le 29 mars 2015!
... le silence des médias n'en serait-il qu'une confirmation? et le rendez-vous est déjà donné pour l'année prochaine:
le 29 mars 2015!
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Demain dimanche à 11h, l’émission radio Et dieu dans tout ça? – La Première RTBF, traitera du thème : « Religions et organisations philosophiques dans le débat public : jusqu’où aller ? » Votre serviteur y a participé, aux côtés (entre autre) d’Eliane Deproost – secrétaire-généraledu Centre d’Action Laïque (CAL). Malgré les différences philosophiques, chacun autour du micro défend la liberté d’expression, dans le respect de l’ordre public et des bonnes mœurs. Hasard du calendrier, demain à Bruxelles aura lieu l’annuelle « Marche pour la vie », au cours de laquelle des citoyens de toutes convictions philosophiques – parmi lesquels de nombreux catholiques – attirent l’attention de l’opinion publique sur la protection de la vie humaine, depuis sa conception jusqu’à sa fin naturelle. A ce sujet, Henri Bartholomeeussen – nouveau président du CAL – a publié jeudi dernier une chronique dans les colonnes du quotidien bruxellois « Le Soir » : « La raison contre les peurs » Toute critique est respectable si elle vise le bien commun et s’appuie sur des arguments rationnels Le président du CAL ouvre sa chronique par ces mots : « A l’heure où certains ressortent leurs velléités d’interdiction et agitent à nouveau leur catalogue de peurs à l’occasion de l’anniversaire du vote de la loi dépénalisant partiellement l’avortement en Belgique, le Centre d’action laïque souhaite appeler tous les démocrates à débattre des questions éthiques avec calme et rationalité. Toute critique est respectable si elle vise le bien commun et s’appuie sur des arguments rationnels. Agiter des craintes liées à l’émotion ou à des dogmes ne contribue pas à un débat démocratique serein. A cet égard, nous devons constater que la violence des campagnes contre les partisans de la liberté de choix pour les femmes et l’agressivité de ceux qui leur dénient le droit de disposer de leur vie sont fort éloignées de la sérénité. Les arguments scientifiques ou philosophiques rationnels sont de plus en plus évincés du débat au profit de communications qui recèlent mensonges, supputations et amalgames. » « Toute critique est respectable, si elle vise le bien commun. » Voici donc la vision du bien commun défendue par la Marche pour la vie, telle qu’expliquée sur leur site web : « La Marche pour la Vie a pour objectif de promouvoir le respect de la Vie humaine, de la conception à la mort naturelle. Les participants demandent aux autorités compétentes la mise en place de politiques d’aide aux personnes dont la vie est remise en question par les difficultés et les souffrances qu’elles connaissent ou pourraient connaître, et l’abolition ou l’amendement de toutes les lois et décisions de justice contraires au respect intégral de la vie humaine. (…) Animés d’un grand respect pour chacun(e), les participants se désolidarisent de toute attitude blessante envers les femmes ayant subi un avortement. Les participants ne les jugent pas mais, au contraire, souhaitent les aider à prendre un nouveau départ. (…) Les participants établissent une distinction entre l’avortement, qui a pour but délibéré de supprimer une vie humaine et une intervention médicale qui aurait pour objectif de sauver la vie de la mère avec pour conséquence, inévitable et non recherchée en elle-même, le décès de l’enfant.» « Toute critique est respectable, si elle s’appuie sur des arguments rationnels. » Les arguments rationnels existent et le nier ne contribue pas au « débat démocratique serein ». C’est ce que j’ai voulu rappeler dans une récente chronique, parue dans le quotidien « La Libre » : Avorter : un enjeu philosophique . Lire la suite sur le minisite d'Eric de Beukelaer
1. Parce que n'avoir plus que la mort à proposer est un échec pour notre société 2. En signe de solidarité aux personnes handicapées 3. Parce que l'euthanasie des mineurs est un poids supplémentaire à la souffrance des patients et leurs proches Lire le témoignage: les lois sur l'euthanasie enfoncent les parents dans le désespoir 4. Parce que la loi sur l'euthanasie des mineurs est basée sur des principes subjectifs tels que la capacité de discernement 5. parce que l'euthanasie n'est pas un acte médical comme un autre 6. Parce que les personnes démentes ne demandent pas la mort, seulement de l'amour! 7. Parce que l'euthanasie n'est pas digne de l'homme 8. Les femmes méritent mieux que l'avortement 9. Leurs enfants aussi 10. Nous avons tous été un embryon et nous avons été respectés 11. Parce qu'on parle déjà d'avortement post-natal et que nous refusons cette pratique! 12. Parce que cette culture de mort nous inquiète et que nous voulons une société véritablement humaine! 13. Parce que malgré les difficultés, il ne faut pas se décourager, la vie vaut la peine d'être défendue! Le 13 février c’était les mains crispées que j’attendais le résultat du vote. J’espérais encore. Lorsque monsieur Flahaut annonce la fin du vote et l’écran affiche ce que je craignais le plus, j’avais l’impression que le long travail que nous avions fait n’avait servi à rien. Mais j’avais tort. Il est fort probable que vous aussi vous vous demandiez à quoi la Marche pour la vie pourrait servir puisque l’euthanasie pour les enfants est déjà passée. Si j’étais en face de vous j’hocherais la tête tristement, mais tout de suite après je vous prendrai par l’épaule et vous secouerai. Fin mai, nous élirons le parlement et la chambre des représentants. Certains partis politiques veulent l’euthanasie pour les personnes démentes, les nouveau-nés et les personnes souffrant d’une maladie mentale. Vous voyez venir l’importance de la Marche ? Il y cinq ans, le première Marche pour la Vie voyait le jour en Belgique. Cette marche était conçue pour l’anniversaire des 20 ans de la dépénalisation de l’avortement. La Marche a connu dès lors un succès grandissant, jusqu’à l’année passée. Cette année, l’importance de la marche est immense. Lors de la première marche nous avons réussi à faire peur à certains politiciens qui avaient en tête de rallonger le délai pour un IVG . Ce 30 mars, nous voulons réitérer ce blocage. lire la suite de la lettre 14. Si par hasard, sait-on jamais il vous manquait encore un argument, espérons que vous en trouverez un là: 15. Parce que la défense de la Vie a besoin de votre voix, tout simplement!
Alors rendez-vous demain à 14h au Mont des Arts « Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien » (E. Burke) Au Vatican, le pape François qui a reçu Barack Obama a évoqué le droit à "l’objection de conscience" des catholiques américains. L’avortement est un des points de discorde entre les deux hommes. C’est l’un des points de divergence entre le chef de l’Église et le chef de l’État américain. Jeudi 27 mars, à l’occasion d’une rencontre entre Barack Obama et le pape François au Vatican, le souverain pontife a défendu une nouvelle fois le "droit à la vie" pour les catholiques américains confrontés à des interruptions de grossesse. Le Saint-Siège n’a pas vu d’un très bon œil la réforme de santé de Barack Obama qui prévoit, entre autres, le remboursement par les employeurs de la contraception et de la pilule abortive – deux mesures qu’ils jugent contraires aux droits religieux. Ils demandent donc une nouvelle fois le droit à l’objection de conscience, notamment pour des médecins qui refuseraient de pratiquer des avortements. Les deux hommes ont également évoqué des sujets plus consensuels comme la lutte contre la pauvreté. À cet égard, le pape et le président américain sont tombés d'accord sur un "engagement commun pour l'éradication de trafic d'êtres humains dans le monde", selon le communiqué du Vatican. (...) Lu sur Belgicatho Le pape François a défendu jeudi lors de son premier entretien avec le président américain Barack Obama, «le droit à la vie» et «à l’objection de conscience» pour les catholiques américains confrontés à des demandes d’avortement. Le pape François et Obama «se sont penchés sur des questions particulièrement importantes pour l’Église du pays (les États-Unis, ndlr) comme l’exercice des droits à la liberté religieuse, à la vie et à l’objection de conscience», selon le communiqué du Saint Siège diffusé après la première rencontre de François avec Obama depuis son élection en mars 2013. Parce qu’elle favorisait notamment le remboursement par les employeurs de la contraception et de la pilule abortive, la réforme de la santé de l’administration Obama a été vivement contestée par les évêques américains, qui la jugeaient contraire aux droits religieux. Ils ont plusieurs fois, avec le soutien de Benoît XVI, prédécesseur du pape actuel, préconisé l’objection de conscience, notamment le droit de refuser de pratiquer des avortements. Les questions de société ont donc été abordées lors de ces entretiens que Obama avait souhaité voir centrés sur la lutte contre les inégalités dans le monde. À cet égard, les deux hommes sont tombés d’accord sur un «engagement commun pour l’éradication de trafic d’êtres humains dans le monde», selon le communiqué du Vatican. Le bref communiqué a aussi évoqué parmi les sujets abordés «la question des réformes en matière d’immigration». Les entretiens entre Obama et le pape ainsi qu’avec le numéro deux du Vatican, Piero Parolin en charge de la diplomatie, ont également porté sur «des thèmes internationaux actuels», dans une atmosphère qualifiée de «cordiale» par le Vatican. Selon le communiqué, aussi bien le Vatican que Obama ont souligné la nécessité que, «dans les zones de conflit, le droit international et humanitaire soit respecté» et qu’«une solution négociée soit trouvée entre les parties impliquées». Source: Vers l'Avenir En Europe, aux États-Unis et ailleurs dans le monde, une classe politique sans scrupules obnubilée par la quête du profit matériel s'est lancée dans une guerre sans merci contre la génération naissante. Partout où les lobbys de la mort ont déclenché cette guerre meurtrière ou ont tenté de le faire, des survivants se sont levés pour leur génération et les suivantes, abandonnées par les gouvernements aux mains des hôpitaux et cliniques de la mort. Des milliers et centaines de milliers de personnes à travers le monde, se sont engagées dans un mouvement de résistance à ces politiques d'extermination silencieuse, et ont résolu de se battre pour une justice qui reconnaisse la valeur sacrée et inviolable de toute vie humaine. Espérance Nouvelle Quand on vous disait que c'était partout dans le monde:
En gros, ne restez pas là à regardez ces vidéos, mais rejoignez cette génération qui se lève et qui va changer le monde. Soyez-en! Rejoignez-la Marche Pour la Vie le 30 mars 2014 au Mont des Arts à 14h Lettre d'une étudiante, parce que la défense de la vie passe par votre présence, par votre voix. On vous attend dimanche, tout simplement! Le 13 février c’était les mains crispées que j’attendais le résultat du vote. J’espérais encore. Lorsque monsieur Flahaut annonce la fin du vote et l’écran affiche ce que je craignais le plus, j’avais l’impression que le long travail que nous avions fait n’avait servi à rien. Mais j’avais tort. Il est fort probable que vous aussi vous vous demandiez à quoi la Marche pour la vie pourrait servir puisque l’euthanasie pour les enfants est déjà passée. Si j’étais en face de vous j’hocherais la tête tristement, mais tout de suite après je vous prendrai par l’épaule et vous secouerai. Fin mai, nous élirons le parlement et la chambre des représentants. Certains partis politiques veulent l’euthanasie pour les personnes démentes, les nouveau-nés et les personnes souffrant d’une maladie mentale. Vous voyez venir l’importance de la Marche ? Il y cinq ans, le première Marche pour la Vie voyait le jour en Belgique. Cette marche était conçue pour l’anniversaire des 20 ans de la dépénalisation de l’avortement. La Marche a connu dès lors un succès grandissant, jusqu’à l’année passée. Cette année, l’importance de la marche est immense. Lors de la première marche nous avons réussi à faire peur à certains politiciens qui avaient en tête de rallonger le délai pour un IVG . Ce 30 mars, nous voulons réitérer ce blocage. J’aurais aimé vous dire qu’il ne s’agissait qu’un combat très loin de chez nous et que cela ne nous concernait pas, et que donc vous ne deviez surtout pas vous sentir obligé de venir marcher avec nous. Mais malheureusement ce combat vous concerne vous. Il me concerne moi. Il concerne vos parents, vos grands-parents, il concerne vos (futurs) enfants et petits-enfants. Il concerne le bien-être de notre pays. Ce n’est pas pour quelque chose de flou qu’on marchera, mais pour celui qu’on euthanasie maintenant, pour la mère qui en ce moment pleure son enfant. Ça ne se passe pas à côté de chez nous, ça se passe chez nous. Et tôt ou tard, l’euthanasie vous concernera, de près ou de loin. Tout est encore possible, nous pouvons (et nous allons) aller de l’avant et changer cette loi. Mais on a besoin de vous. Vous êtes vivants, vous avez le pouvoir de sauver des tas de vies, et qui sait, peut-être même sauver la vôtre. Venez à la Marche pour la Vie, parlez-en autour de vous. Sensibilisez sans cesse et surtout, ne perdons jamais courage. Ghandi a dit : d'abord ils vous ignorent, ensuite ils vous raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. Plus qu’une étape les gars, allez, un dernier effort ! Le soir du vote de la loi, j’ai envie de baisser les bras lorsqu’une amie m’appelle. Elle est triste elle aussi, mais directement elle parle de nouveaux projets, et de la marche pour la vie. Il n’y a pas le temps de se décourager, hup hup, au boulot. La vie a besoin de nous. Bien sûr, tout le monde n'a pas cette chance, mais c'est magnifique! Puisse cette histoire aider à comprendre l'importance de défendre la vie malgré tout les découragements! Mais quelle obstination dans cette appelation constante de "foetus", "d'interromption de grossesse". C'est un enfant, et un avortement n'interrompt jamais une grossesse, mais l'achève douloureusement. "Un bonheur n'arrive jamais seul", "La chance sourit aux audacieux", "N'écoute que ton coeur"... On pourrait multiplier à l'infini les proverbes et autres phrases bateaux qui s'appliquent au cas de Diane Mullineux, mais on se gardera bien d'en faire des recommandations médicales. Et pourtant, en l'occurrence une maman a vaincu le "crabe" et sauvé son enfant.
Deux avis valent mieux qu'un En août dernier, cette jeune Britannique, coiffeuse de son état, a à peine eu le temps de réaliser qu'elle allait devenir maman pour la troisième fois, quand on lui a diagnostiqué un cancer du col de l'utérus et recommandé de mettre un terme à sa grossesse. Au-delà, le terrible mot d'hystérectomie a été lâché, autrement dit une ablation de l'utérus, soit la perspective de renoncer définitivement à porter un enfant. Elle en avait déjà deux d'une précédente union. La survie du foetus et sa propre existence étaient menacées, mais Diane, 30 ans, n'a rien voulu savoir et a cherché d'autres avis médicaux. Bien lui en a pris. Les cancérologues et les obstétriciens de l'Hôpital des Femmes de Liverpool lui ont offert un petit espoir et finalement le miracle qu'elle appelait de ses prières. Une jolie prématurée et une mère en bonne santé A onze semaines de grossesse, le Dr Jonathan Herod l'a opéré en suivant une procédure chirurgicale inédite. L'amputant d'une grande partie du col de l'utérus, il est parvenu à stopper la propagation de la tumeur cancéreuse, mais a su préserver le foetus. Après plusieurs mois d'angoisse sous la menace d'une fausse-couche, Diane a ainsi pu donner naissance à la petite Nancy, le 20 février dernier précise l'Echo de Liverpool. Avec un mois de recul, on peut dire que l'une et l'autre se portent comme des charmes, mais il s'en est fallu de peu. L'accouchement par césarienne a été provoqué à 33 semaines de grossesse et s'est déroulé sans accroc. Sitôt l'équipe obstétrique sortie de la scène, un chirurgien a pris le relais pour procéder à l'ablation de l'utérus qui s'imposait. Diane était prévenue, il n'y avait pas d'autre solution. Ce n'est que bien plus tard qu'elle a appris que dans le même temps, en soins intensifs, son bébé était placé sous respirateur artificiel. Au final, peu importe : la fillette prématurée va bien et sa maman semble en voie de rémission. Source |
Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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