Une vidéo des parents d'Eliot, né avec un poumon sous-developpé, un orifice au coeur et son ADN muté, pour montrer que toute vie bien que courte vaut la peine d'être vécue. Merci pour ce beau témoignage !
0 Comments
“Abort it and try again”. That is Professor Dawkins’ opinion on the course of action one should take if you find out that your unborn foetus has Down’s Syndrome.
I speak as someone who is a fan of Dawkins’ books, has an academic science education, is considered to be expert in the field in which I work, but who has knowledge on this particular subject that would dwarf the Professor’s. I’m sure the Dawkins could teach me more than a thing or two about cells, chromosomes, evolution and the finer points of molecular genetics. Very interested I would be too. But expertise in one field does not translate automatically to another. Even where there is an apparent link – in this case genetics – which has misled Dawkins to consider himself informed. I would like to respond in kind by teaching him the lessons that I have learned in a mere 18 months by having a baby daughter with Down’s Syndrome. I understand the Professor’s point of view implicitly. In fact, what he says still makes total logical sense to me. His conclusion is the natural one to arrive at when you approach the dilemma logically given the available information, an objective mind-set and (crucially) a non-religious point of view. 18 months ago I would even have agreed. The arrival of my daughter with the surprise of having this very condition has shone a light on the gulf of ignorance, not to mention the factually incorrect prejudice underlying this opinion. Reading the Professor’s opinion back does horrify me now to think what I might have done, had the condition been diagnosed during pregnancy. I know how much more fulfilled our lives are now that our eyes are open. Most of all, I'm astounded at how absolutely normal everything continues to be - both for us and for other families I have met. I put my hands up to say that, without knowing it, our baby has already taught us the most groundbreaking lessons of our lives so far, and we would quite literally change nothing about her - especially her genetic profile. It has completely turned on their head my opinions on what success in life looks like and what my aspirations should be for all of our children. I always end up in the same place, happiness and contentment are what ultimately matter, and I know that Rosie will have those in abundance. Thanks to her, I believe we’ll be in a better position to encourage such success for her sister and brother-to-be, unshackled by the notion that success in life is solely linked to academic attainment, careers and money. Many of these things can lead to total misery for a person, even though that person’s pushy parents will be high-fiving in the background revelling in a job well done. So, Richard, I can only assert that you will have to take my word for it. I know your opinion - inside and out. I can even imagine some of the things that you'll say in response before you say them. But much as I appreciate you only had 140 characters to work with, the flippancy with which you would snuff out the life, love, joy and opportunity of that little human being is astonishing. “Why not?” You might say. “The child has a known genetic inferiority.” Yes, this is true. And that leads to a lower than average IQ. Some are prone to surmountable heart problems. So what? I struggle to see how the same logic should not be applied to other things that the Professor’s branch of science can now tell us. Were he to have his way and the fallacy of the “affliction” of genetic conditions like Down’s Syndrome were to be eradicated altogether. Forgotten. A long and distant memory. What genetic profile would we then consider to be inferior? Foetus’s with a genetic predisposition to obesity? Homosexuality? Brown eyes? “The child would feel no pain at that stage.” He may say. Also true. So we should snuff out future humans who do not fit the Professor’s notion of perfection purely because we can? If at first you don’t succeed (at achieving the perfect baby) try, try, try again? I wonder who gets the last word on what the perfect profile looks like then? Ironically Dawkins wants to start acting like the being who is most commonly in receipt of his vitriol – God. Solely using genetic superiority as the only mode of selection only goes to show the gargantuan breadth of closed-minded misunderstanding that underpins the Professor’s opinion. It ignores the delightful, happy, contented and fruitful life that people with Down’s Syndrome have and ignores the benefits of acceptance that they bring to everyone who surrounds them. Mr Dawkins too often assumes that dissenting voices are merely so because the individuals concerned lack the capacity to understand his intellectual reasoning. The truth is that sometimes it’s because they know stuff that you don't. Hard to take, I imagine, when you are a Professor. Signature de la "Chloe law" en présence des principaux acteurs de cette législation (Tom Corbett, gouverneur de Pennsylvannie ; Mark Bradford , Directeur de la Jérôme Lejeune Foundation ; Kurt Kondrich et sa fille Chloé Alors qu’en France le CSA vient de considérer comme ne relevant pas de l’intérêt général une vidéo ("Dear Future Mom") où des trisomiques parlent aux futures mamans enceinte, aux Etats Unis l’Etat de Pennsylvanie prend le contre pied. Cet Etat vient de légiférer pour encourager la communication positive sur les personnes trisomiques afin de favoriser et de changer le regard porté sur ce handicap mental. Vendredi 18 juillet, la « Jérôme Lejeune Foundation » (Fondation Américaine) a été invitée à Harrisburg, en Pennsylvanie à l’invitation du gouverneur de l’Etat Tom Corbett, pour la promulgation d’une loi « Down Syndrome Prenatal Education Act » surnommée « Chloe’s law ». Cette loi encourager la diffusion d’une image positive des enfants atteints de trisomie, en montrant qu’ils sont un don précieux pour les familles et la société Elle assure que les femmes enceintes d’enfants atteints de trisomie 21 reçoivent des informations concernant les services et les aides qui pourraient leurs être apportés. La Fondation Jérôme Lejeune USA, a été contactée par Kurt Kondrich, ami de la Fondation Américaine. Elle a apporté son aide et a été auditionnée ainsi que des spécialistes de la trisomie dans le cadre de l’élaboration de la législation. Kurt, dont sa fille, Chloé, sa fille, atteinte de trisomie a été la source de son engagement. Il a été inspiré et appuyé par l’expérience de Mark Leach, qui avait permis d’établir une législation similaire dans l’état du Kentucky. Un encouragement pour la cause de la trisomie, mais aussi un succès pour l’action de la toute récente Fondation Américaine. Une législation qui, selon Mark Bradford, son directeur, permettra de « donner aux familles une information et l’assistance essentielle, qui permettra d’agir concrètement pour changer les statistiques désespérantes d’avortement suite aux diagnostics de la trisomie » (ndlr : en France 97% des enfants dépistés comme trisomiques sont avortés). Source: Fondation Jérôme Lejeune La Commission Européenne a refusé d'écouter les 1.800.000 citoyens européens qui demandent la protection de l'embryon. Mais nous ne nous laisserons pas impressionner! La protection de la vie humaine passe avant tout. En mode sentinelle s'il le faut, même en période d'examens!
KozToujours: Mon Dieu, sauvez les Belges!
Petit à petit, j’ai commencé à regarder vers le Nord avec tendresse. Vers le Nord, vers les Belges et plus particulièrement certains d’entre eux. Ils sont jeunes, catholiques, je les croise sur les réseaux. Ils illustrent admirablement l’exergue de mon blog : « l’important est d’avoir été là ». Car, dans une société à côté de laquelle la nôtre fait figure de théocratie, ils ne peuvent guère espérer davantage qu’être là, témoigner, veiller. Ils sont à leur façon des lanceurs d’alerte. Et nous devrions leur témoigner plus de reconnaissance car ils sont aux avant-postes. Les logiques à l’oeuvre chez eux se diffusent ensuite chez nous. La « parade » que le Professeur Jean-Louis Vincent pense avoir trouvée à l’invocation de la mission de soin des médecins arrivera chez nous : « le premier but de la médecine est de restaurer ou maintenir la santé, c’est-à-dire le bien-être de l’individu, pas la vie à tout prix ». Cette phrase a toutefois trois mots de trop, dans le seul but de rendre acceptable le fond de sa pensée. Car personne ne veut maintenir la vie à tout prix. La loi française interdit l’ »obstination déraisonnable ». L’Eglise dénonce l’ »acharnement thérapeutique ». Sa pensée doit se lire ainsi : « le premier but de la médecine est de restaurer ou maintenir la santé, pas la vie » (vous m’excuserez d’avoir supprimé une incise). Et, de fait, plus clairement encore, lorsque le médecin ne peut restaurer ou maintenir la santé, alors il donne la mort. Il doit donner la mort. C’est un article d’Aleteia qui m’a alerté. Suspicieux malgré tout, j’ai recherché le texte dont cet article parlait, l’ai lu. Il est ici, et il s’agit d’une publication scientifique. C’est une prise de position de la Société belge de soins intensifs, dont le Pr Vincent est l’ancien président. Leur demande ? L’euthanasie non sollicitée. Pouvoir décider de la mort d’une personne. Ironiquement, les partisans de l’euthanasie vendent ici leur camelote en invoquant le pouvoir qu’on laisse aujourd’hui aux médecins. En vérité, ils donneraient aux médecins le droit de vie et de mort sur vous et moi. Ainsi ces médecins écrivent-ils : we explain our belief in the concept that shortening the dying process by administering sedatives beyond what is needed for patient comfort can be not only acceptable but in many cases desirable. [Nous exprimons notre conviction dans le fait que raccourcir le processus de fin de vie par l'administration de sédatifs au-delà de ce qui est nécessaire pour le confort du patient peut non seulement être acceptable mais dans bien des cas souhaitable] Et cette accélération du processus de fin de vie – une précipitation de la mort - doit être décidée par les médecins eux-mêmes, qui informent la famille. Ils l’informent, seulement, ils ne lui demandent pas son avis. D’ailleurs, les patients et leurs familles leur sauront gré de cette affirmation de principe : « les familles doivent être informées des pronostics et décisions en/de fin de vie à tout moment ». Vous êtes bien bons. Les proches seront donc informés de la décision des médecins de mettre un terme à la vie du patient. Le tuer. Shortening the dying process with use of medication, such as analgesics/sedatives, may sometimes be appropriate, even in the absence of discomfort, and can actually improve the quality of dying; this approach can also help relatives accompany their loved one through the dying process—such a decision should be made with due consideration for the wishes of family members. [Raccourcir le processus de fin de vie par l'utilisation de médicaments, tels que des analgésiques ou des sédatifs, peut parfois être approprié, même en l'absence d'inconfort, et peut réellement améliorer la qualité de la fin de vie; cette approche peut aussi aider les proches à accompagner ceux qu'ils aiment à travers le processus de fin de vie - cette décision devrait être prise en considération des souhaits des membres de la famille] < p>Dans une tribune, le Pr Jean-Louis Vincent se fait encore plus clair, sans les éventuelles ambiguïtés d’une traduction en français. Il dresse au demeurant un tableau effarant de la situation actuelle en Belgique. Il s’y déclare partisan d’une « fin de vie non demandée » (bref, vous achever sans votre avis), lorsque le patient souffre d’une fin de vie douloureuse et sans espoir de récupération. Notons que persiste le type d’ambiguïté qui ne devrait pas exister lorsque l’on parle de vie et de mort : s’il parle de fin de vie douloureuse, la Société belge de soins intensifs s’est en revanche prononcée pour un « raccourcissement du processus de fin de vie » – une précipitation de la mort – même en l’absence d’inconfort. Il écrit encore, littéralement, qu’il s’agit bien de « précipiter la mort lorsque la qualité de vie est devenue insuffisante ». Notez, toujours, le même flou, puisque l’on parle un coup d’application même en l’absence d’inconfort et une autre fois de qualité de vie insuffisante. Ne laissez pas non plus passer cette référence à la « qualité de vie », concept que nous voyons donc passer des annonces immobilières au critère de jugement en vue de la mort. Et ne vous laissez pas endormir avant d’avoir compris que, puisque nous sommes dans l’hypothèse où le patient ne s’exprime plus, les médecins se mettront eux-mêmes en situation de juger de la qualité de vie d’une personne. Des hommes apprécieront ainsi la qualité de vie d’un autre, et jugeront si elle justifie qu’il continue à vivre ou non. Mais si cela constitue une inquiétude pour l’avenir, le tableau qui est fait du présent n’en est pas moins sidérant, y compris dans l’apparente facilité avec laquelle le Pr Vincent évoque des situations incroyables : il dit expressément que les cas « d’euthanasie non demandée » dépassent « très largement les quelques mille cas d’euthanasie demandée qui sont enregistrés par an en Belgique ». Et même, explique-t-il, ces cas d’euthanasie demandée, alors que le malade n’est pas dans une situation de souffrance incontrôlable, ne sont jamais déclarés ! Lorsque, dans un billet ou un autre, j’alertais sur le risque inhérent à la légalisation de l’euthanasie (voire à sa banalisation sans même légalisation) que l’on en vienne à vous euthanasier sans votre avis, on m’opposait que ce ne serait que théorie de la « pente glissante », ni rigoureuse ni crédible. Or, non seulement des médecins précipitent effectivement la mort de patients sans leur accord ni celui de leurs proches, quand bien même leur souffrance peut encore être contrôlée, mais il faudrait donner une reconnaissance légale à ces pratiques. Soyez certains qu’au lieu d’assurer la condamnation effective de ces pratiques illégales, l’argument habituel sera ressorti : « ces pratiques existent, il faut les encadrer [comprenez : les légaliser]« . Dernière chose. Pour la bonne bouche, le document de la Société belge de soins intensifs porte un ultime et dixième commandement : The present document applies to children as well as to adults. De vous à moi, même à ceux que cela défrise, je regarde vers le Nord, avec tendresse, et je me dis que la folie des Hommes suit l’effacement de Dieu. C'est une naissance exceptionnelle qui a eu lieu dans l'Ohio aux Etats-Unis. Alors que le pays célébrait la fête des mères ce dimanche, une femme a donné naissance à deux bébés pas comme les autres. Prénommées Jenna et Jillian, les petites filles sont parfaitement identiques et pour cause, il s'agit de jumelles monozygotes mais elles sont aussi monoamniotiques. Une forme de grossesse gémellaire rare.
Les "vrais jumeaux" ou jumeaux monozygotes proviennent de la division d'un seul et unique oeuf fécondé (le zygote). Séparé en deux, l'oeuf donne naissance à deux embryons qui vont se développer parallèlement dans l'utérus de la mère. Les deux bébés ont alors le même patrimoine génétique, ce qui leur donne des sexes et une apparence identiques. Mais les jumeaux monozygotes sont bien moins fréquents que les jumeaux dizygotes ou "faux jumeaux" qui sont eux issus de deux oeufs distincts. Des jumeaux plus ou moins liés En terme de chiffres, les jumeaux monozygotes représentent actuellement environ 5% des grossesses gémellaires. Toutefois, il existe différentes formes de jumeaux en prenant en compte deux autres facteurs : le chorion (placenta) et le sac amniotique. En fonction de la période à laquelle l'oeuf fécondé s'est divisé en deux, les jumeaux vont partager ou non ces deux éléments. Lorsque la division a lieu dans les tout premiers jours après la fécondation, la grossesse va aboutir à la formation de deux placentas et de deux cavités amniotiques, chaque bébé aura les siens, comme de "faux jumeaux". On parle alors de grossesse bichoriale et biamniotique. Ceci représente un tiers des grossesses gémellaires. Si la division a lieu entre 3 et 6 jours après, il y aura un seul placenta (monochoriale) et deux cavités amniotiques (biamniotique). Cette forme représente 70% des cas de vrais jumeaux. Néanmoins, il existe un troisième cas beaucoup plus rare. Si la division de l'oeuf a lieu après la formation du placenta et de la cavité amniotique, les deux bébés partageront les mêmes. On parle alors de grossesse monochoriale et monoamniotique. Ceci survient dans une grossesse gémellaire sur 10.000. C'est ce qui s'est produit pour les deux petites Américaines. Grossesse sous surveillance Le fait que les deux bébés partagent le même placenta et la même poche amniotique signifie qu'ils sont en contact permanent pendant tout leur développement. Mais cela représente aussi des risques pour eux, notamment celui que l'un des bébés s'emmêlent dans le cordon de l'autre. C'est pourquoi Sarah Thistlewaite a dû régulièrement passer au Akron General Medical Center afin que ses filles soient surveillées. "Mentalement, c'est très difficile. C'est une expérience pénible à traverser", a confié à ABC News l'Américaine déjà mère d'un petit garçon. "Ils vous relient à des moniteurs mesurant le rythme cardiaque pour chercher des variations ou un ralentissement cardiaque. J'avais des échographies chaque semaine". Mais la grossesse s'est finalement parfaitement bien terminée vendredi dernier. Les médecins avaient programmé une césarienne à 33 semaines pour que les bébés ne deviennent pas trop gros, ce qui aurait accru les risques. Les petites ont été sorties précautionneusement du ventre de leur mère mais elles se sont rapidement retrouvées. Présentation émouvante Lorsque les praticiens ont tenu les filles au-dessus des draps pour les montrer à leurs parents, elles se sont attrapées la main. "Je ne pensais pas qu'elles sortiraient et se mettraient instantanément à se tenir les mains. C'était irrésistible. Je n'ai même pas les mots pour le décrire. Il n'y avait pas un oeil de sec dans toute la salle d'opération", a raconté la mère. Si les médecins ont confirmé que Jenna et Jillian étaient en bonne santé, elles présentaient quelques problèmes respiratoires et ont donc été emmenées dans l'unité néonatale du Akron Children's Hospital. Dimanche, Sarah, son mari et leur fils âgé de 15 mois ont toutefois pu célébrer la fête des mères comme il se doit en famille. En savoir plus: http://www.maxisciences.com/jumeau/grossesse-les-jumeaux-mono-mono-une-naissance-exceptionnelle_art32574.html Copyright © Gentside Découverte et aussi à celles qu'on oublie trop souvent: celles dont l'enfant n'est pas encore né ! Il est un enfant, donc elle est une maman et pas seulement une "future maman" ! 1. Parce que n'avoir plus que la mort à proposer est un échec pour notre société 2. En signe de solidarité aux personnes handicapées 3. Parce que l'euthanasie des mineurs est un poids supplémentaire à la souffrance des patients et leurs proches Lire le témoignage: les lois sur l'euthanasie enfoncent les parents dans le désespoir 4. Parce que la loi sur l'euthanasie des mineurs est basée sur des principes subjectifs tels que la capacité de discernement 5. parce que l'euthanasie n'est pas un acte médical comme un autre 6. Parce que les personnes démentes ne demandent pas la mort, seulement de l'amour! 7. Parce que l'euthanasie n'est pas digne de l'homme 8. Les femmes méritent mieux que l'avortement 9. Leurs enfants aussi 10. Nous avons tous été un embryon et nous avons été respectés 11. Parce qu'on parle déjà d'avortement post-natal et que nous refusons cette pratique! 12. Parce que cette culture de mort nous inquiète et que nous voulons une société véritablement humaine! 13. Parce que malgré les difficultés, il ne faut pas se décourager, la vie vaut la peine d'être défendue! Le 13 février c’était les mains crispées que j’attendais le résultat du vote. J’espérais encore. Lorsque monsieur Flahaut annonce la fin du vote et l’écran affiche ce que je craignais le plus, j’avais l’impression que le long travail que nous avions fait n’avait servi à rien. Mais j’avais tort. Il est fort probable que vous aussi vous vous demandiez à quoi la Marche pour la vie pourrait servir puisque l’euthanasie pour les enfants est déjà passée. Si j’étais en face de vous j’hocherais la tête tristement, mais tout de suite après je vous prendrai par l’épaule et vous secouerai. Fin mai, nous élirons le parlement et la chambre des représentants. Certains partis politiques veulent l’euthanasie pour les personnes démentes, les nouveau-nés et les personnes souffrant d’une maladie mentale. Vous voyez venir l’importance de la Marche ? Il y cinq ans, le première Marche pour la Vie voyait le jour en Belgique. Cette marche était conçue pour l’anniversaire des 20 ans de la dépénalisation de l’avortement. La Marche a connu dès lors un succès grandissant, jusqu’à l’année passée. Cette année, l’importance de la marche est immense. Lors de la première marche nous avons réussi à faire peur à certains politiciens qui avaient en tête de rallonger le délai pour un IVG . Ce 30 mars, nous voulons réitérer ce blocage. lire la suite de la lettre 14. Si par hasard, sait-on jamais il vous manquait encore un argument, espérons que vous en trouverez un là: 15. Parce que la défense de la Vie a besoin de votre voix, tout simplement!
Alors rendez-vous demain à 14h au Mont des Arts « Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien » (E. Burke) Journée Mondiale de la Trisomie 21: la différence est une chance!
L'avortement, vraiment la libération de la femme? A l’occasion de la journée de la femme, la Fondation Jérôme Lejeune renouvelle son opposition à la discrimination prénatale.
C’est pourquoi elle publie à la veille du 8 mars une annonce dans Le Figaro sur les 117 millions de femmes manquantes, chiffre mis en exergue dans un reportage « Les Insoumises » diffusé sur Canal + le 20 novembre dernier. La sélection avant la naissance touchant les fœtus filles est récemment arrivé sur l’agenda des institutions européennes. Ainsi, la Fondation Jérôme Lejeune interroge les responsables politiques français pour savoir si ils comptent donner une suite aux demandes du commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe Niels Muiznieks. Le commissaire aux droits de l’homme pour lequel « les avortements sélectifs en fonction du sexe sont discriminatoires doivent être interdits », invitait le 15 janvier dernier les gouvernement à adopter des « mesures fortement dissuasives (…) pour éliminer cette pratique », devenue européenne, « qui tend aussi à entretenir et renforcer un climat de violence à l’encontre des femmes ». Source |
Jeunes Pour la Vie
(JPV) est une ASBL dont l'objet social principal est la promotion et la défense de la vie humaine depuis sa conception jusqu'à la mort naturelle. N'hésitez pas à nous partager vos remarques, idées, ... soit via les commentaires aux articles soit via notre adresse mail: jvl-jpv@live.be
Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
Archives
November 2023
|