Tout au long de leur vie, les saints Louis et Zélie Martin ont rencontré et accompagné de nombreuses personnes qui se trouvaient dans des situations difficiles. Aujourd'hui, en suivant leur exemple, de nombreuses personnes continuent ces accompagnements dans les centres d'accueil Louis et Zélie Martin. Comment peuvent-ils également nous aider aujourd'hui? C'est ce que Guillaume d'Alançon, auteur de nombreux livres sur les époux Martin et fondateur des accueils Louis et Zélie viendra nous expliquer ce mercredi 28 février 2018.
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CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI
INSTRUCTION DIGNITAS PERSONAE SUR CERTAINES QUESTIONS DE BIOETHIQUE INTRODUCTION 1. La dignité de la personne doit être reconnue à tout être humain depuis sa conception jusqu’à sa mort naturelle. Ce principe fondamental, qui exprime un grand « oui » à la vie humaine, doit être mis au centre de la réflexion éthique sur la recherche biomédicale, qui acquiert de plus en plus, dans le monde d’aujourd’hui, une grande importance. Le Magistère de l’Eglise est déjà intervenu à maintes reprises pour clarifier et résoudre les problèmes moraux qui y sont sous-jacents. A ce titre, l’Instruction Donum vitae[1] est d’une importance particulière. Vingt ans après sa publication, il est apparu néanmoins opportun de procéder à sa mise à jour. L’enseignement de ce document conserve toute sa valeur tant pour les principes que pour les jugements moraux qui y sont exprimés. Cependant, dans le domaine délicat de la vie humaine et de la famille, les nouvelles technologies biomédicales actuelles suscitent des questions ultérieures, en particulier en ce qui touche la recherche sur les embryons humains, l’utilisation de cellules souches à des fins thérapeutiques ainsi que le domaine de la médecine expérimentale. Toutes ces techniques soulèvent de nouvelles interrogations qui exigent également des réponses adéquates. La rapidité de l’évolution de la science et son amplification par des moyens de communication sociale suscitent des attentes et des préoccupations dans une grande frange de l’opinion publique. Les Assemblées législatives sont souvent sollicitées pour prendre des décisions, en impliquant parfois les consultations populaires, afin de réglementer juridiquement ces problèmes. Ces motivations ont conduit la Congrégation pour la Doctrine de la Foi à élaborer une nouvelle Instruction de caractère doctrinal, pour affronter certaines des problématiques récentes, à la lumière des critères énoncés par l’Instruction Donum vitae. D’autres thèmes déjà traités, mais pour lesquels des clarifications ultérieures s’imposent, ont été aussi réexaminés. 2. L’examen de ces questions a toujours pris en compte leurs aspects scientifiques, grâce au concours d’un grand nombre d’experts et aux analyses de l’Académie Pontificale pour la Vie. Tout cela été évalué à la lumière des principes de l’anthropologie chrétienne. Les encycliques Veritatis splendor [2] et Evangelium vitae [3] de Jean-Paul II et d’autres interventions du Magistère offrent des directives claires sur la méthode et sur le contenu tout au long de l’examen de ces problèmes. Au sein de l’actuel et multiforme panorama, philosophique et scientifique, on peut relever une grande présence de scientifiques et de philosophes de valeur qui, dans l’esprit du serment d’Hippocrate, voient dans la science médicale un service en faveur de la fragilité humaine, pour le traitement des maladies, le soulagement de la souffrance ainsi que l’extension des soins nécessaires de manière égale à toute l’humanité. Cependant, certains représentants de ces mêmes domaines scientifiques considèrent le développement croissant des technologies biomédicales dans une perspective essentiellement eugénique. 3. L’Eglise catholique, en proposant des principes et des jugements moraux sur la recherche biomédicale dans le domaine de la vie humaine, s’appuie tant sur la lumière de la raison que sur la foi, en contribuant à élaborer une vision intégrale de l’homme et de sa vocation. Ceci témoigne de sa capacité à accueillir tout ce qui émerge de bon dans les œuvres des hommes et dans les diverses traditions culturelles et religieuses, qui ont souvent un grand respect pour la vie. Le Magistère tient à encourager et à exprimer sa confiance envers ceux qui considèrent la science comme un précieux service pour le bien intégral de la vie et pour la dignité de chaque être humain. C’est avec espoir que l’Eglise regarde donc la recherche scientifique, et souhaite que de nombreux chrétiens se dédient à la promotion de la biomédecine pour témoigner de leur foi. En outre, elle exprime le vœu que les fruits de cette recherche soient rendus disponibles même dans les zones pauvres et dans celles qui sont touchées par la maladie, afin de répondre aux besoins les plus urgents et les plus dramatiques du point de vue humanitaire. Enfin, elle veut être présente aux côtés de toute personne souffrante dans son corps et dans son âme, pour offrir non seulement un réconfort, mais aussi la lumière et l’espérance, à travers lesquelles la maladie ou l’expérience de la mort retrouvent un sens. Ces situations appartiennent de fait à l’existence de l’homme et marquent son histoire, en l’ouvrant au mystère de la Résurrection. Le regard de l’Eglise est en réalité plein de confiance car «la vie vaincra: pour nous, cela est une espérance certaine. Oui, la vie vaincra, car la vérité, le bien, la joie, le véritable progrès sont du côté de la vie. Dieu, qui aime la vie et la donne avec générosité, est du côté de la vie »[4]. La présente Instruction s’adresse aux fidèles et à tous ceux qui cherchent la vérité[5]. Elle comprend trois parties: la première rappelle certains aspects anthropologiques, théologiques et éthiques de grande importance ; la seconde affronte les nouveaux problèmes liés à la procréation ; la troisième se penche sur les nouvelles propositions thérapeutiques impliquant la manipulation de l’embryon ou du patrimoine génétique de l’homme. INTRODUCTION PREMIERE PARTIE: ASPECTS ANTHROPOLOGIQUES, THEOLOGIQUES ET ETHIQUES DE LA VIE ET DE LA PROCREATION HUMAINE DEUXIEME PARTIE: LES NOUVEAUX PROBLEMES CONCERNANT LA PROCREATION Les techniques d’aide à la fertilité Fécondation in vitro et destruction délibérée des embryons Injection intracytoplasmique de spermatozoïdes ( ICSI) La congélation des embryons La congélation d’ovocytes La réduction embryonnaire Le diagnostic préimplantatoire Nouvelles formes de contraception : interception et contragestion TROISIEME PARTIE: NOUVELLES PROPOSITIONS THERAPEUTIQUES QUI COMPORTENT LA MANIPULATION DE L’EMBRYON OU DU PATRIMOINE GENETIQUE HUMAIN La thérapie génique Le clonage humain L’utilisation thérapeutique des cellules souches Les tentatives d’hybridation L’utilisation du « matériel biologique » humain d’origine illicite CONCLUSION > Texte intégral de l'instruction "Dignitas Personae" sur le site du Saint-Siège Dimanche, 40 000 personnes ont marché pour la vie dans les rues de Paris malgré la pluie.
« Cette année sera marquée par la révision de la loi de bioéthique, qui prépare des transgressions majeures. Nous sommes heureux de cet engouement populaire pour la vie, qui montre que la bataille est loin d’être perdue », déclare Nicolas Sevillia, délégué général de la Marche pour la Vie. source : enmarchepourlavie.fr Rejoignez le car des JPV
pour la Marche de Paris le 21 janvier 2017 ! Inscription valable dès la réception du versement des places (20€pp/ groupes : 15€pp) sur le compte : BE350 88214257837 départ 9h15 - Parvis de la Basilique (Koekelberg)
Jacqueline Herremans n'arrive pas à cacher le caractère infondé de l'acte, mais il s'agit bien d'un crime, une fois de plus...
Un cas d'euthanasie fait polémique à la commission de contrôle de l'euthanasie. Un membre a claqué la porte.
Il y a quelques mois, une femme âgée, incapable de s’exprimer, vit ses dernières heures. Sa famille demande à son médecin traitant de mettre fin à ses souffrances. Le problème, cette femme n’avait pas laissé d’instruction concernant sa fin de vie. Un cas rare et délicat, mais qui fait débat. "Ce médecin me paraissait être un homme qui avait le souci du bien-être de la patiente. Il a sans doute été un peu dépassé par la situation. Jamais nous n’avons reçu une telle déclaration à la commission. Lorsque nous nous sommes interrogés sur la qualification à donner à cet acte, nous ne l’avons pas qualifié d’euthanasie mais bien d’interruption volontaire de vie, sans demande du patient", explique Jacqueline Herremans, membre de la commission fédérale euthanasie et avocate. Un débat long et difficile La commission a décidé d’utiliser cette dénomination car toute demande d’euthanasie doit répondre à 3 critères :
"C’était la première fois qu’on était confronté à une telle déclaration. Puis, on se posait des questions sur la qualification de l’acte posé par le médecin et des conséquences attachées au fait de renvoyer ou non ce dossier au parquet." La commission euthanasie a décidé de ne pas renvoyer ce cas devant la justice. En interne, plusieurs personnes se sont opposées à cette décision, mais chaque année, près de 2000 euthanasies ont lieu en Belgique. Source : rtbf. be |
Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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