse, et que chacun pouvait disposer de son corps, je me suis décidé à participer à « la Marche pour la vie ». Pour janvier 2015, je n’ai pas encore regardé si mes obligations pastorales me permettront d’y prendre part, mais la question de l’euthanasie et de l’accompagnement de tous ceux qui sont en fin de vie, est aujourd’hui un enjeu essentiel et bien embrouillé dans toute l’Europe. Sur ce point aussi, nous avons un témoignage à donner. Je pense aux derniers mois de la vie de saint Jean-Paul II, au début de l’année 2005. Jusqu’au bout, il est resté conscient de sa situation. En février, il a accepté de subir une trachéotomie pour ne pas mourir étouffé, mais le mois suivant, il a refusé, m’a-t-on dit, qu’on lui fasse une gastrectomie. Quand l’heure du départ est venue, pourquoi la craindre ? Nous sommes aimés et attendus ! L’exposition “ Jérôme Lejeune : une découverte pour la vie” s’arrête à Lyon du 24 novembre au 3 décembre. Mgr Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, inaugurera l’exposition. Il revient sur l’héritage de Jérôme Lejeune et les défis éthiques de notre société. D’avril 2014 (mort de Jérôme Lejeune) à avril 2015 (création de la Fondation Jérôme Lejeune) , la Fondation Jérôme Lejeune fête « 20 ans de défi scientifique et éthique ». Dans ce cadre, une exposition « Jérôme Lejeune, une découverte pour la vie » est organisée dans plusieurs villes en France. Lyon accueille cette exposition du 24 novembre au 3 décembre. Vous l’inaugurez le 23 novembre. Pour vous, qui est Jérôme Lejeune ? Le professeur Lejeune, je l’ai d’abord connu dans un cadre familial. Je me rappelle un dimanche où nos deux familles étaient réunies avec une troisième ; il y avait le temps des groupes séparés, les jeunes d’un côté et les parents de l’autre, puis de beaux moments en commun. Nous discutions et nous aimions l’écouter, mais aussi nous chantions ensemble. Il devait bien aimer la musique ; je crois me rappeler qu’il grattait la guitare pour nous accompagner. Au mariage de l’une de ses filles, il avait travaillé avec tout un petit groupe l’Alleluia du Messie de Haendel, pour le chanter à la fin de la Messe, … un exploit ! Pour nous, ce n’était pas tellement « le Professeur », même si nous savions bien avec qui nous étions. Un de mes frères l’a retrouvé beaucoup plus tard en consultation lorsqu’une de ses enfants est née avec un handicap. Moi, j’ai gardé contact avec son épouse et quelques-uns de ses enfants, et une vraie amitié avec l’un d’entre eux... C’est pour cette raison sans doute qu’au moment du 10ème anniversaire de sa mort, au printemps 2004, la famille m’a demandé, avec l’accord du cardinal Lustiger, de célébrer la Messe pour lui à Notre-Dame de Paris. Cette année, pour le 20ème, j’étais heureux de le faire à la Primatiale saint Jean, à Lyon. Quelle dimension de Jérôme Lejeune est la plus utile pour nous aujourd’hui : Le scientifique qui a découvert la trisomie 21 et le généticien qui consacré sa vie à trouver un traitement pour les déficients intellectuels ? Le défenseur de la vie médecin de l’école d’Hippocrate, qui à ce titre refusait de supprimer la vie des êtres humains dès lors qu’ils sont conçus ? Le croyant ami du pape Jean-Paul II et 1er président de l’Académie pontificale pour la vie ? Pourquoi choisir entre ces trois aspects essentiels de sa personnalité ? Le témoignage d’un scientifique croyant est toujours parlant. J’ai remarqué que pour les jeunes, spécialement les étudiants, c’est très important. Récemment, j’ai lu une enquête expliquant que la proportion de scientifiques croyants était la même en 1900 et en 2000 (environ 40%). On veut souvent monter la science contre la foi ou l’inverse. Pour ma part, je pense qu’il n’y a pas d’antagonisme foncier, tout au plus des combats de frontière qui viennent de l’étroitesse d’esprit ou de la tendance hégémonique de certains scientifiques ou théologiens. Lorsque chacun a une juste idée du travail qu’il accomplit, il respecte l’autre et reconnaît sans difficulté qu’il peut y avoir d’autres approches. Il y a quelques années, lors d’un colloque à Lourdes, j’ai entendu le Professeur Montagnier dire cette phrase savoureuse pour un homme qui se dit incroyant : « On dit souvent que la médecine fait des miracles ; mais je ne vois pas pourquoi on interdirait au ciel d’en faire aussi. » Incontestablement, la foi en un Dieu créateur et Père qui conduit au plus grand respect de la vie, était un point essentiel pour le Professeur Lejeune comme pour Jean-Paul II. Leur amitié était ancienne et elle s’élargissait à d’autres personnes comme Wanda Poltawska, une polonaise, médecin également, qui a beaucoup travaillé avec Jean-Paul II. On sait qu’avant l’attentat du 13 mai 1981 sur la place saint Pierre, le pape venait de déjeuner avec Jérôme Lejeune et en 1997, lors de sa venue à Paris pour les J.M.J., il est allé se recueillir sur sa tombe avec toute la famille Lejeune. Peu de temps après avoir été nommé premier Président de l’Académie Pontificale pour la vie, la maladie l’a vite emporté. L’exemple de la recherche persévérante est stimulant pour nous tous. Jusqu’à la fin de sa vie, il voulait trouver la manière de soigner ou guérir la trisomie. Il a donné un bel exemple de courage. Il n’a jamais accepté de céder aux modes et a préféré le respect de sa foi ou de ses convictions aux honneurs de ce monde. Tout cela nous encourage à remettre, si je puis dire, notre vie « à l’endroit ». Avortement, manipulation de l’embryon, sélection prénatale, industrie procréatique, euthanasie : en France depuis 40 ans les responsables politiques contribuent à développer une culture de l’élimination des indésirables En France, il semble que seuls les chrétiens représentent une force pour dénoncer ces dérives éthiques et médicales. Partagez-vous ce constat ? Oui, c’est une pente dangereuse. Mais il faut reconnaître que l’eugénisme est une tentation récurrente à toutes les époques. Comme beaucoup d’autres, sans doute, j’ai découvert avec tristesse cette tendance chez Alexis Carrel dont pourtant j’avais aimé le célèbre ouvrage L’homme, cet inconnu. Récemment, j’ai lu une publication du P. Joseph Verlinde, très bien faite et affligeante, où il montre que l’eugénisme est présent depuis toujours, et dans de nombreux courants de pensée. Lutter là-contre, est-ce le fait des seuls chrétiens ? Grâce à Dieu, je vois que non. Pour avoir souvent dialogué avec des Juifs et des musulmans ou avec des athées sur ce sujet, y compris dans des conférences publiques ou devant les médias, j’ai souvent senti chez des non chrétiens et des non croyants un grand respect de la vie humaine. Lorsqu’il était Président du CRCM de Rhône Alpes, le professeur A. Gaci m’avait dit un jour : « Tous les textes que vous écrivez sur ces sujets, je suis prêt à les signer. » Il est vrai pourtant qu’un jour à la Cité des sciences, lors d’un débat animé par le professeur Frydman, celui qui a permis la naissance d’Amandine, le premier « bébé-éprouvette », comme l’on dit, je l’ai entendu conclure les interventions des représentants des différentes religions par cette phrase : « Même si je ne pourrai jamais être d’accord avec elle, la seule position cohérente de bout en bout, c’est celle de l’Eglise catholique. » Témoignage de Mgr Barbarin sur le site de la Fondation Lejeune Il y a 40 ans, jour pour jour, Simone Veil, alors ministre de la Santé, défendait dans l’Hémicycle son projet de loi sur l’avortement en soutenant avec « toute sa conviction» que «l’avortement devra toujours être une exception, l’ultime recours pour des situations sans issue, car il est et restera toujours un drame pour tout être humain». Aujourd’hui, Mme Catherine Coutelle, pour fêter ce triste anniversaire, présentera au vote à l’assemblée nationale, une résolution pour davantage asseoir le droit à l’avortement et l’ériger en un droit fondamental. Depuis ce matin, nous entendons ainsi des voix se réjouir de ces 40 dernières années, appelant dans le même temps, à une toujours plus grande vigilance pour que le droit à l’avortement soit un droit respecté. Nous entendons parler de « liberté des femmes à disposer de leurs corps », de « droit des femmes au confort », de « droit au choix»…. Pas une seule fois cependant ne sont évoqués les concepts de Vie et de Mort…et pourtant, c’est bien de cela dont il est question, n‘en déplaise à certains ! Rappelons à ce titre, ce chiffre épouvantable de 9 millions de victimes innocentes, sans compter les millions de femmes souffrant encore des conséquences psychologiques et physiques de leur avortement. Nous recueillons chaque jour, au sein de notre antenne d’écoute aux femmes enceintes en difficultés, des témoignages édifiants à ce sujet. Aujourd’hui, il est clair que nos politiques préfèrent se placer du coté de la promotion de l’avortement que du côté de la prévention et du soin des femmes ayant avorté. La contradiction idéologique est flagrante. D’un côté, tout le monde s’accorde à reconnaître l’avortement comme un drame, et d’un autre on célèbre ses 40 ans en grandes pompes avec qui plus est, une volonté de placer l’avortement au rang de pilier de notre société. Nous assistons par la même à un dérèglement bioéthique, à un glissement majeur d’une société dont la valeur principale était la Vie à une société dont la valeur devient la mort. Ne nous étonnons donc pas que cette loi sur l’avortement qui a ouvert la boite de Pandore en autorisant la suppression des plus fragiles et des plus petits en début de vie, aboutisse demain à une autorisation de supprimer les plus fragiles en fin de Vie ! Le droit de tuer l’Autre, demain sera devenu définitivement supérieur au droit à la vie ! Ce qui signifie tout simplement que l’interdit du meurtre, fondement de toute civilisation sera purement et simplement balayé au profit de la liberté individuelle dont la liberté de tuer! Gardons malgré tout confiance… des voix continueront de s’élever pour dire stop à cette spirale infernale et prendre le parti de la Vie ! Je vous donne rendez-vous le 25 janvier à Paris pour marcher pour la Vie ! Communiqué de la Famille Missionnaire Evangile de la Vie Qu'est-ce que la Famille Missionnaire Evangile de la Vie ? Wereldwijd zijn er meer dan 200 miljoen vrouwen en meisjes ‘vermist’ o.a. omwille van selectieve abortus. Vandaag op de Internationale Vrouwendag staan we samen met internationaal hulpverlener en ontwikkelingshelper Willy Legendre stil bij deze verbijsterende feiten. Begin dit jaar publiceerde de Britse krant ‘The Independent’ onder de titel ‘The Lost Girls’ een indrukwekkende reeks over ‘selectieve abortus’ in het Verenigd Koninkrijk: binnen bepaalde groepen van immigranten, waar een dochter wordt aanzien als een vloek en een zoon als een zegen, worden kerngezonde vrouwelijke foetussen, op uitdrukkelijke vraag van de zwangere moeder, geaborteerd.
Abortus, enkel omwille van het geslacht van het ongeboren kind, is ‘in principe’ verboden in het VK. Toch kwam de krant met harde bewijzen; ‘sex-selective abortion’ is zo wijdverspreid in het land, dat het de normale 50:50 verhouding tussen jongens en meisjes in bepaalde gebieden onderuit heeft gehaald. Met als verbijsterend resultaat dat er rond de 5.000 meisjes ‘vermist’ zouden zijn in het VK. Anomalie Wereldwijd is de verhouding tussen jongens en meisjes, 1.05. Daarmee wordt bedoeld dat er ongeveer 105 jongens worden geboren voor elke 100 meisjes. Het kleine verschil – wat de jongens schijnbaar bevoordeeld – is niets meer dan een ‘natuurlijk correctiemechanisme’ omwille van de ietwat hogere kindersterfte bij jongens tijdens de eerste levensjaren. Rond de puberteit is de ratio ongeveer gelijk. Maar feiten binnen bepaalde etnische groepen in het VK (China, India, Pakistan, Afghanistan en Bangladesh) brachten een anomalie in de verhouding jongens/meisjes aan het licht: tot 120 jongens per 100 meisjes. Dit komt vooral voor bij gezinnen uit bevolkingsgroepen die een zoon prefereren en waar het eerste kind een dochter is. Het tweede (of derde) kind in dergelijke gezinnen is bijna steevast een zoon. ‘Onmogelijk!’ concluderen artsen, wetenschappers en onderzoekers. Verder onderzoek toonde aan dat de discrepantie het directe resultaat is van selectieve abortus. Ongeveer 10% van de 190.000 abortussen uitgevoerd in Engeland en Wales werd uitgevoerd na de 13de week zwangerschap; met andere woorden, wanneer de dokter het geslacht van de ongeboren baby met zekerheid kan bepalen… ‘Gendercide’ Wereldwijd zijn er meer dan 200 miljoen vrouwen en meisjes ‘vermist’ o.a. omwille van selectieve abortus. De Europese Commissie werkt al sinds een paar jaar aan een wetsvoorstel om selectieve abortus in de EU te verbieden. De resolutie van het Europese Parlement van 8 oktober 2013 gebruikt sterke taal en vergelijkt selectieve abortus terecht met genocide: ‘gendercide’ en ‘feminicide’. Er is echter een acuut gebrek aan betrouwbare informatie en exacte cijfers van de toestand in de lidstaten ontbreken. Daardoor is het moeilijk om tot een besluit te komen en tot actie over te gaan. Selectieve abortus zou binnen de Europese grenzen vooral voorkomen bij groepen immigranten uit het Midden Oosten, West en Oost Afrika, Zuid en Oost Azië en immigranten uit verschillende Oostbloklanden. Vooral bij groepen afkomstig uit Albanië, Armenië, Azerbeidjaan en Georgie zou de toestand ronduit choquerend zijn; 138 jongens per 100 meisjes. België Maar indien gendercide een Europees probleem is, wat is dan de situatie in België? Informatie over selectieve abortus is blijkbaar een goed bewaard staatsgeheim in ons land. Toch kunnen bepaalde dringende vragen worden gesteld aan de hand van de informatie die voorhanden is. Sinds 1990 is abortus geen strafbaar feit meer in België. Indien aan bepaalde voorwaarden wordt voldaan. Zo moet de zwangere vrouw verklaren zich in een ‘noodsituatie’ te bevinden. Probleem is dat de Belgische wet geen omschrijving geeft van het begrip ‘noodsituatie’. Een vrouw die door haar omgeving, haar echtgenoot en haar schoonfamilie zwaar onder druk wordt gezet, met echtscheiding wordt bedreigd en zelfs de reële kans loopt om zwaar mishandeld te worden, indien ze een dochter baart in plaats van een zoon, moet geen twee keer nadenken over abortus indien ze zwanger is van een meisje. Terecht kan ze zich beroepen op de wettekst. Maar wat met de vrije keuze? Vrouwen in het VK die selectieve abortus hebben laten uitvoeren geven toe dat ze dit onder druk hebben gedaan, uit angst, uit schaamte, om de eer van de familie en om hun huwelijk te redden, en hebben nu spijt van de ingreep. Maakt selectieve abortus daarom geen deel uit van discriminatie en vrouwenmishandeling of moet het worden geseponeerd onder de noemer: ‘culturele verschillen’ (zoals vrouwelijke genitale verminking, eergerelateerd geweld, kinderhuwelijken,…)?! Vlaanderen, Wallonië en Brussel De Europese Unie stelt voor om artsen te verbieden om het geslacht van de ongeboren baby aan de ouder(s) mee te delen. Maar dat is onzin. Een zwangere vrouw kan in België immers via een simpele bloedtest perfect zelf het geslacht van haar ongeboren kind te weten komen en via internet zijn er goedkope en betrouwbare zelftesters te verkrijgen, waarmee de aanstaande moeder na 1 minuut al weet of ze wel of niet een afspraak moet maken met een abortuscentrum. Bovendien, België mag dan abortus verbieden na de 12de week van de zwangerschap, je kunt nog steeds terecht in Nederland of het VK waar abortus na die periode wel vrij wordt toegelaten. Elk jaar worden ongeveer 20.000 zwangerschappen afgebroken in België. De gemiddelde leeftijd van vrouwen die abortus laten uitvoeren is 27 jaar. Dus geen ‘domme tieners’ maar volwassen gehuwde vrouwen die het gebruik van voorbehoedsmiddelen kennen en misschien al een tweede of derde kind hebben. Vlaanderen heeft het laagste abortuscijfer, Wallonië komt op de 2de plaats, het Brusselse Hoofdstedelijk Gewest kent het hoogste aantal zwangerschapsonderbrekingen in België. Debat over brutaal geweld op vrouwen. Werd er ooit onderzoek uitgevoerd in welke week van de zwangerschap vrouwen afkomstig uit bepaalde etnische groepen een abortus aanvragen en laten uitvoeren in België? Bestaan er betrouwbare cijfers over het geslacht van de geaborteerde foetus? Weet men of het om abortus van een tweede of derde kind gaat en heeft men de resultaten ooit vergeleken met het geslacht van het eerste kind? En wat is de verhouding jongens/meisjes in wijken met een sterke concentratie immigranten? Wanneer er één meisje zoek is in België staat het land, terecht, op zijn kop. Maar hoeveel meisjes en vrouwen zijn er werkelijk vermist in België? Moeten we een noodzakelijk debat over dit onderwerp vermijden omwille van ‘politiek correct gedrag’? Dit is echter geen debat over allochtonen of abortus, maar wel een debat over brutaal geweld op vrouwen in België, nog voor ze werden geboren! Willy Legendre Pour signer, cliquez sur une des images ou tout simplement sur le lien suivant : www.soulagermaispastuer.org L'association Noemi voudrait changer la vision qu'a la société par rapport aux personnes avec des handicaps multiples. Leur mission est d'améliorer leur vie. L'association voudrait que nous ayons une vision positive de ces personnes positif afin que leur dignité soit respectée tout en leur apportant la joie et le bonheur Et, pour reprendre ses mots : "N'oublions pas en ce jour tous les infirmes", mais aussi toutes les personnes souffrantes, ... Monsieur Di Rupo l'a bien compris : "Koningin Fabiola heeft koning Boudewijn bijgestaan gedurende zijn volledige koningschap, ten dienste van België", schrijft Di Rupo. "We zullen haar blijven herinneren omwille van haar présence en beschikbaarheid, in het bijzonder tegenover de zwaksten in onze samenleving." (De Morgen) (Di Rupo : "La Reine Fabiola a soutenu le Roi Baudouin pendant tout son règne, au service de la Belgique. Nous gardons le souvenir de sa présence et de son accessiblité, tout spécialement pour les personnes les plus fragiles de notre société.") Toutes les personnes les plus faibles, y compris l'enfant à naître !
En leur nom et en notre nom à tous nous réitérons ce cri du coeur : "Merci Madame !" IVG hier, euthanasie aujourd’hui : STOP au dérèglement bioéthique ! La Marche pour la vie est une mobilisation annuelle. Depuis 10 ans, des citoyens manifestent à Paris au mois de janvier, pour exprimer leur opposition au dérèglement bioéthique initié par la loi sur l’avortement. En autorisant l’élimination des êtres humains en gestation, cette loi sur l’avortement est la pierre angulaire des dérives médicales et scientifiques observées ou à venir : industrie procréatique, recherche sur l’embryon, GPA, euthanasie etc. La Marche pour la Vie vise à réinstaller le principe du respect de la vie humaine comme fondement de la société. Marchons ensemble le dimanche 25 janvier 2015 pour défendre la vie ! Pour aller avec les JPV (depuis Bruxelles) à la Marche de Paris, n'hésitez pas à envoyer un mail à [email protected] ou à nous téléphoner au 02.649.08.79.
Site officiel de la Marche Pour la Vie française Son histoire a inspiré le film "Les Intouchables". Aujourd'hui, le parrain de "Soulager mais pas tuer" nous livre ses réflections concernant la défense de la vie des plus faibles et de la nôtre. |
Jeunes Pour la Vie
(JPV) est une ASBL dont l'objet social principal est la promotion et la défense de la vie humaine depuis sa conception jusqu'à la mort naturelle. N'hésitez pas à nous partager vos remarques, idées, ... soit via les commentaires aux articles soit via notre adresse mail: [email protected]
Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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