
Un point commun parmi tous ces témoignages ? Ils nous ont tous remercié de notre initiative, de leur permettre de mettre en lumière cet être aimé dont on parle si peu, et de s’intéresser à eux, qui vivent au quotidien le handicap. « Tout d’abord, merci de vous intéresser à nous, frères et sœurs. Quand on parle de la trisomie, c’est quasiment toujours du point de vue de la personne trisomique ou bien des parents. Bien souvent, les frères et les sœurs sont à peine abordés. Alors que nous aussi nous vivons la trisomie tous les jours » souligne Constance, 22 ans. A la rédaction de Capucine, cela nous a touché et démontré la nécessité d’un tel article et d’un tel angle.