
Mais nos pensées vont également aux victimes anonymes de ce 22 mars. Celles dont on ne parlera jamais, parce qu'on les aura oubliées. Parce qu'elles n'auront pas atteint les gros titres de journaux. A elles aussi, nous voulons porter un hommage. Leur dire qu'on regrette que notre pays paye et subventionne leur mort. Leur dire qu'on se battra pour que ce carnage finisse bientôt. Oui, la vie triomphera de la mort. Oui, la vérité triomphera du mensonge. Et à cet avenir-là, je veux y travailler dès à présent !