Soutenons les partis qui inscrivent le respect de la vie de la conception à la mort naturelle dans leur programme!
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Chère Géraldine, Vous avez publié vendredi dernier, dans Le Monde, votre témoignage, pour soutenir le droit à l'avortement. Il m'a interpellé et a largement interpellé les uns et les autres autour de moi. Un récit qui vous prend et ne vous lâche pas comme ça. Titré : "Une épreuve vécue sans légèreté ni regret". Non, certainement, on ne peut ressentir de légèreté à la lecture de votre témoignage. Mais de l'horreur devant ce que vous avez subi. Et une tristesse profonde pour vous, forcée de vivre ce déchirement. Pour le bébé aussi, "au fond des chiottes" de la clinique. Vous avez le mérite de ne pas édulcorer ce que vous avez vécu, de ne pas vous cacher derrière telle ou telle périphrase militante ou administrative. Vous ne parlez ni "amas de cellules" ni "fragments de grossesse". Ce que vous avez dans votre ventre, c'est "un bébé", "un enfant", à tout le moins dans les premiers mots. Vous ne cachez ni la douleur, ni la violence de ce que vous avez subi. Ni les pleurs, ni les hurlements. "Elle n'aurait jamais cru qu'il serait si grand. Elle se met à hurler. Elle n'est plus enceinte". Votre témoignage est glaçant. Il l'est d'autant plus que l'on sait qu'il n'est pas isolé (et l'on en trouve plus d'un témoignage en ligne). Vous êtes insultée par ceux qui, dans une formule à l'emporte-pièce, évoquent des "avortements de confort". Vous et toutes les autres femmes qui ont subi le même arrachement. Alors, vous vous adressez aux "messieurs" qui vous blessent ainsi. Je suis un homme. Lorsque l'on évoque l'avortement, il se trouve toujours quelqu'un pour nous dénier à nous, les hommes, le droit d'en parler. Comme si précisément, écarter ainsi l'homme n'avait pas un lien direct avec l'attitude de celui qui vous a amenée à avorter. Comme s'il fallait vraiment persuader les hommes que ça ne les concerne pas. Car dans votre récit, précisément, il est question d'un homme. Des hommes. De ces hommes qui ont une opinion bien précise sur l'avortement, en prise étroite avec votre utérus. De ceux qui considèrent que l'avortement, c'est "son corps, son choix, son droit"... son problème. Alors, c'est en tant qu'Homme et en tant qu'homme que je réagis à votre témoignage. Elle trouve ça tellement glauque, lui qui la guide vers cette clinique où elle ne veut pas aller, pour avorter de cet enfant qu'il ne veut pas garder. Extrait Témoignage bouleversant d'un avortement, paru sur lemonde.fr. Poignant, réaliste... avec une conclusion assez "étonnante" du coup... Il est 9 heures du matin. Elle finit de s'habiller, se maquille, met du rose sur ses lèvres. Elle monte dans sa voiture, passe au laboratoire d'analyses chercher ses résultats et la carte de son groupe sanguin. Elle sait qu'en cas d'hémorragie, ça peut être utile. Elle a faim.
Elle veut surtout fumer. Les nausées ne la lâchent pas, du matin au soir, comme si avant de partir, le bébé voulait lui rappeler qu'il est là, dans son ventre, du matin au soir. Elle veut fumer, même si elle a mal au coeur, même si elle a les mains qui tremblent, même si elle a envie de chialer, de hurler, elle veut un café juste pour pouvoir fumer sans vomir. Lui veut tout ce qu'elle veut, tout ce qui peut lui faire plaisir, tout ce qui peut l'empêcher de pleurer. Sauf le garder. Mais un café, ça, il peut. Il est près de midi. Ils remontent dans la voiture, il prend le plan, cherche la rue Nicolo, la guide. Elle trouve ça tellement glauque, lui qui la guide vers cette clinique où elle ne veut pas aller, pour avorter de cet enfant qu'il ne veut pas garder. Publié le 06/02/2014
Le tribunal de Tarbes vient de condamner un automobiliste pour homicide involontaire sur un fœtus de 30 semaines. Il avait fauché une femme enceinte le 20 janvier 2012. Un fœtus de 30 semaines est-il un être humain ? Le tribunal de Tarbes vient de répondre oui, ce mardi 4 février, en condamnant un automobiliste pour homicide involontaire sur un bébé en gestation. Alors que la loi sur l’égalité hommes-femmes renforce l’accès à l’IVG en supprimant la notion de détresse et après le report de la loi sur la famille, ce jugement ne va pas manquer d’alimenter les débats sur un sujet de société sensible. Le fœtus n'est pas considéré comme une personne Il y a de fortes chances que le parquet général fasse appel du jugement qui va à l’encontre de la jurisprudence. En effet, le fœtus n’est pas, aujourd’hui, considéré comme une personne et ne bénéficie pas en conséquence d’un régime de protection pénale. On ne peut donc commettre d’homicide envers un fœtus ni aucune infraction. L’arrêt de la cour de cassation du 25 juin 2002 affirme clairement que «le principe de légalité des délits et des peines, qui impose une interprétation stricte de la loi pénale, s’oppose à ce que l’incrimination d’homicide involontaire s’applique au cas de l’enfant qui n’est pas né vivant». Rappelons que l’avortement pour motif thérapeutique peut être pratiqué au-delà du délai des douze premières semaines et ce jusqu’au dernier moment de la gestation... Reconnaître un statut juridique au fœtus constituerait une remise en cause de l’avortement thérapeutique. «Dans ce jugement, il n’y a aucune prise de position religieuse ou philosophique mais une position humaine. Pour la maman, ce bébé était bien vivant. Si, pour une autre raison, elle avait dû accoucher prématurément, le bébé était viable. C’est le choc du fœtus contre la paroi utérine qui a provoqué son décès. Il s’agit d’un être humain qui a été tué», estime la présidente Élisabeth Gadoullet. Il s'appelait Yanis Yanis, voilà le prénom que les parents avaient choisi pour leur premier enfant. La présidente du tribunal met en avant le traumatisme psychologique des parents et surtout de la maman. «Quand elle a repris connaisance à l’hôpital, elle a demandé : «Et mon bébé ?». Ce qui l’a le plus choquée, c’est qu’on lui réponde : vous d’abord, le bébé après… Tant qu’un bébé n’est pas né, on a parfois l’impression qu’il n’est pas vivant. Mais, s’il y a mort, il y a eu une vie… Comment peut-on dire qu’un bébé réagit à l’environnement qui l’entoure et n’est pas un enfant ? Pour la maman, il était vivant. Elle a été privée de ce premier enfant et en a ressenti de la culpabilité. Il est important qu’il y ait une reconnaissance de cet enfant notamment pour que les parents assument leur rôle de parents en deuil». Me Fabienne Trusses-Naprous, conseil des parents, explique que la maman «ne sera jamais guérie de la perte de son enfant». Le jugement participe à l’atténuation de la douleur de la famille. «Le prévenu lui-même a reconnu avoir tué un enfant. La famille a besoin de cette condamnation», motive la présidente Gadoullet. Jugements contraires Plusieurs affaires ont relancé le débat sur le statut pénal du fœtus. Lors d’un accident de la route en 1995, une femme enceinte avait perdu son enfant. La cour d’appel de Metz avait alors rejeté, en 1998, l’homicide involontaire, ce dernier ne pouvant «être qualifié qu’à l’égard d’un enfant dont le cœur battait à la naissance et qui a respiré». Dans une autre affaire, un véhicule avait heurté une femme enceinte de 8 mois. Ici aussi, le fœtus était décédé des suites de ses blessures. La Cour d’appel de Reims avait retenu, en 2000, l’homicide involontaire contre le conducteur. Pour elle, le fœtus, âgé de 8 mois, était viable, et donc soumis à la protection pénale. Source Il s'appelle Jacques Bompard et se lève en tant que parlementaire contre les modifications sur la loi, dite Veil, sur l'avortement. Il défend, avec douceur, mais fermeté les droits de l'enfant à naître. Une tribune qui vaut la peine d'être écoutée et partagée! Notez par ailleurs le taux d'absence des parlementaires! Où étaient-ils pendant qu'on débattait et votait le sort de millions d'enfants à naitre! Nous avons beaucoup parlé de Liberté ce soir. Or la liberté des uns s'arrête ou commence la liberté des autres. La liberté que vous évoquez est la liberté pour la mère de tuer son enfant et dans ce contexte-là, où est la liberté de l'enfant? L'avortement est la pire des solutions puisqu'il s'agit de supprimer les vies. La science est indéniable sur le sujet, le foetus n'est pas qu'un amas de cellules, c'est un être vivant. Faciliter encore l'accès à cet acte mortifère revient à la banaliser encore plus. Or banaliser, l'avortement l'est bien assez puisque chaque année plus de 220 000 enfants en sont victimes en France chaque année. 220 000 enfants! Notre rôle en tant que parlementaires devrait être la défense à tout prix des plus faibles, de ceux qui ne peuvent pas encore s'exprimer. Nous devons mettre toutes les conditions en oeuvre pour permettre l'arrivée de la vie. Or vous continuez à faire tout le contraire: le nombre dramatique d'avortements pratiqués chaque année prouve bien que les gardes-fous prévus intelligemment par la loi ne sont plus respectés. Et parce qu'ils ne sont plus respectés, vous voulez encore plus les éliminer pour qu'il n'y en ait plus de trace! Ce que vous voulez c'est mettre en place l'irresponsabilité généralisée. C'est le but de toutes vos lois mortifères, de toutes vos lois qui tendent à détruire notre civilisation. En supprimant cette notion de détresse, vous allez faire sauter cette dernière barrière qui protège la vie de cet enfant. Sur une simple décision, vous le demandez, vous le revendiquez, la femme pourra avorter comme elle prend un cachet d'aspirine. [huées] C'est que vous voulez, je vous ai écoutés. Je suis terrorisé par vos propos, c'est scandaleux, c'est dramatique! Au nom d'un prétendu principe d'égalité, le projet de loi exclut en plus le père de toute prise de décision. Or le père est aussi responsable de l'enfant. Et ça, ça vous embête manifestement beaucoup puisque vous le niez complètement.
(Ici aussi, tout pourrait être mis en gras, ndlr) Lu sur Espérance Nouvelle
L'Ordre national des infirmiers refuse toute légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté Communiqué de presse de l'Ordre national des infirmiers (ONI) - Jeudi 19 décembre 2013 Dans un rapport publié ce jeudi, le conseil national de l’Ordre des infirmiers émet 10 propositions sur la prise en charge de la fin de vie et appelle à « faire de la prise en charge de la douleur une cause nationale de santé publique » Le conseil national des l’Ordre des infirmiers dévoile aujourd’hui ses 10 propositions pour l’évolution et l’amélioration de la prise en charge de la fin de vie et l’évolution du rôle des infirmiers. Si l’Ordre affirme clairement son opposition à toute légalisation de l’euthanasie et/ou du suicide assisté, il se prononce en faveur d’une vraie prise en compte des problématiques sociétales actuelles et propose notamment une formation obligatoire sur le thème de la fin de vie pour les médecins et infirmiers, ainsi qu’une optimisation des compétences infirmières. > Lire la suite Merci au courageux français de vous être postés devant l'ambassade belge! Lu sur le Huffington Post :
par Thérèse Hargot, sexologue, éducatrice en milieu scolaire : Pilule du lendemain: le bal des hypocrites a assez duré! Elles sont quatre fois plus nombreuses à la demander qu'il y a dix ans. Le recours à la pilule du lendemain explose chez les ados suscitant l'inquiétude de leurs aînés. Après tout, l'acte n'est pas si anodin, pour la santé bien entendu. Avec une dose d'hormones quarante fois supérieure à celle d'une pilule contraceptive régulière, elle n'est pas dépourvue de potentiels effets secondaires. Mais pour rassurer tout le monde, on persiste à le dire: elle n'est pas dangereuse pour la santé. Voilà des propos bien imprudents par les temps qui courent où les dégâts de simples pilules contraceptives sont exposés au grand jour... En ce qui concerne la tentative d'empêcher la grossesse, on les entend se réjouir. Les jeunes filles semblent en effet bien informées sur leurs droits et profitent allègrement de son accès gratuit, sans ordonnance et sans accord parental. Alors si elles en abusent, ayons au moins la décence de ne pas s'en offusquer. Le bal des hypocrites a assez duré! L'hypocrisie, c'est d'abord les appellations données pour désigner ce comprimé: "contraception d'urgence", "pilule du lendemain". Elles permettent de dissimuler l'action réelle qui consiste à mettre un terme au cycle en cours dans l'espoir d'empêcher soit l'ovulation, soit la fécondation, soit la nidation. En fait, on ne peut pas savoir si le produit a permis d'éviter un début de grossesse ou d'y mettre un terme. Techniquement parlant, ces hormones n'ont pas qu'une action contraceptive (contre la fécondation) mais aussi contragestive (contre la nidation). Par le jeu des mots, on entretient le flou pour tromper les consciences des femmes et banaliser l'intention pour faire passer la pilule en somme. Qu'on ne s'étonne pas alors que de plus en plus de jeunes filles l'utilisent comme moyen de contraception banal et ne cherchent pas à se protéger en amont. Lire la suite (sur Belgicatho) |
Jeunes Pour la Vie
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Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions chaque année.
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