Wouter Beke, Yves Buysse, Dirk Claes, Sabine de Bethune, Armand De Decker, Francis Delpérée, Gérard Deprez, Filip Dewinter, André du Bus de Warnaffe, Cindy Franssen, Bart Laeremans, Bertin Mampaka Mankamba, Vanessa Matz, Etienne Schouppe, Anke Van Dermeersch, Els Van Hoof, Johan Verstreken Voici la liste des 17 sénateurs qui ont signé contre l'élargissement de la Loi. A eux, nous souhaitons exprimer notre reconnaissance. Merci d'avoir voté pour d'avoir voté pour la Vie!
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Quand Els Van Hoof (CD&V) s'oppose courageusement à l'extension de la loi... gentillement soutenue par du Bus (cdH) Cela a chauffé dans l'hémicycle.
Le débat en séance plénière du Sénat sur l'extension aux mineurs de la dépénalisation de l'euthanasie a donné lieu jeudi à de vifs échanges sur le rôle de la Commission d'évaluation et de contrôle de la loi de 2002 dont la sénatrice Els Van Hoof (CD&V) a une nouvelle fois mis en doute l'impartialité alors qu'aucun dossier consulté par ladite Commission n'a jamais été transmis au Parquet en dix ans de temps. C'est "l'hypocrisie au carré" a notamment réagi le sénateur Jean-Jacques De Gucht (Open Vld) alors que le CD&V défend notamment la sédation palliative parmi les solutions de rechange à l'euthanasie. "Actuellement, il n'y a pas de garde-fou pour ce type de pratiques, que je conçois également, mais au-delà du fond, votre discours est hypocrite", sachant que l'euthanasie est, elle, encadrée, a-t-il insisté. Des élus PS, Ecolo et MR ont également vu dans l'attitude du CD&V une manoeuvre visant à jeter le discrédit. On ébauche aujourd'hui, alors que l'euthanasie est en débat ailleurs, en France notamment, à partir de l'absence de dossiers envoyés au Parquet une théorie du 'grand complot', ont-ils observé. "Mais on ne vous a jamais entendus contester la Commission d'évaluation durant 10 ans. Cette Commission pluraliste en vertu de la loi, dont la composition est avalisée par le Sénat, fait aujourd'hui l'objet de critiques opportunes, à l'emporte-pièce, avec violence. Vous avez mis en cause la probité des membres de la Commission", s'est emporté Philippe Mahoux (PS). "Si Mme van Hoof a des preuves (d'actes d'euthanasie illégaux dont a eu vent la Commission), il est de son devoir de les amener, si elle n'en a pas, il est irresponsable de mener une telle campagne de diffamation", s'est insurgée Zakia Khattabi (Ecolo). La sénatrice CD&V a persisté, soulignant qu'elle avait déjà développé ses arguments à quatre reprises en Commission sénatoriale, rappelant l'appel du professeur Herman Nys à améliorer le fonctionnement de la Commission de contrôle amenée selon elle à examiner "200 dossiers en 3 heures". Elle a également dénoncé la règle des 2/3 nécessaire lors du vote sur un renvoi de dossier au Parquet. Enfin, elle a loué la situation aux Pays-Bas qui disposent de 5 commissions de contrôle régionales et au total une vingtaine de dossiers y ont été transmis au Parquet. André du Bus (cdH) a appuyé sa collègue CD&V en évoquant des "problèmes de conflit d'intérêts" dans la composition de la Commission de contrôle qui lui ont été rapportés et sur lesquels devrait se pencher le Sénat. Bien sûr, toute instance est améliorable, a admis Christine Defraigne (MR), dans la foulée de certains de ses collègues, et en cas d'infraction pénale il faut poursuivre, "mais j'ose espérer qu'on ne mettra pas un procureur derrière chaque médecin, et une brigade de police dans chaque salle d'opération". Els Van Hoof avait également épinglé en Commission sénatoriale les médecins qui choisissent un confrère dont ils sont proches alors que la consultation d'un tiers indépendant est obligatoire selon la loi. "Les médecins choisiraient des copains voire des copains et des coquins. Accusation de collusion insupportable, insinuations totalement inacceptables concernant un problème chargé sur le plan humain pour ceux qui acceptent de s'en occuper", s'est ému Philippe Mahoux. "Pour avoir rencontré des garde-malade qui accompagnent des patients en fin de vie, certains m'ont dit que de fait des médecins font appel à d'autres avec lesquels ils ont l'habitude de travailler, et que si cela se passe dans une bonne harmonie, ce n'est pas toujours avec l'indépendance nécessaire", a pour sa part soutenu André du Bus (cdH). Le chef de groupe CD&V Dirk Claes a appelé Philippe Mahoux à la "sérénité", chacun pouvant exprimer ses arguments. Bart Laeremans a appuyé les orateurs CD&V, estimant que le chef de groupe PS suscitait la "polémique". Ce débat passionné sur un sujet qui n'est pas directement lié à la proposition à l'examen s'est clôturé quand Jean-Jacques De Gucht a dit avoir compris les intentions du CD&V, désireux selon lui de "créer l'animosité". Je regrette "la manière dont vous tentez de manipuler un débat auquel vous n'avez pas participé" depuis le début des travaux en Commission, a-t-il dit à l'adresse d'Els Van Hoof. Jean-Marie le Méné sur la recherche des cellules souches:
"C'est d'abord un problème éthique, c'est pas un problème technique, c'est d'abord un problème moral. Est ce que l'on a le droit de détruire la vie d'un être humain ?" Alexandre en est certain: son fils avait la rage de vivre. "Si j'avais demandé à mon fils, le matin de sa mort, s'il voulait vivre, il m'aurait dit oui. Je n'étais pas là pour lui demander s'il voulait décéder, mais bien pour l'accompagner jusqu'au bout du chemin", a-t-il dit.
Source: RTL Au JT mercredi soir on a présenté l'histoire d'une maman qui aurait voulu demander l'euthanasie de son fils. Mais on ne parle jamais de ceux qui ont lutté contre la maladie sans vouloir l'euthanasie. Parfois ils ont gagné, parfois ils ont perdu. Mais perdre contre la maladie, est-ce toujours mal? C'est toujours triste, oui. Mais le courage d'avoir lutté, la patience et l'amour dans l'accompagnement au quotidien, n'est-ce pas louable? Un témoignage lu sur euthanasiestop.be: Il avait un an. Connecté à des dizaines de tubes et de câbles, entouré de machines et son ours en peluche à ses côtés, il a l'air perdu dans ce lit d'hôpital beaucoup trop grand pour lui. Les médecins n'ont jamais promis qu'il atteindrait l'âge de 5 ans. Or, aujourd'hui, grâce à des dizaines d'interventions chirurgicales, Simon-Pierre a 15 ans ! Lors d'un débat abordant l'euthanasie pour les enfants, un médecin disait qu'un de ses petits patients lui avait demandé de ne plus l'opérer et que, il ne voyait pas pourquoi on n'écouterait pas ces enfants, las de tant souffrir. C'est vrai que cela peut se produire. La veille d'une opération, Simon-Pierre a demandé à mon papa, qui passait la nuit avec lui à l'hôpital, de ne pas être opéré. Que faites-vous quand votre petit bout de 5 ans, si petit, si fragile vous demande ça ? Mon père l'a laissé partir en salle d'opération le lendemain. Cela veut-il dire qu'il a été sans cœur ? Jamais ! Aussi petit et fragile qu'il soit, Simon-Pierre était la fierté du bloc médical, de ses parents et de sa famille. C'est toute une équipe qui s'est battue pour lui. Aurions-nous été plus humains en lui injectant un produit pour « l'endormir » ? Certes, nous aurions laissé derrière nous ces mains crispées, ces espoirs de le voir rire et vivre à nouveau après une opération. L'amour c'était de se lever en pleine nuit pour lui apporter des soins, de passer des jours et des nuits à l'hôpital, de raconter des histoires, de veiller et de ne pas dormir. L'amour c'était d'accepter la souffrance, d'aller de l'avant et donner une chance à la vie. Et grâce à cela, l'amour renverse la mort, ou du moins la fait hésiter. Du haut de ses 15 ans, mon petit frère (le terme petit est devenu très relatif) va bien. Évidemment il devra encore passer sous le bistouri, il souffrira encore, il restera fragile. Il sait qu'il a des limites, qu'il doit faire attention, mais si la vie est à ce prix, je suis convaincue que ça en vaut la peine. Si demain on peut euthanasier des enfants, quel médecin insensé voudra encore consacrer son temps précieux à des opérations qui ont 1 chance sur 2 d'échouer ? Quel médecin voudra encore s'occuper d'enfants comme mon frère, sachant qu'ils devront l'opérer des dizaines de fois et encore, sans promesse de réussite? Si Simon-Pierre était né aujourd'hui, ne proposerait-on pas à mes parents de tout simplement l'euthanasier ? Et du coup, est-ce qu'on ne va pas arrêter le progrès médical? Je n'irais pas jusqu'à dire que Simon-Pierre à révolutionné la médecine, je suis sûre qu'il lui a permis d'avancer, et de donner à certains, comme à ma sœur, la vocation d'être médecin : un médecin qui soigne, guérit et prend soin. Pas un médecin qui tue. Avec toute l’Église, rassemblée ce soir-là à travers le monde, nous entrons dans le temps de l’Avent. Dans quatre semaines nous célèbrerons la fête de Noël en accueillant le Fils de Dieu né dans notre chair pour vivre une vie d’homme semblable à la nôtre en chacune de ses étapes. En proposant aux catholiques une veillée pour la vie naissante, le pape Benoît XVI entendait faire réfléchir sur le respect et la défense de la vie humaine depuis son commencement et jusqu’à la fin naturelle. --> Vu le contexte législatif dans lequel se trouve la Belgique (càd: un projet d'extension de la loi sur l'euthanasie), la vie dans son entièreté sera l'objet de nos prières. N'hésitez donc pas à vous joindre à nous! Nous avons besoin de votre prière! Samen willen we de eerste Vespers van de Advent - en dus ook van het Liturgisch Jaar- samen doorbrengen. De Advent is de tijd waarin we ons voorbereiden op de geboorte van Jezus Christus en daarom zijn die Eerste Vespers net de ideale gelegenheid om te bidden voor het (ongeboren) leven, zoals Benedictus XVI ons daartoe aanspoorde. --> door het wettelijk kader waarin ons land zich bevindt (met het project van de uitbreiding van de wet over euthanasie voor minderjarigen), zal het leven in zijn geheel het object zijn van onze gebeden. Kom er maar zeker bij: we hebben uw gebed nodig! "Samedi prochain, 27 novembre, dans la Basilique Saint-Pierre, je présiderai les premières Vêpres du premier dimanche de l'Avent et une veillée de prière pour la vie naissante. Il s'agit d'une initiative commune avec les Églises particulières du monde entier et j'ai également recommandé aux paroisses, aux communautés religieuses, aux associations et aux mouvements d'y adhérer. Le temps de préparation à Noël est un moment propice pour invoquer la protection divine sur tout être humain appelé à l'existence, également comme remerciement à Dieu pour le don de la vie reçu de nos parents." Sa Sainteté Benoît XVI, Angélus du lundi 14 novembre 2010.
Voir ausi: le texte officiel demandant les veillées de prière pour la vie naissante, et sa traduction française. (Merci à Espérance Nouvelle pour ces références!) Déclaration commune des responsables religieux en Belgique suite au vote en Commission du Sénat Justice et Affaires Sociales élargissant l’euthanasie aux mineurs
Le 6 novembre 2013, à titre tout à fait exceptionnel, tous les responsables religieux de Belgique déclaraient d’une seule voix, leur opposition à l’élargissement de l’euthanasie aux mineurs. Ce 27 novembre 2013, nous ne pouvons qu’exprimer notre déception et notre tristesse. Nous partageons l’angoisse de parents si un enfant arrive à une fin de vie prématurée et, particulièrement quand il souffre. Nous croyons cependant que les soins palliatifs et la sédation sont une manière digne d’accompagner un enfant qui meurt de maladie. Des médecins praticiens, oncologues ou intensivistes, nous l’ont clairement affirmé. Ecoutons-les. Nous plaidons pour un arrêt de l’acharnement thérapeutique et pour le remplacement des soins curatifs par des soins palliatifs. Nous croyons que nous n’avons pas le droit de laisser un enfant souffrir : c’est pourquoi la souffrance peut et doit être soulagée. La médecine en a les moyens. Ne banalisons pas l’acte de donner la mort alors que nous sommes faits pour la vie. Aimer jusqu’au bout demande un immense courage, Mettre fin à la vie est un acte qui non seulement tue, mais détruit un peu plus les liens qui existent dans notre société, dans nos familles, en proie à un individualisme grandissant. Entourons et aimons les malades et leurs familles, ainsi que les soignants, et si la maladie l’emporte, qu’elle soit accompagnée de notre affection intense et par l’irréductible respect de la vie. - Rabbin Albert Guigui, Grand Rabbin de Bruxelles - Chanoine Robert Innes, président du Comité Central de l’Église Anglicane en Belgique - Monseigneur André-Joseph Léonard, président de la Conférence Épiscopale de Belgique - Monsieur Geert Lorein, président du Synode Fédéral des Églises Protestantes et Évangéliques de Belgique - Métropolite Panteleimon Kontogiannis, Exarque du Patriarcat Œcuménique de Constantinople (Église Orthodoxe) - Monsieur Semsettin Ugurlu, président de l’Exécutif des Musulmans de Belgique |
Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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