Jeunes Pour la Vie
suivez-nous!
  • Accueil
  • Qui sommes-nous?
    • Activités
    • Kot à LLN
    • Contact
  • Comment Nous aider?
    • Quelques pistes...
    • Devenir membre
  • Periodique
    • 2 Mois, 1 Chanson
  • Sites Amis

Jean-Jacques de Gucht à Mgr De Kesel : "les institutions catholiques sont subsidiées par la collectivité et n'ont donc pas le choix"

28/12/2015

0 Comments

 
Foto
Sans rappeler la doctrine catholique et l'interdiction fondamentale de tuer, Mgr De Kesel rappelle doucement un principe de base : "Je pense que nous avons le droit de décider de ne pas les pratiquer, au niveau d'une institution. Je pense par exemple à nos hôpitaux" et cela semble suffire pour remuer les politiciens et la presse.

Parmi eux, le professeur Distelmans, non seulement un grand lobbyiste pour l'euthanasie, mais dont les agissements sont soupçonnés un peu partout sauf dans son propre camp. Selon lui, aucune morale n'est plus de mise vu que les hôpitaux sont financés par le pouvoir public : "Je trouve étonnant que Monseigneur De Kesel pense que les hôpitaux ont le droit d'adopter un point de vue moral, alors qu'ils sont financés par les pouvoirs publics. Qu'ils soient catholiques ou non, ils sont financés par la communauté".  Parce que ce même pouvoir public donne des directives concernant l'avortement et l'euthanie ? Quand on nous martèle que nous vivons dans un pays neutre, l'affirmation a de quoi étonner ...

Philippe Mahoux (PS) et Jean-Jacques de Jucht (Open VLD) abondent dans le même sens : "La loi est valable pour l'ensemble des citoyens, et personne ne peut se soustraire à la loi, d'autant plus que ces hôpitaux sont financés par la collectivité" (Mahoux), "Les hôpitaux catholiques vivent des subsides et doivent respecter la loi" (De Gucht). On peut plus aisément comprendre que la majorité des politiciens se range à leur avis, payés par l'Etat, ils se sentent obligés de faire du zèle et exiger ce que la loi ne demande pas ? Tout homicide est encore puni, le code pénal, ne faisant à ce jour, de fait, qu'une exception pour l'euthanasie et l'avortement.

RTBF : Mgr De Kesel sous le feu des critiques après ses propos sur l'euthanasie
De Standaard : Uitspraak aartsbisschop De Kesel schokt politici
Het Nieuwsblad : Politieke wereld verontwaardigd na uitspraak van nieuwe aartsbisschop over abortus en euthanasie
Nieuwe aartsbisschop amper twee weken aan het werk en al onder vuur.

De Morgen : Aartsbisschop Jozef De Kesel onder vuur na uitspraken abortus en euthanasie

0 Comments

Mgr De Kesel wil dat instellingen zelf mogen kiezen of ze abortus en euthanasie plegen of niet.

28/12/2015

0 Comments

 
Foto
De kranten staan er vol van, na twee weken zou Mgr De Kesel "al lastig doet" enkel en alleen omdat hij de mensen eraan herinnert dat een keuze een keuze moet zijn. Een basisprincipe zou kunnen je noemen, maar dat de politici nu eenmaal willen wegcijferen.
Vandaag moeten alle instellingen abortus of euthanasie uitvoeren omdat ze van de overheid subsidies krijgen. Hoewel Jean-Jacques De Gucht dit als vrij normaal beschouwt (wie staat er trouwens achter die wet?) kan je je hier terecht vragen bij stellen : waarom bestaan subsidies om blind de geboden van de staat te volgen? Neen, het is een financiële "hulp", "door de overheid beschikbaar gestelde fondsen bedoeld om een prijs te verlagen of een bepaalde uitgave aantrekkelijker te maken". Subsidies zijn er dus om patiënten te helpen, niet om ze te doden. Instellingen mogen dus ook inzien dat euthanasie en abortus niet het beste zijn voor hun patiënten en die niet meer voorstellen.

Inderdaad, als de wet poneert dat eenieder zijn keuze "vrijwillig, overwogen en herhaald is, en niet tot stand gekomen is als gevolg van enige externe druk" (wet 28 MEI 2002. - Wet betreffende de euthanasie, te lezen op ejustice.just.fgov.be) moet de maatschappij hem een alternatief geven. Zonder alternatief, is er geen keuze. Zonder keuze, geen vrije wil, kan het niet overwogen zijn en heeft herhaling geen zin.

Zonder dat Mgr De Kesel nog over de katholieke leer spreekt, stelt hij dus enkel en gewoon feiten vast, maar dat is genoeg om de media wakker te schudden.

Daarom een warme oproep, Mgr De Kesel moet gesteund worden. De media en de lobbyisten mogen hem niet klein krijgen!

RTBF : Mgr De Kesel sous le feu des critiques après ses propos sur l'euthanasie
De Standaard : Uitspraak aartsbisschop De Kesel schokt politici
Het Nieuwsblad : Politieke wereld verontwaardigd na uitspraak van nieuwe aartsbisschop over abortus en euthanasie
Nieuwe aartsbisschop amper twee weken aan het werk en al onder vuur.

De Morgen : Aartsbisschop Jozef De Kesel onder vuur na uitspraken abortus en euthanasie


0 Comments

En la fête des saints Innocents (28 décembre) Messe pour la Vie

27/12/2015

0 Comments

 
Picture
Vous êtes cordialement invités à la Messe pour la Vie en la fête des saints Innocents
célébrée par monsieur l'abbé Marchand FSSP
le lundi 28 décembre 2015 à 19 h 00

Adresse : Chapelle Notre-Dame de la Paix
Rue de la Justice 14
1315 Opprebais


Décorations de Noël et crèches de la Nativité

Après la messe : sandwiches et bûches de Noël

RSVP en commentaire !




0 Comments

Sainte Fête de Noël à vous tous !

23/12/2015

0 Comments

 
Foto
0 Comments

Le Parlement Européen condamne la GPA

17/12/2015

0 Comments

 
Le Parlement Européen, dans son rapport annuel sur les droits de l'homme et de la démocratie dans le monde vient de condamner la pratique de la GPA, contraire aux droits des femmes.

« 114. condamne la pratique de la gestation pour autrui qui va à l'encontre de la dignité humaine de la femme, dont le corps et les fonctions reproductives sont utilisés comme des marchandises; estime que cette pratique, par laquelle les fonctions reproductives et le corps des femmes, notamment des femmes vulnérables dans les pays en développement, sont exploités à des fins financières ou pour d'autres gains, doit être interdite et qu'elle doit être examinée en priorité dans le cadre des instruments de défense des droits de l'homme »

source : le site du Parlement Européen
Foto
0 Comments

Chiara Corbella Petrillo : Un témoignage de foi et d'amour !

12/12/2015

0 Comments

 
Picture
Par K.V. Turley de LifeSiteNews - traduit par Dominic Larkin pour Campagne Québec-Vie 

Je suis ici maintenant, dans ta chambre, ta dernière chambre... C'est ici que les portes furent ouvertes et qu'Il est venu en personne te rencontrer ...
Ainsi commence un livre tout à fait remarquable: Chiara Corbella Petrillo: A Witness to Joy, de Simone Troisi et Cristina Pacini, tout juste traduit en anglais et publié par Sophia Institute Press.
Il faut en effet, féliciter les éditeurs de porter ce sujet à un plus large public. C’est d’autant plus vrai, si l’on tient compte du contenu des pages de ce livre : une histoire très contemporaine qui témoigne en même temps des plus anciennes vérités sur les douleurs de la condition humaine. 
Ces paroles citées en introduction, prononcées par un époux dans une pièce où sa jeune femme est entrée dans l'éternité, font partie de la préface du livre. C’est une méditation en quelque sorte sur ce qui suivra, car ce livre ne doit pas être simplement lu. Sa charge émotionnelle est trop forte pour cela.
En fait, il s’agit d’un livre avec lequel on prie, que l’on revoit, souligne, soupèse, relit.
Il est fait pour les mères et les pères, pour ceux qui ont perdu des enfants, qu'ils soient nés ou à naître. Il est également fait pour ceux qui songent au mariage comme d’une vocation.
Et pourtant c'est un livre court, à peine 160 pages; très approprié pour la courte vie qu'il raconte, mais tout comme cette vie, ce livre a une profondeur qui est l’opposé de brièveté. Pour l'instant, cependant, laissons le mari en deuil debout dans cette pièce chargée de souvenirs et retournons plutôt aux prémisses, et à un temps plus heureux. 


Foto
Leurs yeux se croisèrent dans la salle à manger bondée d'un hôtel. Comme dans les meilleures histoires d'amour, la leur était celle d'une rencontre fortuite que tous deux savaient être en quelque sorte décisive. Tous deux visitaient un sanctuaire marial, même s'ils avaient voyagé séparément, et dans son cas à lui avec une amie. Celle-ci venait de quitter la scène au moment où Enrico Petrillo, assis dans la pièce, vit Chiara pour la première fois. Et, au moment même, il nota deux choses. La première, c'était que le seul siège libre dans la pièce était à côté de lui; la seconde c'était qu'elle était la plus belle femme sur laquelle il eut jamais posé les yeux et déjà, il sentait qu'il suffirait de peu pour tomber en amour avec elle. Elle se dirigea vers le siège vide et au même instant ces yeux regardèrent les siens ... et c'est ainsi que ça a commencé. 

Chiara Corbella Petrillo: A Witness to Joy est disponible chez  Sophia Institute Press.Les choses ne se déroulèrent pas sans heurts, bien sûr; le chemin de l'amour vrai s’effectue rarement ainsi. Et ainsi donc pour ce jeune couple- après tout, elle avait 18 ans; il en avait 23 - les deux avaient beaucoup de maturité à acquérir. Néanmoins, à partir de cette rencontre à l'été 2002, ils ne pouvaient qu'être ensemble dans cette relation si intense bien qu’encore trop humaine. Ils vécurent dans une alternance de séparations et de reprises. Bientôt, ils comprirent qu'ils devaient prendre une décision. Il y avait quelque chose d'autre qu'ils venaient de réaliser: seuls, ils ne pouvaient pas s'aimer l'un l'autre - le sentiment humain ne suffisait pas. Ils décidèrent d'aller en pèlerinage à pied à Assise; à la fin, ils s'étaient engagés. Au cours de ce voyage, trois fois Enrico lui demanda de l'épouser, trois fois Chiara a dit oui ...      
Le livre est illustré. Les photographies enrichissent avec appoint le texte, tant elles révèlent quelque chose de la beauté naturelle de ce jeune couple italien si évidemment en amour. Chiara est bénie de posséder les regards d'une star du cinéma italien; Enrico, barbu, est beau et viril. Et manifestement, ce qui transparaît alors que les photographies avancent chronologiquement, c’est l’émergence dans leurs visages d'une transformation mystérieuse, forgée dans la souffrance et dans la grâce qui remplace le simple attrait mondain par une attirance  beaucoup plus surnaturelle. Tout autant que les mots, ces images font partie du témoignage de ces pages. 
Ils se marièrent en septembre 2008. Peu de temps après Chiara a découvert qu'elle était enceinte. Les jeunes mariés étaient fous de joie. Une joie qui devait être de courte durée cependant. Une échographie révéla que l'enfant avait une malformation. «Évidemment, vous allez avorter?»  ont demandé les médecins. Mais, Chiara pensant rétrospectivement à l'image de l'enfant sans défense[DL1] , fut déterminée à poursuivre la grossesse. Même si l'enfant devait vivre à peine un peu de temps, toutes ses chances lui seraient données.
Maria Grazia Letizia est née le 10 juin 2009. Elle vécut pendant 30 minutes, assez longtemps pour être baptisée par un prêtre. Chiara devait écrire plus tard:
«Si je l'avais abandonnée, je ne pense pas que je me serais rappelé le jour de l'avortement comme un jour de fête ... Ça aurait été un moment que j'aurais essayé d'oublier, un moment de grande souffrance. Mais le jour de la naissance de Maria, je me le rappellerai toujours comme l'un des plus beaux jours de ma vie ... Le temps (en tant que parents) n'a pas d'importance: un mois, deux mois, quelques heures. Ce qui importe c’est que nous avons eu ce cadeau ... et c’est quelque chose qui ne pourra jamais être oublié. »
Les funérailles eurent lieu deux jours après la naissance de Maria. Sur le petit cercueil blanc, ses parents laissèrent une carte avec les mots suivants:
Nous étions contents de te tenir dans nos bras,
même pour une demi-heure, nous étions heureux.
Nous ne pouvions pas arrêter de regarder ton nez,
le même que le mien,
et ces petites mains, et ces petits pieds.
Nous n’avons pas eu beaucoup de temps pour te dire ...
que nous t'aimons ...
Cela n'a pas d'importance combien de temps que nous passons ensemble ...
Ce qui est nécessaire, c’est de connaître le Père ...
Et tu es née prête,
Je ne sais pas comment te dire combien nous sommes fiers de toi.
Nous t'avons accompagnée autant que nous avons pu.
Maintenant, tu connaîtras le Père ...
Une autre grossesse allait bientôt suivre. Il y avait encore des complications. Les analyses intra-utérines montrèrent qu’il manquait une jambe à l’enfant et qu’il avait une souche à la place de l’autre. D'autres analyses montrèrent que l'enfant n’avait pas de reins et par conséquent que les poumons ne se développeraient pas et qu’il aurait du mal à respirer; le pronostic pour la survie n’était pas bon. Une fois de plus, il y eut une discussion avec le personnel médical sur l'opportunité de procéder à la grossesse, ou de mettre fin à la vie de l'enfant, que l’on voyait à l'écran donner des coups de pieds et se débattre avec énergie. Encore une fois, le couple resta ferme. Et donc la grossesse se poursuivit jusqu'à ce que finalement Davide-Giovanni naisse. Quand il vint au monde, sa mère l’embrassa tendrement en disant: «Mon fils, mon amour». Comme sa sœur, Davide fut immédiatement baptisé sur place par un prêtre pendant qu’Enrico plaçait une petite croix en bois autour du cou de son fils, et puis, comme pour sa sœur avant lui, il fut transporté à la morgue de l'hôpital par son père après avoir vécu à peine plus de 30 minutes.
Et pourtant, le couple ne pouvait pas davantage bloquer les sources de la vie que cesser de s’aimer l’un l'autre et ainsi suivit une autre grossesse. Inutile de dire que ceux qui les entouraient étaient inquiets, même si le jeune couple était étrangement serein. Malheureusement, alors que cet enfant grandissait dans le ventre de Chiara, quelque chose d’autre aussi grossissait en elle. Une tumeur avait été découverte sur sa langue; bientôt, elle se propagea, au cou et à ses yeux. Différents traitements furent proposés; elle refusa tout ce qui pourrait mettre en danger la vie de son enfant, préférant les repousser après la naissance. Quand finalement ce moment arriva, l'enfant, Francesco, vint au monde en bonne santé. Ses parents étaient remplis de bonheur. Cependant Chiara ne pouvait s’empêcher de se sentir si petite alors qu’ayant porté au monde une nouvelle vie, la sienne lentement s'effritait.
Les premiers temps suivant la naissance, le couple, avec leur nouveau-né, connut une vie à peu près normale comme jamais il n’avait pu en faire l'expérience. Enrico et Chiara avait rêvé tout simplement d'être une famille «normale»: avoir un enfant dans leur maison, être avec d'autres mères et d’autres pères, ayant leurs premières excursions en famille, les nuits sans sommeil même ... C’était du temps précieux, qui s’avéra être du temps prêté.
La tumeur était maligne. Il y avait peu à y faire. Après un temps à l'hôpital, il devint clair qu'aucun traitement ne pourrait fonctionner. Finalement, le personnel médical prit Enrico à part pour l’informer de la situation. Maintenant, il devait l’apprendre à son épouse de 28 ans. Il essaya de se donner une contenance, du mieux qu'il put, avant de mener doucement Chiara à la chapelle de l'hôpital. Et là, devant le Saint Sacrement il lui apprit les faits, tels quels ... Finalement, ils s’embrassèrent et répétèrent ensuite leurs vœux de mariage. Elle lui fit ensuite promettre une chose: elle ne voulait pas savoir combien de temps il lui restait; elle voulait vivre dans le présent quel que soit le temps qui lui était donné d’être avec son mari et son enfant. C’était le mercredi de la Semaine Sainte.
Elle est morte à midi le 13 Juin 2012. Peut-être serait-il plus exact de dire que ce fut le jour où elle a vraiment vécu. Parce que tous les événements que vous avez lus furent vécus dans une foi profonde, partagée entre Chiara, Enrico et leurs enfants. Dans ce monde, elle avait voulu être une mère; plus tôt qu'elle aurait pu imaginer, elle est allée à l'endroit où deux de ses enfants déjà l'attendaient, et où maintenant elle attend d'être réunie avec tous ceux qu'elle aime, quand finalement, leurs larmes seront essuyées ...
Il est impossible de ne pas être touché par l'histoire de Chiara Corbella Petrillo. Une vie, si courte soit-elle, peut faire une différence; c’est ce qui se dégage dans le cas de cette femme incroyable. Il est émouvant et même triste de réaliser que les événements que raconte ce livre soient si récents. Son histoire a une portée épique, si dense de tant de façons, et pourtant c’est une histoire de notre temps et pour notre temps. C’en est une qui nous apprend beaucoup sur l'amour, le mariage, les enfants, la famille, et de ce que cela signifie que de vivre en choisissant la vie, face à une culture obsédée par une notion erronée de la mort perçue comme une solution, au lieu d’être ce que la vie de cette jeune femme a démontré: une passerelle.
La dernière partie du livre contient un document incroyablement émouvant : une lettre à Francesco pour marquer son premier anniversaire, l'une des dernières que Chiara ait écrites. Un témoignage écrit de l'amour d'une mère pour son fils - pas encore assez vieux pour comprendre, mais pour qui elle s’était tellement privée afin qu’il puisse vivre, et qu’elle devait maintenant confier à d'autres pour l’élever et s'en occuper. Mais vous aurez à le lire vous-même cependant, car je ne peux pas me résoudre à le retranscrire.                               
Note de l’éditeur: Chiara Corbella Petrillo: A Witness to Joy est disponible en livre de poche et ebook chez  Sophia Institute Press.

> "Je vais au ciel, tu restes ici avec papa", une maman italienne sacrifie sa vie pour son enfant non-né
0 Comments

Brief van 65 professoren : Euthanasie bij psychisch lijden niet genoeg objectief onderbouwd

8/12/2015

0 Comments

 
Voor het eerst sinds het in voege treden van de wet in 2002 werd een beslissing tot euthanasie - het geval De Moor/Van Hoey - door de evaluatiecommissie betwist en naar het gerecht doorgeleid. Van deze euthanasie en de gesprekken tussen patiënt en arts bestaat een documentaire van de Australische zender SBS. Ook over een 24-jarige jongedame uit Brugge, die in laatste instantie afzag van de uitvoering van de haar toegekende euthanasie omwille van psychisch lijden, werd recent een indringende videoreportage van The Economist uitgezonden (24 and Ready to Die).

In onze open brief in de Artsenkrant (september 2015) wezen wij al op de rechtsonzekerheid van de arts bij euthanasie op basis van louter psychisch lijden. Met dit opiniestuk brengen wij het specifieke problematische karakter ervan onder de aandacht, met name de onmogelijkheid om de uitzichtloosheid van psychisch lijden te objectiveren.

Men zou verwachten dat deze ongeneeslijkheid onderbouwd wordt met bijvoorbeeld aanwijzingen van een organisch letsel of van weefselschade, met andere woorden, met factoren onafhankelijk van wat er subjectief inzake de ziekte gevoeld en gedacht wordt. Dergelijke objectivering is bij psychisch lijden problematisch.

Laten we duidelijk zijn: psychisch lijden is reëel en kan minstens even zwaar zijn als lichamelijk lijden. Specifiek is evenwel dat je enkel kan steunen op het woord van degene die lijdt om het in te schatten. En maar goed ook, want hij of zij is de enige die weet hoeveel pijn het doet op het moment zelf. Op het moment zelf... want wanneer we psychisch lijden, zijn we er veelal van overtuigd dat er geen andere toekomst meer mogelijk is. Het is vaak precies deze gedachte die een mens de dieperik in duwt, want zolang er perspectief is, kan men meestal bijzonder veel aan.

Depressie is vandaag de meest voorkomende mentale aandoening: volgens schattingen van de Wereldgezondheidsorganisatie hebben 1 op 7 mensen ooit te maken met een ernstige depressie. Als we deze cijfers plaatsen naast het feit dat uitzichtloosheid één van de centrale kenmerken is van een depressieve fase, is het duidelijk dat het hopeloze gevoel op geen enkele wijze in verhouding staat tot het werkelijk hopeloos zijn van een situatie.

In tegenstelling tot ziektes die het gevolg zijn van weefselschade is mentaal lijden verbonden met een verandering in functioneren - en niet met een aantasting van weefsel. Dit verschil is essentieel omdat dergelijke dynamische veranderingen per definitie kunnen omslaan en wel soms vrij plots. Zo zien we dat sommigen die eerst ongeneeslijk ziek verklaard werden en op basis daarvan toestemming kregen voor euthanasie, er van afzien omdat er nieuwe - zij het kwetsbare - perspectieven zijn opgedaagd.

Op een paradoxale manier bewijst dit dat de ziekte niet ongeneeslijk kan genoemd worden. De subjectieve inschatting van het eigen perspectief bij psychisch lijden biedt daarom geen houvast om het verdict 'ongeneeslijk te vellen.

De conclusie is duidelijk: de huidige wet veronderstelt ten onrechte dat er bij psychisch lijden objectieve klinische criteria zouden bestaan die euthanasie kunnen rechtvaardigen. Het is om die reden dat euthanasie op grond van psychisch lijden alleen niet bij wet kan geregeld worden.

Sommigen verdedigen bovendien de stelling dat (pas) de dood als optie tot een positieve kentering kan leiden en ook daarom als een onderdeel van een goede zorg kan beschouwd worden. Volgens ons betekent dit echter automatisch het radicale failliet van de mentale zorgsector. Het hanteren van 'de dood als therapie', eventueel tot en met het daadwerkelijk uitvoeren van de euthanasie, impliceert het a priori verzaken aan wat therapie steeds kan en moet zijn: het onuitputtelijk openzetten van nieuwe perspectieven.

Als vertegenwoordigers van de verschillende rechtstreeks betrokken beroepsgroepen over de verschillende landsdelen en voorbij de klassieke ideologische breuklijnen, zijn wij gealarmeerd door een toenemende banalisering van euthanasie op grond van psychisch lijden alleen. Wij vinden dat deze situatie intrinsiek verbonden is met het gegeven van een wet die stoelt op subjectieve criteria. Daarom dringen wij erop aan om het toelaten van euthanasie op basis van louter psychisch lijden uit de huidige wetgeving te schrappen.


Ondertekenaars:

Ariane Bazan, Prof. Klinische Psychologie, Université Libre de Bruxelles (ULB)
Gertrudis Van de Vijver, Prof. Moderne Wijsbegeerte en Wetenschapsfilosofie, Universiteit Gent
Willem Lemmens, Prof. Ethiek en Moderne Wijsbegeerte, Universiteit Antwerpen
Dan Kaminski, Prof., School voor Criminologie, Université Catholique de Louvain (UCL)
Pierre Mertens, Kunstenaar & Psychotherapeut Child-Help, International Federation For Spina Bifida & Hydrocephalus, NICC, Art & Society
Marc Calmeyn Psychiater, Psychiatrisch Ziekenhuis Onze-Lieve-Vrouw, Brugge
Jean-Louis Feys Hoofdgeneesheer St Bernard-Manage
Lieven Lagae Prof. Kinderneurologie, Katholieke Universiteit Leuven
Kristien Wouters arts, Instituut voor Tropische Geneeskunde
Luc Van Melkebeke psychiater & revalidatie-arts, Gent
Wim Galle, analyticus, ex-voorzitter van het Gezelschap voor Psychoanalyse en Psychotherapie; praktijkassistent Faculteit Psychologie, Universiteit Gent
Jean-Pierre Verbelen, emeritus hoogleraar Biologie, Universiteit Antwerpen
Herman De Dijn, HIW, Katholieke Universiteit Leuven
Luc Vandecasteele, huisarts, Gent  
Björn Waerlop, Psycholoog, Psychiatrisch Centrum, Gent - Sleidinge
Sarah Vande Walle, Psycholoog, privépraktijk, Deinze
Jos Vandecappelle, Psychiater op rust, Schilde
Léo Claude Jadot, Psychiater, psychotherapeut, seksuoloog, Brussel
Johan Taels, Prof. Ethiek, Universiteit Antwerpen
Michel Ghins, Filosoof, Université Catholique de Louvain (UCL)
Etienne Montero, Decaan rechten, Namur
Timothy Devos, Prof. Faculteit Geneeskunde, KUL, Hematoloog-internist, UZ Leuven
Filip Kolen, Psychotherapeut, Gent
Benoit Beuselinck, Professor Faculteit Geneeskunde KULeuven, Oncoloog UZ Leuven
Stephan Claes, Prof. Psychiatrie, Katholieke Universiteit Leuven
André-Marie Allard, Klinisch Psycholoog, Juridisch Expert, Voorzitter van het Ethisch Comité van het 'Hôpital Psychiatrique du Beau-Vallon', Namen
Eric Vermeer, Verpleegkundige en ethicus, docent aan het Psychiatrisch Ziekenhuis Beau Vallon, Namen
Francis Martens, Voorzitter van de Nationale federatie van de psychoanalytisch georiënteerde psychologen
Pat Jacops, Psychoanalyse, Gent
Katrien Steenhoudt, Psychotherapeute, psychoanalytica
Mattias Desmet, Prof. Klinische psychologie, Vakgroep psychoanalyse en raadplegingspsychologie, Universiteit Gent
Emmanuelle Thiry, Arts palliatieve zorgen, Namen
Joachim Cauwe, Klinisch psycholoog, psychotherapeut, Gent
Xavier Dijon, Prof. em., Faculteit Recht, Universiteit Namen
Gérald Deschietere, Arts, Hoofd Crisisafdeling, Cliniques Universitaires St-Luc, Brussel
Imel Deboeck, Apotheker, Haasrode
Bea Docx, Psychiater, psychoanalytica, Zoersel
Marc J. M. Hermans, Psychiater, hoofdgeneesheer Psychiatrisch Ziekenhuis Bethaniënhuis, Zoersel
Xavier De Longueville, Medisch directeur, Hôpital Psychiatrique du Beau Vallon, Namen
Tine Agon, Klinisch psycholoog, Dienst vrije tijd, Psycho-Sociaal Centrum, Sint-Alexius, Elsene
Catherine Dopchie, Oncoloog, palliatieve zorgen, Doornik
Jean-Marc Priels, Klinisch Psycholoog, Persoonsgerichte psychotherapeut, Brussel
Bert De Meulder, Lector Gezondheid en Welzijn,  Artesis Plantijn Hogeschool, Antwerpen
Ivan Wolfs, Psychiater, Hasselt
Etienne Dujardin, Jurist, Brussel
Lutgart Naudts, Thuisverpleegkundige
Danielle Hons, Arts palliatieve zorgen, Namen
Mark Kinet, Psychiater, Psychotherapeut, Kliniek St. Jozef, Pittem
Rodolphe Van Wijnendaele, Psychiater, CHIREC, Brussel
Annemarie Makay, Psycholoog-psychotherapeut, privé praktijk, Brugge
Georges Casteur, Huisarts, Oostende
Claire Rommelaere, Université de Namur, Faculteit Rechten, assistente
Peter Vuylsteke, Oncoloog, diensthoofd, Namen
Anne Schaub, Assistente Psychologie, Psychotherapeute, Waals Brabant, Court St Etienne
Filip Buekens, Prof., Centrum voor Analytische Filosofie, Katholieke Universiteit Leuven & Tilburg Institute for Logic and Philosophy of Science (TILPS)
Reitske Meganck, Prof. Klinische psychologie, Universiteit Gent; psychotherapeut
Karel Lambers, Psychotherapeut, Brussel
Georges Otte, Neuropsychiater, hoofdgeneesheer P.C. Dr. Guislain, Gent
Jacky Botterman, Oncoloog, Medisch Diensthoofd Palliatieve Zorg, AZ St.-Lucas, Gent
Trenson Eline, Wetenschappelijk personeel UGent, Vakgroep psychoanalyse en raadplegingspsychologie; psychotherapeut & psycholoog in De Spreekkamer
Veronique Wetzels, Verpleegkundige WZC Simeon en Hanna
Thierry Lottin, Directie Sector Psychologie - CHS Clinique Psychiatrique Notre Dame des Anges, Luik
Jean-Benoît Linsmaux, Psychiater, psychotherapeut (privépraktijk), Hoofd Dienst voor Slaaponderzoek en Electrofysiologie GHDC - Charleroi
Ludi Van Bouwel, Psychiater/psychotherapeute Universitair Psychiatrisch centrum, KUL, campus Kortenberg Psychoanalytica, Belgische School voor Psychoanalyse
Leen Vanoverschelde, Psychologe, Gent


0 Comments

Quand une maman doit se défendre de ne pas avoir eu recours à l'avortement...

3/12/2015

0 Comments

 
0 Comments

    Jeunes Pour la Vie

    (JPV) est une ASBL dont l'objet social principal est la promotion et la défense de la vie humaine depuis sa conception jusqu'à la mort naturelle.
    Jeunes pour la Vie existe depuis 1980 en tant qu'association de fait et depuis 1986 en tant qu'ASBL. Les JPV ne reçoivent aucun subside et ne peuvent mener leur combat que grâce aux dons.

    Plus d'infos ICI

    IBAN : BE350 88214257837

    Picture
    N'hésitez pas à nous partager vos remarques, idées, ... soit via les commentaires aux articles soit via notre adresse mail: jvl-jpv@live.be ​

    Rejoignez l'équipe !
    Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.

    Archives

    December 2019
    November 2019
    October 2019
    September 2019
    June 2019
    May 2019
    April 2019
    March 2019
    February 2019
    January 2019
    December 2018
    November 2018
    October 2018
    September 2018
    August 2018
    July 2018
    May 2018
    April 2018
    March 2018
    February 2018
    January 2018
    December 2017
    November 2017
    October 2017
    September 2017
    August 2017
    July 2017
    June 2017
    May 2017
    April 2017
    March 2017
    February 2017
    January 2017
    December 2016
    November 2016
    October 2016
    September 2016
    August 2016
    July 2016
    June 2016
    May 2016
    April 2016
    March 2016
    February 2016
    January 2016
    December 2015
    November 2015
    October 2015
    September 2015
    August 2015
    July 2015
    June 2015
    May 2015
    April 2015
    March 2015
    February 2015
    January 2015
    December 2014
    November 2014
    October 2014
    September 2014
    August 2014
    July 2014
    June 2014
    May 2014
    April 2014
    March 2014
    February 2014
    January 2014
    December 2013
    November 2013
    October 2013
    September 2013
    August 2013
    July 2013
    June 2013
    May 2013
    March 2013
    February 2013
    January 2013
    December 2012

    RSS Feed

Powered by Create your own unique website with customizable templates.