... soyez-en donc et rejoignez-nous le 30 mars à Bruxelles! la Marche Pour la Vie - 30 mars, 14h - Mont des Arts En signe de deuil, certains défenseurs de la vie affichaient un drapeau belge noué par un ruban noir. Ils ont également organisé des journées de jeûne et de prière à la demande de leurs pasteurs. Mais après les Pays-Bas, la Belgique est désormais le deuxième pays à avoir légalisé l’euthanasie pour les mineurs, ce 13 février 2014. Contrairement à leur voisins du Nord qui ont fixé à 12 ans l’âge minimum pour subir une euthanasie, les Belges ont pour seul critère la « capacité de discernement » du patient. Cette décision, lourde de conséquences, a pourtant été votée assez rapidement puisque le processus avait commencé le 27 octobre, avec le vote du projet à 13 voix contre 4 par la Commission des affaires sociales et de la justice du Sénat belge. Le même Sénat l’adoptait ensuite à 50 voix contre 17 le 12 décembre 2013. L'inquiétude des experts Jusqu’à la veille de l’adoption définitive du projet de loi, des Veilleurs se tenaient devant la Chambre des représentants, debout en silence malgré la pluie, pour montrer leur opposition à cette avancée supplémentaire de la culture de mort. Les 10, 11 et 12 février, un Congrès international de soins palliatifs pédiatriques réunissait à Mumbai en Inde 250 experts en soins palliatifs venus de 35 pays. Ils ont lancé un appel pressant au gouvernement belge pour réclamer, plutôt que l’euthanasie, le développement des soins palliatifs pour les enfants en fin de vie. Les experts ont précisé dans leurs conclusions que « l’euthanasie ne fait pas partie de la thérapie palliative pédiatrique et ne constitue pas une alternative ». De fait, une telle loi bouleverse profondément le sens même de la médecine qui, plutôt que de favoriser la recherche, peut désormais donner la mort quand elle ne peut plus contrer la maladie. Leurs inquiétudes, comme celles des quelques 200 pédiatres qui avaient signé une déclaration pour s’opposer au projet de loi, n’ont pas été entendues. « Un jeune peut penser en adulte après ses 18 ans. On le voit aussi dans d'autres domaines, comme dans l'octroi d'une assurance voiture. Même dans les dossiers judiciaires, l'impulsivité d'un mineur est utilisée pour adoucir la peine. Mais pour l'euthanasie, cette impulsivité ne serait pas un problème », explique ainsi le professeur Stefaan Van Gool. Car c’est bien là l’inquiétude de ces experts : comment peut-on mesurer la capacité de jeunes enfants à décider de leur mort ? Qui jugera les juges? Car la loi prévoit justement que la demande d’euthanasie doit venir de l’enfant, avec accord des parents et enquête d’une équipe médicale sur la capacité du patient à mesurer ce qu’est la mort. L’enfant devra par ailleurs être en phase terminale d’une maladie incurable dont les souffrances ne peuvent être apaisées pour pouvoir demander l’euthanasie. Certains médecins ont ainsi la prétention de pouvoir juger de la compréhension de la mort que peut avoir autrui… Mais qui jugera de l’honnêteté du jugement du corps médical ou de la pureté d’intention des parents lorsqu’ils donneront leur accord pour que l’on tue leur enfant ? Dès lors que l’interdit de tuer une personne innocente est franchi, il n’est plus de limite qui tienne. A n’en pas douter, les promoteurs de l’euthanasie en France verront dans la loi belge un exemple à suivre pour le débat qui doit s’ouvrir dans les semaines qui viennent sur la fin de vie. Tout ça pour vous rappeler qu'on vous attend en masse ce 30 MARS 2014 au Mont des Arts!
Toutes les infos nécessaires sont sur le site: www.march4life.be Editoriaal van Karel Verhoeven:
“De roep om hulp van een pedofiel verderop in deze krant zet de kwestie nog scherper. De 39-jarige man wordt seksueel geprikkeld door heel jonge kinderen. Feiten pleegde hij nog niet (zo beweert hij), een veroordeling liep hij dus nog niet op. Toch wil hij euthanasie. Uit voorzorg, om te verhinderen dat hij kinderen kwetst. En omdat zijn seksuele geaardheid hem volledig geïsoleerd heeft. Werk kwijtgeraakt, van vrienden vervreemd, familie die hem mijdt, en hij die psychisch lijdt. Euthanasie zou een erkenning van zijn lijden zijn, zegt hij. Hij wil verdwijnen. Zijn artsen nemen hun tijd. Zijn vraag rekt de euthanasiewet behoorlijk op. Euthanasie op een pedofiel zou een primeur zijn, maar zou volgens experts niet helemaal indruisen tegen de euthanasiewet die ondraaglijk lijden als voorwaarde stelt in combinatie met een ongeneeslijke aandoening. Pedofilie geldt in de psychiatrie als een aandoening.” De Standaard Na elf jaar euthanasie is bij de Orde van Geneesheren een eerste klacht ingediend tegen professor Wim Distelmans. … De klacht tegen oncoloog en professor Distelmans is drie bladzijden dik. Dat blijkt uit een artikel in de Artsenkrant. Alles draait om de dood van Godelieve De Troyer. Op 19 april 2012 gaf Distelmans de chronisch depressieve vrouw een dodelijke injectie. "Mijn zus en ikzelf waren niet op de hoogte. We konden geen afscheid van haar nemen", klaagt De Troyers zoon, Tom Mortier. Volgens dokter en voormalig senator Patrik Vankrunkelsven kan de zoon dokter Distelmans dat niet kwalijk nemen. "De wet is heel duidelijk: de behandelende arts moet de naasten die de patiënt aanduidt op de hoogte brengen. Als de patiënt dat echter niet wil, moet de arts dat niet doen. Anders schendt hij zijn medisch beroepsgeheim." In de klacht verwijten Mortier en de Oostendse arts Georges Casteur - die samen met Mortier de klacht indiende - dokter Distelmans ook dat De Troyer twee maanden voor haar euthanasie nog 2.500 euro schonk aan de vzw Leif, waarvan Distelmans voorzitter is. … Alle dossiers worden gecontroleerd door de federale euthanasiecommissie. Dokter Casteur zegt dat de samenstelling van die commissie moet worden herbekeken. "Wie is voorzitter van de euthanasiecommissie? Professor Distelmans. Hij controleert dus zijn eigen dossiers. Ik vind dat dat niet kan." Vankrunkelsven is vervangend lid in die commissie. Volgens hem gebeurt het inderdaad dat sommige artsen soms mee hun eigen dossier moeten beoordelen.
Uit De Morgen (p.1) WATERLOO - ApemT-21, une association de personnes porteuses d’une trisomie 21 ou d’autres syndromes génétiques assimilés (et leurs parents), possède une antenne à Waterloo depuis un an. Joëlle Leemans, kiné et ostéopathe de profession, en est l’une des instigatrices et chevilles ouvrières. L’envie d’aller plus loin pour aider les enfants trisomiques naît souvent d’une expérience personnelle. C’est le cas de la Waterlootoise Joëlle Leemans. Il y a 11 ans, naissait son troisième enfant, un petit bonhomme porteur de la trisomie 21. «Il est entré dans l’enseignement spécial, et vu les lacunes pédagogiques rencontrées, nous avons décidé, avec d’autres parents, d’ouvrir une antenne d’ApemT-21 dans la région. Nous sommes indépendants, mais poursuivons les mêmes missions que la maison mère, à Verviers.» À savoir une information complète autour de la trisomie, la rencontre avec les familles, avec différents intervenants, des activités récréatives, le café des parents… «Nous avons l’impression de faire avancer le schmilblick de la trisomie en la démystifiant. Ainsi, nous avons dernièrement organisé une séance photos, dont le résultat était très réussi. Nous avons aussi mis sur pied un défilé de mode avec six enfants trisomiques et des sportifs de haut niveau. Le succès était au rendez-vous. Cette initiative a montré que les personnes porteuses d’un handicap pouvaient aussi être belles!» Mais le plus grand souhait de Joëlle reste aujourd’hui la création d’une école pour trisomiques à Waterloo. «Nous sommes en attente d’un accord pour les bâtiments. Notre modèle? Un établissement madrilène du même type, dont tous les enfants pouvaient lire en sortant. En Belgique, ce résultat reste utopique à l’heure actuelle.» Des membres de la Douma, le parlement russe, ont demandé au ministère des Affaires étrangères d'étudier la loi belge élargissant l'euthanasie aux mineurs, votée la semaine passée, en vue d'interdire l'adoption d'enfants russes par des Belges, écrit lundi Russia Today. L'initiative émane du député Roman Choedjakov, membre du parti nationaliste de droite LDPR (Parti libéral-démocrate de Russie). Selon le député, la majorité des groupes défendant les droits des enfants soutiennent une telle interdiction de l'adoption de citoyens russes par des Belges. Dans les faits, l'adoption d'enfants russes par des familles belges est déjà limitée (68 enfants sur la période 2003-2012 en Belgique francophone). (Belga)
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