est la seule façon de mettre fin
à cette forme moderne de trafic d’êtres humains.
Le corps de la femme ne doit pas être instrumentalisé,
et l’enfant n’est pas une marchandise que l’on peut acheter !
Le Conseil de l’Europe, qui regroupe 47 pays et 820 millions d’habitants,
va se prononcer prochainement sur ce sujet majeur.
Un projet de rapport tente d’imposer la libéralisation de la GPA en Europe.
La Commission compétente du Conseil de l’Europe,
qui se réunit à Paris lundi prochain 23 novembre,
ne doit pas valider cette orientation :
SIGNEZ et FAITES SIGNER
l'appel de No Maternity Traffic
avant le lundi 23 novembre
Mobilisons-nous et dépassons les 100 000 signataires
pour alerter nos élus au Conseil de l’Europe
et obtenir que cette instance internationale
prenne l’initiative d’un traité
d’interdiction de la GPA en Europe.