Une vidéo des parents d'Eliot, né avec un poumon sous-developpé, un orifice au coeur et son ADN muté, pour montrer que toute vie bien que courte vaut la peine d'être vécue. Merci pour ce beau témoignage !
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Comme annoncé, la visite du pape François en Corée du Sud a été marquée par une halte dans un « cimetière » pour bébés avortés. Il s'est recueilli devant la statue de la Sainte Famille qui domine une pelouse parsemée de petites croix blanches symbolisant les innombrables enfants à naître tués au fil des ans en Corée. Une prière silencieuse que les médias présentent comme un geste très fort de la part de ce pape qui avait pourtant dit vouloir éviter les sujets « controversés » pour pouvoir mettre l'accent sur la pastorale et l'accès aux « périphéries ». Entouré de militants pro-vie, il s'est entretenu plus particulièrement avec l'un d'entre eux, né sans bras et sans jambes, qui a eu la chance de naître en Corée malgré son défaut congénital. L'émouvant monument se dresse dans le domaine du foyer de Kkottoghnae, lieu d'accueil pour les handicapés, les alcooliques, les sans-abri, les personnes abandonnées par leurs familles, des enfants délaissés proposés à l'adoption, fondé dans les années 1970 par un prêtre. A ce titre la prière de François a revêtu une signification plus grande encore, dans un pays où le rejet des handicapés est encore souvent la règle et où l'avortement, malgré d'importantes restrictions introduites en 1953, est autorisé pour éliminer les bébés souffrant de malformations graves. Mais en Corée du Sud, l'avortement a été très largement autorisé de fait, les autorités ayant traqué pendant des décennies les familles nombreuses et fait la propagande pour le contrôle des naissances, au nom de la croissance économique. Ce n'est que depuis quelques années que le taux de natalité désastreux – l'un des plus bas du monde – a poussé le gouvernement à changer de discours, là encore pour des raisons économiques. Source Signature de la "Chloe law" en présence des principaux acteurs de cette législation (Tom Corbett, gouverneur de Pennsylvannie ; Mark Bradford , Directeur de la Jérôme Lejeune Foundation ; Kurt Kondrich et sa fille Chloé Alors qu’en France le CSA vient de considérer comme ne relevant pas de l’intérêt général une vidéo ("Dear Future Mom") où des trisomiques parlent aux futures mamans enceinte, aux Etats Unis l’Etat de Pennsylvanie prend le contre pied. Cet Etat vient de légiférer pour encourager la communication positive sur les personnes trisomiques afin de favoriser et de changer le regard porté sur ce handicap mental. Vendredi 18 juillet, la « Jérôme Lejeune Foundation » (Fondation Américaine) a été invitée à Harrisburg, en Pennsylvanie à l’invitation du gouverneur de l’Etat Tom Corbett, pour la promulgation d’une loi « Down Syndrome Prenatal Education Act » surnommée « Chloe’s law ». Cette loi encourager la diffusion d’une image positive des enfants atteints de trisomie, en montrant qu’ils sont un don précieux pour les familles et la société Elle assure que les femmes enceintes d’enfants atteints de trisomie 21 reçoivent des informations concernant les services et les aides qui pourraient leurs être apportés. La Fondation Jérôme Lejeune USA, a été contactée par Kurt Kondrich, ami de la Fondation Américaine. Elle a apporté son aide et a été auditionnée ainsi que des spécialistes de la trisomie dans le cadre de l’élaboration de la législation. Kurt, dont sa fille, Chloé, sa fille, atteinte de trisomie a été la source de son engagement. Il a été inspiré et appuyé par l’expérience de Mark Leach, qui avait permis d’établir une législation similaire dans l’état du Kentucky. Un encouragement pour la cause de la trisomie, mais aussi un succès pour l’action de la toute récente Fondation Américaine. Une législation qui, selon Mark Bradford, son directeur, permettra de « donner aux familles une information et l’assistance essentielle, qui permettra d’agir concrètement pour changer les statistiques désespérantes d’avortement suite aux diagnostics de la trisomie » (ndlr : en France 97% des enfants dépistés comme trisomiques sont avortés). Source: Fondation Jérôme Lejeune Le cardinal Juan Luis Cipriani Thorne, archevêque de Lima, dénonce le « chantage » des organisations internationales qui menacent de subordonner les investissements internationaux au Pérou à l’adoption de lois autorisant l’avortement et le « mariage » gay. S’exprimant que le programme « Dialogue de Foi » diffusé par le plus grand groupe de médias audiovisuels du Pérou, RPP, le cardinal a déclaré : « Il n’est pas question que, dans notre démocratie, interviennent les démocraties d’autres pays, même si elles ont de l’argent – comme les Etats-Unis. Nous pouvons créer des synergies en matière de politique économique ou migratoire ; mais il n’est pas possible que ces pays et organismes internationaux conditionnent l’investissement au Pérou en disant : « Si tu ne fais cette loi… » : ça, c’est du chantage. » « Nous ne pouvons pas mettre en cause l’autonomie d’un pays sur des questions aussi importantes que la défense de la vie ou le mariage entre un homme et une femme. Je tiendrai ferme là-dessus jusqu’à la mort. La vie est un bien absolu, elle ne peut être soumise à conditions. » Il a rappelé que les Péruviens ne demandent pas d’abord l’accès à l’avortement, mais « de meilleurs soins de santé », a-t-il déclaré. Il y a six jours, le cardinal Cipriani Thorne avait déjà dénoncé l’utilisation de cas dramatiques pour promouvoir l’avortement « thérapeutique » de « rideau de fumée » destiné à détourner l’attention de la lettre du Guide de l’avortement thérapeutique mis en place par le gouvernement : le « Guide pour tuer ». « On fabrique des sujets autour de morts, de situations dramatiques, très sentimentales, on met à la une des situations très fortes, mais sur les sujets de fond : la volonté des gens de voire fonctionner la vérité et la justice, on ne publie rien. Je constate qu’il y a une tentative de détourner l’attention du pays en se servant de ce qui a toujours été qualifié de rideau de fumée. Je ne sais pas qui le fabrique et ce n’est pas à moi de le vérifier », a-t-il déclaré. Source Lire aussi : Pérou : la dépénalisation effective de l'avortement “thérapeutique” durement critiquée par l'Eglise Quand une politicienne met en première place de ses priorités la défense de la vie, de la conception à la mort naturelle, il faut que ça se sache!
Nous relayons donc avec joie cette bonne nouvelle! et aussi à celles qu'on oublie trop souvent: celles dont l'enfant n'est pas encore né ! Il est un enfant, donc elle est une maman et pas seulement une "future maman" ! Une jeune américaine souffre d'asthme et d'épilepsie mais surtout de sentiments de peur, d'angoisse. Elle se sent comme abandonnée, perdue, rejetée, ... Son père qui est médecin lui fait passer des tests, mais rien n'y fait, on ne lui découvre aucune cause physique. Ses parents se décident ensuite à lui dire qu'elle a été adoptée. Eux-même attendaient des jumeaux mais les ont perdus à 20 semaines de grossesse. Généreusement, la maman s'est proposée comme volontaire dans cet hôpital où elle a vu arriver un beau jour (le 17 octobre) des jumeaux, abandonnés après un avortement raté. Le petit garçon est mort après un mois, mais Hannah a survécu. Très ébranlée par ces révélations, Hannah décide de partir à la découverte de son passé. Mais elle découvre bien davantage: toutes les personnes qu'elle rencontre sont touchées par ce qu'elle vit et ce sont de magnifiques rencontres humaines qu'elle fait. C'est avant tout une découverte de la fragilité humaine: aussi bien sa mère biologique que ses parents (officiels?) ainsi que tant d'autres sont des personnes fragiles, qui ont "tout simplement" terriblement souffert et se sentent par ça proches d'elle. Mais tous ont suivi un autre parcours pour vivre avec cette souffrance. Ce film montre donc avant tout que la vie est faite de souffrances, mais qu'il ne fait pas les subir pour autant. Il faut que nous leur donnions une réponse. Et c'est cette réponse à la souffrance qui détermine toute notre vie. Si la question est la souffrance, la seule réponse valable, constructive et donc réellement humaine est l'amour sous toutes ses formes. Pour les parents de Hannah c'est de s'offrir généreusement pour aider, ensuite pour accueillir et laisser partir. Pour d'autres c'est tout simplement d'être là quand il faut: offrir généreusement ce qu'on a à donner selon les circonstances. Le chemin de cet amour est, comme le montre à plusieurs reprises, le film le pardon: _Quand? 23/4 20h30
Où? Auditoires Montesquieu, Place Montesquieu Annonce: Chers amis, Chères amies, Le Kot Jeunes Pour la Vie à le plaisir de vous inviter à leur GRANDE CONFERENCE ANNUELLE! Cette année le thème choisi est l'AVORTEMENT, et la soirée est organisée sous forme de DEBAT! Cet événement sera l'occasion d'affiner vos connaissances et votre position sur un sujet qui est plus proche de nous qu'on voudrait le croire et qui fait controverse! Nous espérons vous y voir nombreux! A mercredi! Le Kot Jeunes pour la Vie Comme il l’avait dans son exhortation apostolique Evangelii Gaudium, le pape dénonce la culture d’aujourd’hui, celle de la mise à l’écart ; il dénonce une économie qui fait de l’homme « un bien de consommation », utilisé pour être jeté. Félicitant les membres du mouvement italien pour la vie qu’il a reçu en audience ce vendredi matin, François les a exhortés à condamner avec une ferme détermination toute atteinte à la vie en particulier, celle de l’enfant à naître. Il les a encouragé à promouvoir la vie dans un style de proximité : pour que chaque femme se sente considérée comme une personne, écoutée, accueilli, accompagnée. « La vie humaine est sacrée et inviolable ». Le droit civil repose sur la reconnaissance de ce droit à la vie, « primordial et fondamental » et « qui n’est subordonné à aucune condition ni qualitative, ni économique, ni idéologique ». « Comme le commandement “ne tue pas” pose une limite claire pour protéger la valeur de la vie humaine, aujourd’hui, leur a expliqué le Pape, nous devons dire “non à une économie de l’exclusion et de l’inégalité”. Cette économie tue… Elle considère l’être humain comme un bien de consommation qu’on peut utiliser et jeter. Une culture de la mise à l’écart est même valorisée. (Esort. ap. Evangelii gaudium, 53). Ainsi, la vie est elle aussi mise au ban ». Le Pape dénonce le divorce entre l'économie et la morale Pour François, un des risques « les plus graves auquel est exposée la vie à notre époque » est celui du « divorce entre l’économie et la morale », entre les possibilités offertes par un marché pourvu de nombreuses nouveauté technologiques et les normes éthiques élémentaires de la nature qui sont de plus en plus négligée. « Il convient de répéter notre ferme opposition à toute atteinte à la vie, en particulier à celles de personnes innocente ou sans défense, par essence celle de l’enfant à naître ». Rappelons les parole du Concile Vatican II : « la vie, une fois conçue, doit être protégée avec le plus grand soin, l’avortement ou l’infanticide sont des délit abominables (Cost. Gaudium et spes, 51). » Il le fait souvent. Le Pape a ponctué son intervention d’anecdotes, se souvenant notamment d’une conférence avec des médecins à laquelle il a assisté il y a longtemps. « A la fin de la conférence, je suis allé les saluer, l’un d’eux m’a conduit de côté, une boite en main ». A l’intérieur de la boite se trouvait les instruments avec lesquels il avait pratiqué des avortements. « J’ai trouvé le Seigneur et je me suis repenti, » lui a expliqué le médecin. Le Pape a demandé à tous de prier pour cet homme. Protéger les enfants à naître « Il incombe aux chrétiens de témoigner toujours pour protéger la vie, à toutes ses phases, avec courage et amour. Je vous encourage à le faire sans cesse en montrant votre proximité : que chaque femme se sente considérée comme une personne écoutée, accueillie, accompagnée. » Le pape souhaite que les enfants à naître soient protégés, mais aussi les grands-parents. « l’un comme l’autre représente l’espérance d’un peuple ». Les enfants et les jeunes comme guides, les grands-parents comme gardiens de la mémoire. « Chers frères et sœurs, que le Seigneur soutienne l’action que vous accomplissez notamment dans vos centres d’aide à la vie, ou avec le projet “un de nous ». Le pape les a béni et leur a demandé de prier pour lui. » Source: news.va Pour le pape François, l'avortement est un "crime abominable" au même titre que "l'infanticide". Si le style du pape François contraste avec celui de Benoît XVI, le fond ne diffère guère. Sur l'avortement, Jorge Mario Bergoglio a ainsi douché les espoirs, vendredi, de ceux qui attendaient plus de compréhension de la part de l'Eglise. Se référant directement au concile Vatican II, il a réaffirmé une position très dure sur l'IVG, comparant "avortement" et infanticide".
Devant une délégation du Mouvement catholique italien pour la vie, il a ainsi "rappelé la plus ferme opposition à toute atteinte directe à la vie", considérant que "le bébé dans le ventre maternel est l'innocent par excellence". Avant de s'inscrire dans la droite ligne de ses prédécesseurs : "Rappelons les paroles du Concile : 'La vie, une fois conçue, doit être protégée avec le plus grand soin : l'avortement et l'infanticide sont des crimes abominables.'" Le pape avait déjà dit son "horreur" Le pape François sort ainsi définitivement d'une ambiguïté que certains ont pu lui prêter à propos de l'avortement, du fait qu'il a moins abordé le sujet que ses prédécesseurs et qu'il distingue, toujours, les actes condamnés par l'Eglise des personnes qui les commettent. Le pape François avait pourtant déjà exprimé son "horreur" à la "pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes de l'avortement." Plus tôt, il avait également affirmé que ce n'était pas "un progrès de prétendre résoudre les problèmes en éliminant une vie humaine". Mais il n'avait pas jusqu'alors repris les mots plus durs de ses prédécesseurs. |
Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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November 2023
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