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Tout ça pour vous rappeler qu'on vous attend en masse ce 30 MARS 2014 au Mont des Arts!
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En 2010, elle jouait Julia dans « Ma compagne de nuit », une femme atteinte d’un cancer généralisé, qui avait choisi de mourir chez elle, accompagnée par une autre femme, Marine. Emmanuelle Béart s’est engagée dernièrement en faveur du développement de l’accompagnement en fin de vie. Elle soutient les manifestations organisées par le Fonds pour les soins palliatifs et l’association Les P’tites lumières (*).
Vous vous engagez aujourd’hui pour défendre les soins palliatifs. Pourquoi ? Quand j’ai tourné « Ma compagne de nuit », en 2010, je jouais une femme atteinte d’un cancer en phase terminale. Je désirais comprendre comment on vit quand on est atteint d’une maladie grave et que l’on souhaite rester à domicile pour y vivre ces dernières semaines. J’ai alors rencontré des personnes formidables, médecins et accompagnants en soins palliatifs qui m’ont conseillée pour le tournage. Notamment Françoise Ellien, qui a mis en place le réseau Spes dans l’Essonne pour développer les soins palliatifs à domicile. Elle m’a aidée tout au long du film. J’ai aussi passé du temps dans l’unité de soins palliatifs du Dr Sylvain Pourchet à Villejuif. On ne parle pas assez du travail extraordinaire de ces équipes qui accompagnent jusqu’au bout de la vie. A mon tour, j’ai eu envie de les aider à faire connaître la démarche des soins palliatifs. C’est un combat qui a du sens et qu’en tant que citoyenne, j’ai envie de soutenir. Qu’avez-vous découvert aux côtés de ces soignants ? D’abord un univers que je ne connaissais pas. Ils se battent tous les jours pour essayer de changer la vie des autres, et surtout la fin de leur vie. A l’occasion de ces rencontres, j’ai aussi appris que la demande des malades peut évoluer. Certains n’en peuvent plus, ils réclament qu’on les aide à mourir. Mais lorsqu’on leur propose de les accompagner, lorsqu’on prend en charge leur douleur physique et leur souffrance psychologique, lorsqu’on accompagne leur famille, car pour elle aussi le voyage est très dur, la demande de mort cesse souvent. Pourquoi parle-t-on autant d’euthanasie en France, et peu des soins palliatifs qui restent mal connus du grand public? En France, on débat beaucoup en effet de l’euthanasie et du suicide assisté, justement parce qu’on ne parle pas assez de soins palliatifs. Comment aider celui qui part à rester en vie jusqu’au bout ? Peut-être en essayant de trouver avec lui un autre sens à la vie, de goûter d’autres formes de plaisir ? Un rayon de soleil, un verre de vin, un simple regard deviennent importants. Ou bien une ultime rencontre pour se réconcilier avec quelqu’un qu’on aime… Moi, cette question-là m’intéresse plus que l’euthanasie. Elle m’en éloigne un peu. Mon regard a changé sur la fin de vie. Vous avez accompagné votre grand-mère qui vivait avec vous. Avez-vous pu vivre ces moments comme vous le souhaitiez ? J’ai pu accompagner ma grand-mère jusqu’à sa mort et j’ai vu l’importance des soins palliatifs à domicile. Ces moments ont changé quelque chose en moi de très profond. Je ne suis plus la même. J’ai constaté aussi les défaillances du système, le manque de coordination entre la médecine de ville et l’hôpital, le manque de moyens. On se retrouve parfois très seul. J’ai trouvé la force de continuer grâce à Françoise Ellien et au Dr Pourchet, les soignants rencontrés sur le tournage du film. Je voudrais que tout le monde ait la chance d’être aidé comme je l’ai été. C’est pour cela qu’il faut continuer à développer les réseaux de soins palliatifs. (*) Article publié dans La Vie du 10 octobre 2011 Source: Sauvons Papi et Mami, il y a urgence Non, les Veilleurs n'ont pas abandonné. Ils se positionnent maintenant aussi devant la Commission de Contrôle de l'euthanasie - 4 rue de l'autonomie - 1070 Bruxelles (à côté de la gare du midi).
D'autres projets de loi sont clairement en train d'arriver. Espérons que ceci les décourage un peu... Après trois ans de discussions, le Comité national de bioéthique a rendu un avis mitigé à la question posée par la ministre fédérale et le ministre flamand de la Santé publique, Laurette Onkelinx et Jo Vandeurzen, de savoir si un hôpital ou une maison de soins peut interdire la pratique de l'euthanasie dans ses murs et activer une sorte de "clause de conscience collective", écrivent mardi Le Soir et La Libre Belgique.
Le comité n'a pas non plus réussi à trouver un consensus pour savoir s'il faut au contraire créer des "cliniques de la mort" dont l'unique objet serait d'accompagner les patients en fin de vie qui répondraient aux conditions légales de l'euthanasie mais qui ne peuvent trouver de réponse à leur souhait dans l'institution qui les soigne, notamment parce que celle-ci refuse collectivement l'euthanasie. Sur ces cliniques "de fin de vie", une partie des sages s'y sont montrés favorables "si les conditions légales sont réunies et par analogie avec des structures comme le planning familial". Des équipes de soutien aux médecins pourraient aussi se substituer en cas de refus des institutions. Mais pour d'autres experts bioéthiques belges, l'existence de telles "cliniques de la mort" constituerait "une pression qui serait ressentie par le patient comme un devoir de mourir". Les spécialistes s'accordent cependant pour dire que si de telles cliniques devaient voir le jour en Belgique, le colloque singulier entre le médecin et le patient devrait rester "incontournable. "Ces cliniques ne devraient pas être un lieu de transfert systématique d'une catégorie de malades", explique Marie-Geneviève Pinsart, professeur à l'ULB et membre du comité national de bioéthique. Lu sur la DH Editoriaal van Karel Verhoeven:
“De roep om hulp van een pedofiel verderop in deze krant zet de kwestie nog scherper. De 39-jarige man wordt seksueel geprikkeld door heel jonge kinderen. Feiten pleegde hij nog niet (zo beweert hij), een veroordeling liep hij dus nog niet op. Toch wil hij euthanasie. Uit voorzorg, om te verhinderen dat hij kinderen kwetst. En omdat zijn seksuele geaardheid hem volledig geïsoleerd heeft. Werk kwijtgeraakt, van vrienden vervreemd, familie die hem mijdt, en hij die psychisch lijdt. Euthanasie zou een erkenning van zijn lijden zijn, zegt hij. Hij wil verdwijnen. Zijn artsen nemen hun tijd. Zijn vraag rekt de euthanasiewet behoorlijk op. Euthanasie op een pedofiel zou een primeur zijn, maar zou volgens experts niet helemaal indruisen tegen de euthanasiewet die ondraaglijk lijden als voorwaarde stelt in combinatie met een ongeneeslijke aandoening. Pedofilie geldt in de psychiatrie als een aandoening.” De Standaard Na elf jaar euthanasie is bij de Orde van Geneesheren een eerste klacht ingediend tegen professor Wim Distelmans. … De klacht tegen oncoloog en professor Distelmans is drie bladzijden dik. Dat blijkt uit een artikel in de Artsenkrant. Alles draait om de dood van Godelieve De Troyer. Op 19 april 2012 gaf Distelmans de chronisch depressieve vrouw een dodelijke injectie. "Mijn zus en ikzelf waren niet op de hoogte. We konden geen afscheid van haar nemen", klaagt De Troyers zoon, Tom Mortier. Volgens dokter en voormalig senator Patrik Vankrunkelsven kan de zoon dokter Distelmans dat niet kwalijk nemen. "De wet is heel duidelijk: de behandelende arts moet de naasten die de patiënt aanduidt op de hoogte brengen. Als de patiënt dat echter niet wil, moet de arts dat niet doen. Anders schendt hij zijn medisch beroepsgeheim." In de klacht verwijten Mortier en de Oostendse arts Georges Casteur - die samen met Mortier de klacht indiende - dokter Distelmans ook dat De Troyer twee maanden voor haar euthanasie nog 2.500 euro schonk aan de vzw Leif, waarvan Distelmans voorzitter is. … Alle dossiers worden gecontroleerd door de federale euthanasiecommissie. Dokter Casteur zegt dat de samenstelling van die commissie moet worden herbekeken. "Wie is voorzitter van de euthanasiecommissie? Professor Distelmans. Hij controleert dus zijn eigen dossiers. Ik vind dat dat niet kan." Vankrunkelsven is vervangend lid in die commissie. Volgens hem gebeurt het inderdaad dat sommige artsen soms mee hun eigen dossier moeten beoordelen.
Uit De Morgen (p.1) « La santé ne détermine pas la valeur de la personne ». Le Pape François a adressé un message aux participants de l’Assemblée plénière de l’Académie pontificale pour la Vie qui a ouvert ses travaux au Vatican mercredi. Pendant quatre jours, ses membres planchent sur le thème de « Vieillissement et handicap ». Un thème « de grande actualité » et qui « tient à cœur de l’Eglise », comme l’a rappelé le Pape, très attentif aux personnes âgées.
« Dans nos sociétés on fait face à la tyrannie de la logique économique qui exclut et, parfois, tue, et dont tant de personnes sont victimes aujourd’hui, en commençant par nos anciens. » Le constat du Pape est sans appel. C’est la « culture du déchet » maintes fois dénoncée depuis le début de son pontificat. Preuve en est, « la situation socio-démographique du vieillissement qui nous révèle clairement cette exclusion de la personne âgée, spécialement si elle est malade, handicapée, ou pour toute autre raison, vulnérable. » Les relations entre les hommes sont faites de dépendance réciproque. C’est pourquoi, il est nécessaire de répondre au besoin de chacun. Loin de se contenter de dénoncer l’exclusion dont sont souvent victimes les personnes âgées, le Pape recherche les causes de leur discrimination et considère qu’il s’agit là d’une « question anthropologique : combien vaut un homme et sur quoi se base cette valeur ». A ce titre, « la santé est certainement une valeur importante mais ne détermine pas la valeur de la personne. » « La plus grave des privations que les personnes âgées subissent, ce n’est pas l’affaiblissement de l’organisme et le handicap qui peut en résulter, mais l’abandon, l’exclusion, la privation d’amour ». La famille est présentée par le Pape comme un rempart contre cette menace, car « la famille apprend à ne pas tomber dans l’individualisme et permet d’équilibrer le moi et le nous ». « Une société est vraiment accueillante envers la vie quand elle reconnait que cette dernière est précieuse même dans la vieillesse, dans le handicap, dans la maladie grave et même quand elle s’éteint. Une société est accueillante quand elle apprend à voir dans la personne malade et souffrante un don pour l’entière communauté, une présence qui incite à la solidarité et à la responsabilité. » Source Des membres de la Douma, le parlement russe, ont demandé au ministère des Affaires étrangères d'étudier la loi belge élargissant l'euthanasie aux mineurs, votée la semaine passée, en vue d'interdire l'adoption d'enfants russes par des Belges, écrit lundi Russia Today. L'initiative émane du député Roman Choedjakov, membre du parti nationaliste de droite LDPR (Parti libéral-démocrate de Russie). Selon le député, la majorité des groupes défendant les droits des enfants soutiennent une telle interdiction de l'adoption de citoyens russes par des Belges. Dans les faits, l'adoption d'enfants russes par des familles belges est déjà limitée (68 enfants sur la période 2003-2012 en Belgique francophone). (Belga)
Voici les membres de la Chambre des Représentants qui ont voté contre ou qui se sont abstenus de voter pour la proposition de loi modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l'euthanasie en vue de l'étendre aux mineurs (de tout âge, précisons-le!), proposée par le sénateur coopté (communauté française) socialiste M. Philippe Mahoux et consorts (afin que vous puissiez vous faire une idée en vue des prochaines élections législatives): Absents : Minneke De Ridder (N-VA), et Flor Van Noppen (N-VA), pour raisons de santé; Jan Jambon (N-VA), à l'étranger; François-Xavier de Donnea (MR), Els Demol (N-VA), Roel Deseyn (CD&V), Reinilde Van Moer (NV-A), Christiane Vienne (PS), OSCE. Total des votants : 150 – 8 = 142 Détail des votes :
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