Au JT mercredi soir on a présenté l'histoire d'une maman qui aurait voulu demander l'euthanasie de son fils. Mais on ne parle jamais de ceux qui ont lutté contre la maladie sans vouloir l'euthanasie. Parfois ils ont gagné, parfois ils ont perdu. Mais perdre contre la maladie, est-ce toujours mal? C'est toujours triste, oui. Mais le courage d'avoir lutté, la patience et l'amour dans l'accompagnement au quotidien, n'est-ce pas louable? Un témoignage lu sur euthanasiestop.be: Il avait un an. Connecté à des dizaines de tubes et de câbles, entouré de machines et son ours en peluche à ses côtés, il a l'air perdu dans ce lit d'hôpital beaucoup trop grand pour lui. Les médecins n'ont jamais promis qu'il atteindrait l'âge de 5 ans. Or, aujourd'hui, grâce à des dizaines d'interventions chirurgicales, Simon-Pierre a 15 ans ! Lors d'un débat abordant l'euthanasie pour les enfants, un médecin disait qu'un de ses petits patients lui avait demandé de ne plus l'opérer et que, il ne voyait pas pourquoi on n'écouterait pas ces enfants, las de tant souffrir. C'est vrai que cela peut se produire. La veille d'une opération, Simon-Pierre a demandé à mon papa, qui passait la nuit avec lui à l'hôpital, de ne pas être opéré. Que faites-vous quand votre petit bout de 5 ans, si petit, si fragile vous demande ça ? Mon père l'a laissé partir en salle d'opération le lendemain. Cela veut-il dire qu'il a été sans cœur ? Jamais ! Aussi petit et fragile qu'il soit, Simon-Pierre était la fierté du bloc médical, de ses parents et de sa famille. C'est toute une équipe qui s'est battue pour lui. Aurions-nous été plus humains en lui injectant un produit pour « l'endormir » ? Certes, nous aurions laissé derrière nous ces mains crispées, ces espoirs de le voir rire et vivre à nouveau après une opération. L'amour c'était de se lever en pleine nuit pour lui apporter des soins, de passer des jours et des nuits à l'hôpital, de raconter des histoires, de veiller et de ne pas dormir. L'amour c'était d'accepter la souffrance, d'aller de l'avant et donner une chance à la vie. Et grâce à cela, l'amour renverse la mort, ou du moins la fait hésiter. Du haut de ses 15 ans, mon petit frère (le terme petit est devenu très relatif) va bien. Évidemment il devra encore passer sous le bistouri, il souffrira encore, il restera fragile. Il sait qu'il a des limites, qu'il doit faire attention, mais si la vie est à ce prix, je suis convaincue que ça en vaut la peine. Si demain on peut euthanasier des enfants, quel médecin insensé voudra encore consacrer son temps précieux à des opérations qui ont 1 chance sur 2 d'échouer ? Quel médecin voudra encore s'occuper d'enfants comme mon frère, sachant qu'ils devront l'opérer des dizaines de fois et encore, sans promesse de réussite? Si Simon-Pierre était né aujourd'hui, ne proposerait-on pas à mes parents de tout simplement l'euthanasier ? Et du coup, est-ce qu'on ne va pas arrêter le progrès médical? Je n'irais pas jusqu'à dire que Simon-Pierre à révolutionné la médecine, je suis sûre qu'il lui a permis d'avancer, et de donner à certains, comme à ma sœur, la vocation d'être médecin : un médecin qui soigne, guérit et prend soin. Pas un médecin qui tue. Avec toute l’Église, rassemblée ce soir-là à travers le monde, nous entrons dans le temps de l’Avent. Dans quatre semaines nous célèbrerons la fête de Noël en accueillant le Fils de Dieu né dans notre chair pour vivre une vie d’homme semblable à la nôtre en chacune de ses étapes. En proposant aux catholiques une veillée pour la vie naissante, le pape Benoît XVI entendait faire réfléchir sur le respect et la défense de la vie humaine depuis son commencement et jusqu’à la fin naturelle. --> Vu le contexte législatif dans lequel se trouve la Belgique (càd: un projet d'extension de la loi sur l'euthanasie), la vie dans son entièreté sera l'objet de nos prières. N'hésitez donc pas à vous joindre à nous! Nous avons besoin de votre prière! Samen willen we de eerste Vespers van de Advent - en dus ook van het Liturgisch Jaar- samen doorbrengen. De Advent is de tijd waarin we ons voorbereiden op de geboorte van Jezus Christus en daarom zijn die Eerste Vespers net de ideale gelegenheid om te bidden voor het (ongeboren) leven, zoals Benedictus XVI ons daartoe aanspoorde. --> door het wettelijk kader waarin ons land zich bevindt (met het project van de uitbreiding van de wet over euthanasie voor minderjarigen), zal het leven in zijn geheel het object zijn van onze gebeden. Kom er maar zeker bij: we hebben uw gebed nodig! "Samedi prochain, 27 novembre, dans la Basilique Saint-Pierre, je présiderai les premières Vêpres du premier dimanche de l'Avent et une veillée de prière pour la vie naissante. Il s'agit d'une initiative commune avec les Églises particulières du monde entier et j'ai également recommandé aux paroisses, aux communautés religieuses, aux associations et aux mouvements d'y adhérer. Le temps de préparation à Noël est un moment propice pour invoquer la protection divine sur tout être humain appelé à l'existence, également comme remerciement à Dieu pour le don de la vie reçu de nos parents." Sa Sainteté Benoît XVI, Angélus du lundi 14 novembre 2010.
Voir ausi: le texte officiel demandant les veillées de prière pour la vie naissante, et sa traduction française. (Merci à Espérance Nouvelle pour ces références!) Sire,
Je m’appelle Adeline, et j’ai 16 ans. Je me permets de vous envoyer cette lettre car je suis choquée par le projet de loi de l’euthanasie. J’aimerais vous faire part de mon avis face au sujet. Tout d’abord, les pros-euthanasie vous diront sûrement ; « quand un enfant est gravement malade, les parents ne veulent pas le voir souffrir plus longtemps ». Mais il faut aussi penser à l’enfant lui-même. Même si à certains moments, il veut peut-être que tout cela s’arrête, à d’autres, il est peut être content d’être encore en vie et de sourire à la vue de l’amour que lui porte son entourage. Un enfant est un enfant, il faut le respecter. Plus on avance son départ, plus il y aura de choses dont cet enfant ne pourra profiter. Ces petites choses, ces petites paroles qui font que la vie devient plus belle au quotidien, cet enfant là ne pourra pas les voir ni les entendre. Par ailleurs, l’euthanasie est un acte raciste, en quelque sorte. Je dis ça parce qu’il démontre une société qui refuse une personne fragile, malade ou portant un handicap. Un parent qui n’a pas le courage, ou la peur du regard des gens parce qu’il a un enfant (par exemple) handicapé, préférera lui ôter la vie plutôt que de s’en occuper. Je suis moi-même souvent en contact avec des personnes portant un handicap, puisque je suis aux guides avec. Je remarque bien que la vie est parfois très dure pour ces personnes, mais quand elles sont aux guides avec nous, elle sont heureuses, et je ne peux m’imaginer qu’elle puissent manquer ça dans leurs vies, juste parce qu’elles n’allaient pas bien pendant un petit temps ! Croyez-moi, ces personnes là ont plus à nous apprendre sur la vie que n’importe quelle autre personne en bonne santé. Enfin, L’euthanasie nous fait revivre un peu le temps des romains, ce temps où tuer n’était qu’un jeu, où les personnes payaient pour voir se battre jusqu’à la mort des gladiateurs dans l’arène. Nous n’en sommes pas encore à ce stade là, mais il y a quand même un point commun ; tuer quelqu’un ne sera pas puni. Sommes-nous donc en train de retourner au temps des romains ? Replongeons-nous donc dans les erreurs du passé que, après des siècles, nos aïeux avaient réussi à combattre ? Cette loi est une loi barbare, raciste, et irresponsable, c’est pourquoi je vous demande de ne pas la signer, geste que vous regretteriez un jour, en voyant le nombre de victimes. Veuillez agréer, Sire, mes salutations distinguées. Déclaration commune des responsables religieux en Belgique suite au vote en Commission du Sénat Justice et Affaires Sociales élargissant l’euthanasie aux mineurs
Le 6 novembre 2013, à titre tout à fait exceptionnel, tous les responsables religieux de Belgique déclaraient d’une seule voix, leur opposition à l’élargissement de l’euthanasie aux mineurs. Ce 27 novembre 2013, nous ne pouvons qu’exprimer notre déception et notre tristesse. Nous partageons l’angoisse de parents si un enfant arrive à une fin de vie prématurée et, particulièrement quand il souffre. Nous croyons cependant que les soins palliatifs et la sédation sont une manière digne d’accompagner un enfant qui meurt de maladie. Des médecins praticiens, oncologues ou intensivistes, nous l’ont clairement affirmé. Ecoutons-les. Nous plaidons pour un arrêt de l’acharnement thérapeutique et pour le remplacement des soins curatifs par des soins palliatifs. Nous croyons que nous n’avons pas le droit de laisser un enfant souffrir : c’est pourquoi la souffrance peut et doit être soulagée. La médecine en a les moyens. Ne banalisons pas l’acte de donner la mort alors que nous sommes faits pour la vie. Aimer jusqu’au bout demande un immense courage, Mettre fin à la vie est un acte qui non seulement tue, mais détruit un peu plus les liens qui existent dans notre société, dans nos familles, en proie à un individualisme grandissant. Entourons et aimons les malades et leurs familles, ainsi que les soignants, et si la maladie l’emporte, qu’elle soit accompagnée de notre affection intense et par l’irréductible respect de la vie. - Rabbin Albert Guigui, Grand Rabbin de Bruxelles - Chanoine Robert Innes, président du Comité Central de l’Église Anglicane en Belgique - Monseigneur André-Joseph Léonard, président de la Conférence Épiscopale de Belgique - Monsieur Geert Lorein, président du Synode Fédéral des Églises Protestantes et Évangéliques de Belgique - Métropolite Panteleimon Kontogiannis, Exarque du Patriarcat Œcuménique de Constantinople (Église Orthodoxe) - Monsieur Semsettin Ugurlu, président de l’Exécutif des Musulmans de Belgique Jour de deuil en Belgique...
Article de Le Soir avec les réponses de Mahoux aux questions des internautes
De Standaard: Euthanasie voor minderjarigen is straks een feit. maar zonder CD&V De Standaard: Senaatscommissie stemt voor uitbreiding euthanasiewet naar minderjarigen Francis Delpérée au sujet de l'euthanasie. HLN.be: Elf demonstranten opgepakt voor Brusselse Senaat na protest tegen euthanasiewet HLN.be: Leuvense hoogleraren tegen uitbreiding euthanasiewet InfoCatho: Le débat sur l’euthanasie des enfants malades prend un tour plus musclé De Antwerpse studenten nemen met afschuw kennis van uitbreiding euthanasiewet Réplique d'un médecin gériatre à son confrère sur l'euthanasie La guerre du langage Ni euthanasie, ni acharnement thérapeutique Merci au courageux français de vous être postés devant l'ambassade belge!
Ze waren zo'n 27 Staande Wakers, vreedzaam en in stilte voor het Belgische Parlement rond 18u om hun verzet tegen de uitbreiding van de wet die euthanasie voor jongeren ontstraft. Zij die de Wakers genoemd worden blijven maar toestromen ondanks de intimidatie van de politie die sinds het begin van de avond aanwezig is.
Hoewel de eerste groep Wakers werd verspreid, bleven andere Wakers komen om in stilte hun oppositie te uiten. De politie is hier opnieuw tussengekomen, heeft elf van hen hun handen achter hun rug geboeid en heeft hen zo naar het politibureau gevoerd. Daarna hebben de Wakers op heel serene wijze hun ongenoegen kunnen uiten met de agenten. Een van hen heeft hen zelfs beweerd "ik doe mijn plicht, maar dat ik verder steun ik jullie van harte". Gedurende die twee uren bleven Wakers aankomen, maar werden snel uitééngejaagd door de politie. Om 22u hebben 18 nieuw aangekomende Wakers post kunnen vatten voor het Parlement en hebben zich dan op eigen initiatief verspreid. Wat kunnen we van deze groeiende mobilisatie onthouden? Dat ze met steeds meer zijn, die belgische burgers die zich publiek durven uiten en engageren tegen dat wetsvoorstel dat vandaag, op 27 november bediscussiëerd zal worden. Hun vreedzame weerstand brengt in ieder geval al veel vruchten voort. Ils ont été 11 à être embarqués, au moins une vingtaine (mais certainement plus encore) à avoir été éparpillés. Ils sont 16 à reprendre le flambeau vers 21h50. Mais combien de temps pourront-ils rester là? Suivez les tweets en live (accès public)
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Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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