Sur twitter ils ont fait le buzz!
En tous cas une chose est sûre: la Belgique se réveille et se rend compte du drame qui se déroule à l'intérieur de ses frontières!
Toutes nos félicitations vont aux organisateurs et aux participants!
Ils étaient 500 à dénoncer un conflit d'intéret au sein de la Commission de Contrôle de la loi sur l'euthanasie! Sur twitter ils ont fait le buzz! En tous cas une chose est sûre: la Belgique se réveille et se rend compte du drame qui se déroule à l'intérieur de ses frontières! Toutes nos félicitations vont aux organisateurs et aux participants!
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1. Année 2013, année de la « manif pour tous »
2013 restera gravée dans les mémoires comme l’année d’une mobilisation citoyenne sans précédent autour des questions sociétales relatives à la vie et à la famille. Près de deux millions de pétitions signées, dont 100 000 de France, dans le cadre de l’initiative citoyenne européenne « one of us », pour la protection de l’embryon. 700 000 pétitions déposées au CESE contre le projet de loi de « mariage pour tous ». Des centaines de milliers, voire des millions de manifestants à Paris les 13 janvier, 24 mars et 26 mai contre la loi Taubira et pour la famille fondée sur l’union stable d’un homme et d’une femme, garante de la filiation. Sans doute, on peut à bon droit être frustré devant l’inefficacité apparente de cette mobilisation : pétitions déclarées irrecevables, manifestants traités par le mépris, violences policières, gouvernement sourd au cri de tout un peuple ! On pourrait même être tenté de se démobiliser, d’autant que l’on annonce la discussion prochaine d’un projet de loi sur la fin de vie, incluant la promotion du suicide assisté, sur la base d’une consultation populaire reposant sur un panel de … 18 citoyens triés sur le volet ! Pourtant, les résultats ne manquent pas : la PMA et la GPA ont été retirés du projet … mais pour combien de temps ? La pétition « one of us » a permis la mise en échec de la résolution Estrela au parlement européen… Le plus important demeurant le sursaut des consciences : quand le bon sens est offusqué, il se réveille et se manifeste. Et on a gardé une attitude pacifique, on ne s’est pas laissé aller à la stigmatisation de quiconque, on n’a pas revendiqué pour des intérêts particuliers, on a manifesté pour le Bien commun, ce Bien que l’on doit rechercher en commun et qui garantit la dignité de toute personne humaine sans exception, à commencer par la plus faible et la plus fragile : l’enfant à naître ou déjà né, la personne porteuse d’un handicap ou en fin de vie. On s’est surtout mobilisé pour la famille et l’on doit continuer à se mobiliser, tant les enjeux demeurent entiers en 2014, avec la discussion prochaine d’un projet de loi famille aux conséquences funestes annoncées. 2. La dignité de la vie humaine Mais la question de la dignité et de l’inviolabilité de la vie humaine revient sur le devant de la scène, avec un projet de loi qui sera présenté au Parlement à partir du 20 janvier : il s’agit, sous prétexte d’égalité entre les hommes et les femmes, de faciliter coûte que coûte le recours à l’avortement. Preuve de la crainte de certains organismes et lobbies devant la défection croissante de personnels de santé et de médecins, mais aussi devant la prise de conscience qui s’exprime davantage dans l’opinion publique face à l’augmentation alarmante des avortements chez les mineures ou à la multiplication des traumatismes post-avortement… Tandis que la loi Veil prévoyait de dépénaliser l’interruption volontaire de grossesse, pour cause de « détresse de la femme », on propose aujourd’hui de remplacer cette clause par la reconnaissance d’un véritable droit de la femme à recourir à l’avortement si « elle ne veut pas poursuivre sa grossesse ». En outre le projet de loi prévoit une extension du délit d’entrave à l’avortement, en particulier quant à l’information, déjà votée au Sénat le 17 septembre dernier en catimini ; c’est aussi la liberté d’expression qui est une fois de plus gravement remise en question : toute déclaration publique dénonçant le drame de l’avortement pourrait faire l’objet d’une sanction pénale. Nous vivons un véritable tournant culturel, et par la détermination idéologique de ce gouvernement, et par la nouvelle prise de conscience qui se fait jour autour de la dignité de la vie humaine. Les évêques de France ne viennent-ils pas de se saisir de la question en constituant un groupe de travail sur « le phénomène social de l’avortement et ses conséquences pour l’éducation des jeunes » ? Et Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et Président de la Conférence des évêques de France, n’a-t-il pas alerté l’opinion publique dans son message de Noël et du Nouvel an en affirmant : « Je pense encore à ce projet de modification de la loi sur l'interruption volontaire de grossesse qui loin de permettre aux femmes en détresse d'être laissées moins seules devant leur responsabilité face à la vie naissante sont quasiment incitées à ne se poser aucune question quant à l'élimination de l'être qu'elles portent en leur chair » ? Le contexte est d’autant plus favorable à la poursuite de la mobilisation que l’Espagne est en train de revenir sur la loi légalisant l’avortement et que les mouvements Pro-Vie récoltent aux Etats-Unis les premiers fruits de leur combat de trente ans, à travers le revirement sensible de l’opinion publique ! La culture de mort est un colosse aux pieds d’argile qui commence à vaciller ! En limitant l'avortement, l'Espagne nous montre que la culture de mort n'est pas irréversible:priorité à la marche pour la vie du 19 janvier — Mgr Marc Aillet (@MgrMAillet) 27 Décembre 2013 3. La marche pour la vie 2014 C’est la raison pour laquelle, pour ma part, je donne la priorité à la Marche pour la vie du 19 janvier. J’y serai et j’invite tous ceux qui le décideront en conscience à se mobiliser pour cette manifestation prévue de longue date et qui s’était effacée, en 2013, devant la Manif pour tous, pour faire droit à l’urgence du moment. Je ne doute pas que beaucoup de ceux qui ont marché pour la famille en 2013 saisiront l’occasion de marcher pour la vie, le 19 janvier prochain. Marcher pour la vie, c’est défendre les enfants à naître, qui sont les plus sans défense et innocents de tous. Le Pape François l’a rappelé avec force dans son exhortation apostolique La joie de l’Evangile : « On veut (leur) nier aujourd’hui la dignité humaine afin de pouvoir en faire ce que l’on veut, en leur retirant la vie et en promouvant des législations qui font que personne ne peut l’empêcher. Fréquemment, pour ridiculiser allègrement la défense que l’Église fait des enfants à naître, on fait en sorte de présenter sa position comme quelque chose d’idéologique, d’obscurantiste et de conservateur. Et pourtant cette défense de la vie à naître est intimement liée à la défense de tous les droits humains. Elle suppose la conviction qu’un être humain est toujours sacré et inviolable, dans n’importe quelle situation et en toute phase de son développement. Elle est une fin en soi, et jamais un moyen pour résoudre d’autres difficultés » (n. 213). Et d’ajouter : « Précisément parce qu’il s’agit d’une question qui regarde la cohérence interne de notre message sur la valeur de la personne humaine, on ne doit pas s’attendre à ce que l’Église change de position sur cette question. Je veux être tout à fait honnête à cet égard. Cette question n’est pas sujette à de prétendues réformes ou à des “modernisations”. Ce n’est pas un progrès de prétendre résoudre les problèmes en éliminant une vie humaine » (n. 214). Marcher pour la vie, c’est aussi prendre le parti des femmes qui sont souvent mise contre leur gré dans l’obligation de mettre fin à la vie de leur bébé, sous la pression du milieu et parce qu’il leur semble, vu leur contexte humain et social, impossible d’accueillir leur enfant. Selon un sondage IFOP-Alliance Vita de février 2010, pour 61% des Françaises, « il y a trop d'avortements dans notre pays » ; pour 83%, « l'avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes » ; pour 60%, « la société devrait davantage aider les femmes à éviter le recours à l'IVG ». Nous ne pouvons pas ignorer ces situations de détresse et nous devons tout mettre en œuvre pour offrir aux femmes confrontées à ce drame un accompagnement humain et spirituel digne de ce nom. Je confie au Seigneur, par l’intercession de Notre Dame de la Vie, cette grande cause nationale et implore sa bénédiction sur tous ceux qui participeront à la Marche pour la Vie du 19 janvier 2014. + Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron Ce message se veut être une adresse à la Commission de Contrôle de l'Euthanasie. Chers membres,
Aau cas où cette nouvelle vous aurait échappé, tous les médias l'ont pourtant rapporté la demande d'euthanasie du "plus vieil athlète belge", Emiel Pauwels. Pourtant, si j'ai bien compris il n'était pas trop malade pour être soigné, ces jours n'étaient pas en danger direct, il ne souffrait pas d'une douleur insupportable, ... aurais-je oublié une condition pour que l'application de la loi soit valable? Chers membres de la Commission, De quoi avez-vous besoin pour voir que cette pratique n'est pas conforme? Ah oui, sans doute que le médecin vous prévienne? Vous voyez que votre système de Contrôle n'est qu'une parodie... Je ne qualifierais pas ça de triste, ce serait un euphémisme, mais que penseriez vous de "non-assistance à personne en danger?" Quand cela se fait à grande échelle, on appelle ça "crime contre l'humanité" non? Lien utile: - texte de la Loi relative à l'euthanasie De Standaard - p. 37: Daar is het spook van de eugenetica (Opinie van Jo Lebeer, docent handicapstudies (UA): "De vraag is hoe beschermingswaardig een ongeboren kind is. Juridisch is het nog geen individu en de wet zegt dat abortus na de twaalfde week alleen kan in geval van een 'zware kwaal'. Of het downsyndroom een 'zware kwaal' is, hangt vooral af van de geboden ondersteuning die volwaardige participatie in de samenleving mogelijk maakt. Hoeveel hebben we hier als samenleving dan voor over? In Italië, Spanje, Portugal en Noorwegen gaan bijna alle kinderen met down naar gewone scholen, in België slechts 2 procent. Volwassenen met down nemen er ook meer deel aan het arbeidsproces en participeren op alle domeinen aan de samenleving. … Als België dan 55 miljoen euro (!) per jaar over zou hebben voor een gratis prenatale test, en niet voor de ondersteuning van mensen met downsyndroom en gelijkaardige aandoeningen, dan kunnen we dat een eugenetische maatregel noemen. Wat is nog het verschil met de periode dat personen met een beperking op basis van onvolwaardigheid geëlimineerd werden en dit geruggensteund door sommige artsen en academici? In wezen is de boodschap dezelfde: jij bent een onvolwaardig individu en je wordt maar beter niet geboren. … Als Spanje nu beslist om abortus op foetussen met het downsyndroom niet zonder meer toe te laten, gaat het niet om 'het terugdraaien van de klok met 30 jaar' (DS 21 december), maar eerder om een vooruitgang. Het erkent zo het individu met downsyndroom - ook ongeboren - als een evenwaardig individu, zoals ook het VN-Verdrag inzake de rechten van personen met een handicap dat doet voor mensen die al geboren zijn. Het is eerder België dat 30 jaar achterloopt met de onvoorwaardelijke acceptatie en inclusie van mensen met beperkingen." de vetgedrukte zinnen zijn een aanpassing van de redactie van Jongeren Voor het Leven Het Laatste Nieuws p. 11: "Ik kon niet over haar leven beslissen" (In 2012 werden in ons land nog 53 Down-kindjes geboren, terwijl je er 110 zou verwachten, afgaande op de geboortecijfers. En met de nieuwe doeltreffende bloedtest NIPT zullen de abortus-percentages allicht nog stijgen. Dat het stilaan eenzaam wordt, vrezen de ouders die toch voluit voor een 'ander' kindje gingen. … Het is nu afwachten hoe de nieuwe bloedtest NIPT (Niet-Invasieve Prenatale Test), sinds vorig jaar in enkele universitaire ziekenhuizen aangeboden, de cijfers gaat beïnvloeden. "De huidige tests zijn een kansberekening, waarna koppels vaak besluiten om toch géén vruchtwaterpunctie te doen, wegens het risico op miskraam. Ze wachten af. De NIPT-test geeft wél bijna 100% zekerheid. We mogen verwachten dat bij een positief resultaat vaker tot puncties, en dus pertinente keuzes, wordt overgegaan", aldus Cammu. De NIPT-test kost 460 euro. Een prijskaartje waarbij sommige koppels moeten afhaken. "Als het zo doorgaat, zullen we alleen nog kinderen met Down geboren zien worden bij sociaal mindergegoeden." Terugbetaling is niet meteen voorzien. "Het is een kwestie voor de politiek om alles af te wegen: wat kost de huidige screening? Wat zijn de voordelen van de nieuwe?") De Standaard p. 32: De verpletterende verantwoordelijkheid van prenatale tests (Opinie van Ellen Van Stichel en Sindy Helsen, stafmedewerkers Fara: “Het aanbod van prenatale testen vraagt om een goede counseling om de keuzevrijheid van toekomstige ouders te optimaliseren. We willen waarschuwen voor de mogelijke invloed van de maatschappelijke perceptie van de niet-invasieve prenatale test (NIPT) op dit keuzeproces. Deze test wordt voorgesteld als een diagnostische test, die vanzelfsprekend leidt tot een zwangerschapsafbreking. Onze ervaring is ten eerste dat de NIPT vandaag vooral aangeboden wordt als screeningstest, maar in de maatschappelijke perceptie en de persoonlijke beleving van ouders gezien wordt als een diagnostische test. … Ten tweede is de beschikbaarheid van prenatale tests extra complex omdat ze (toekomstige) ouders kan dwingen tot het maken van gewetenskeuzes. Welke keuze ze ook maken, ze dragen altijd de verantwoordelijkheid. Kunnen ouders in deze context nog kiezen om niet te willen weten en gewoon af te wachten? Is het verantwoord, met alle huidige medische mogelijkheden, nog te kiezen voor een kind met een handicap? Wanneer een zwangerschapsafbreking nu gepercipieerd wordt als het enige logische gevolg van een positieve NIPT, komt de keuzevrijheid van ouders toch ernstig in het gedrang.”) de vetgedrukte zinnen zijn een aanpassing van de redactie van Jongeren Voor het Leven
Venez avec nous en car!!:
Un bus partira de Bruxelles pour rejoindre la Marche Pour la Vie à Paris! Départ 9h30 depuis le parvis de la Basilique de Koekelberg! N'hésitez pas à vous inscrire et nous accompagner! Afin d'éviter toute confusion, ne seront prises en compte que les inscriptions payées sur le compte suivant: 088-2142578-37 N'hésitez pas à nous contacter en cas de problèmes au 02.649.08.79. Poutine vient de signer une loi interdisant toute annonce, toute publicité y compris indirecte, la diffusion de documents de toute nature susceptibles d’inciter ou d’aider les femmes à avorter ; mais aussi les réclames pour les produits abortifs ou nuisant à la grossesse comme les psychotropes, les calmants, anxiolytiques et autres. Il a donné comme argument l’effondrement démographique du pays. Mais cette décision s’insère dans le cadre d’une lame de fond mondiale contre l’avortement notamment à l’ONU, à l’Assemblée européenne, en Afrique, en Espagne, aux Etats-Unis. Ceci contre les décisions du mondialisme qui veut imposer « le droit à l’avortement ».
Réveil contre la culture de mort Cette décision vient en écho de parlementaires à la Douma (Assemblée parlementaire nationale) sur le même thème il y a deux mois. Conjointement l’Eglise orthodoxe russe a déclaré que l’avortement et les grossesses pour autrui (GPA) étaient « une mutinerie contre Dieu ». De plus Yelena Mizulina, responsable de la Commission pour la famille, à fait une déclaration à la Chambre basse demandant l’interdiction de l’avortement de toute urgence. Allant plus loin, elle clama qu’il y avait là une menace d’anéantissement pour le pays mais aussi pour le monde entier. Son but était de sensibiliser sur la question afin d’obtenir des restrictions législatives. Celles prises par Poutine en décembre apparaissent comme une seconde vague. Toujours à la même époque, Tatiana Yakovleva a annoncé que si les cinq dernières années le nombre des avortements s’était réduit du quart, il y en avait toujours un million ce qu’elle estimait beaucoup trop. La situation de la Russie est actuellement catastrophique. 2 % de la population disparaît par l’avortement chaque année. Les projections démographiques estiment que la population sera réduite de 150 millions en 2050. Or elle est de 150 millions en 2012. Autrement dit ce pays, s’il ne fait rien, disparaîtra. La responsabilité des communistes L’avortement a été imposé en 1917 durant la révolution bolchévique. Les communistes inventent deux types d’aspirateurs permettant de mettre fin aux grossesses. L’IVG s’est développé tellement vite que Staline l’a interdit en 1936, craignant la disparition du pays : étrange préoccupation pour un génocidaire. Khrouchtchev l’a de nouveau légalisé en 1950. Le nombre des avortements a culminé en 1980. A cette époque il se situait à 78 millions soit le quart de ceux qui se faisaient dans le monde entier alors que les Russes ne représentaient que 5 à 6 % de la population mondiale. C’est sous Poutine que le déclin démographique commence à s’inverser. En 2003, il limite l’avortement à deux mois et demi de grossesse. Il ne peut se faire qu’après un délai de réflexion d’une semaine. Tout nouveau-né reçoit une prime à la naissance. A la même époque un article du Washington Post révèle que 13 % des femmes sont devenues stériles en raison des avortements répétitifs. La fin de l’hiver Mais en octobre dernier, un groupe de membres de la Douma a décidé d’aller plus loin afin d’interdire l’IVG. D’où la réaction de Poutine qui conjointement lance des campagnes de publicité contre l’avortement et une journée de la vie. L’hiver démographique de la Russie est sur sa fin et un dégel printanier s’annonce. Source: Media-Presse |
Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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November 2023
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